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Rien qu'aux images, on reconnaît la patte du Boll.
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je parles pas au cons sa les instruits
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Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2410081 fois par 24441 utilisateurs
C'est la richesse des décors et la présence d'Udo Kier. Ca trompe pas.
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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
homereb a dit :
Beau jeu des acteurs.
Beau jeu des acteurs.
Le film se met en place et ensuite ça n'arrête pas ce jeu d'acteur parfait. Donc impossible de se faire chier. 
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Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
le film donne bien envie:
LOL c'est serieux le film far cry la ? ça devient de plus en plus n'imp les licences cinés. on dirait un mannequin siliconé le type assis sur la table
*Édité à 6:49pm, 05/04/09
revu recemment: bien mais un peu long.un bon film des années 80
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If the Great Spirit wanted the Men to stay in one place, He would have made the World stand still, but He made it to always change.
You don't fuck Chuck NORRIS
If the Great Spirit wanted the Men to stay in one place, He would have made the World stand still, but He made it to always change.
You don't fuck Chuck NORRIS
Planet Terror ou comment me faire chier pendant 1h45.
Pour moi, c'est un mélange de tout et n'importe quoi. Je ne sais pas si Rodriguez avait pour objectif de rendre hommage à ce qui se fait de plus nul dans les films de genre des 60's à nos jours, mais c'est d'un chiant ! Je préfère encore revoir My name is Bruce.
Feast, un survival sans trop de prétention avec en prime Henry Rollins, formidable bodybuilder philosophe. Le départ commence avec une idée assez sympa donne au film un rythme assez bon. Le montage est parfois un peu trop épileptique, mais il permet de masquer sans doute un petit manque de budget au niveau des SFX.L'humour est bien là et le film ne perd pas trop en rythme sur la longueur. C'est un premier long de John Gulager qui m'était totalement inconnu.
mpm a dit :
Feast, un survival sans trop de prétention avec en prime Henry Rollins, formidable bodybuilder philosophe. Le départ commence avec une idée assez sympa donne au film un rythme assez bon. Le montage est parfois un peu trop épileptique, mais il permet de masquer sans doute un petit manque de budget au niveau des SFX.<br />L'humour est bien là et le film ne perd pas trop en rythme sur la longueur. C'est un premier long de John Gulager qui m'était totalement inconnu.
Feast, un survival sans trop de prétention avec en prime Henry Rollins, formidable bodybuilder philosophe. Le départ commence avec une idée assez sympa donne au film un rythme assez bon. Le montage est parfois un peu trop épileptique, mais il permet de masquer sans doute un petit manque de budget au niveau des SFX.<br />L'humour est bien là et le film ne perd pas trop en rythme sur la longueur. C'est un premier long de John Gulager qui m'était totalement inconnu.
Est-ce que tu as compris ce qui arrivait après la coupure de courant au bout d'une demi-heure de métrage et la perte du réalisateur dans le noir ?
Pour moi première demi-heure très sympa, suite incompréhensible.
N.B. : n'enchaîne surtout pas sur le 2 & le 3.
*Édité à 6:11pm, 05/05/09
Liana a dit :
Est-ce que tu as compris ce qui arrivait après la coupure de courant au bout d'une demi-heure de métrage et la perte du réalisateur dans le noir ?
Est-ce que tu as compris ce qui arrivait après la coupure de courant au bout d'une demi-heure de métrage et la perte du réalisateur dans le noir ?
On s'est demandé si le film n'avait pas subi des coupes. Y a des choses qui ne sont pas claires notamment avec le livreur de bière qui passe d'énucléé près de la fenêtre à mort dans la cave le temps d'une seconde. Mais bon, passée l'incohérence, ça ne m'a pas dérangée.
Liana a dit :
Pour moi première demi-heure très sympa, suite incompréhensible.
Pour moi première demi-heure très sympa, suite incompréhensible.
Pour moi, c'est un film sympa sans trop de prétention.
Liana a dit :
N.B. : n'enchaîne surtout pas sur le 2 & le 3.
N.B. : n'enchaîne surtout pas sur le 2 & le 3.
Promis, je me retiendrai.
L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara avec Fernandel.
vraiment pas mal. une comédie macabre, un humour noir et très grinçant. un anticléricalisme assumé et revendiqué.Fernandel et Julien Carette sont vraiment rigolos.
un truc très gênant quand même : le racisme latent. y a effectivement un renoi dans le film, il est infantilisé, et même dans un dialogue au tout début, comparé à un singe.
l'histoire, inspiré d'un fait divers, se passe en 1830. je me suis même dit que, dans la bouche de gens bêtes et méchants, c'était peut-être une manière - pas très évidente, c'est sûr - de dénoncer ce racisme.je me suis ensuite renseigné sur le réalisateur, Claude autant-Lara (La Traversée de Paris, La Jument verte...) a été député européen sur une liste du Front National en 1989. il s'est aussi distingué en tenant des propos vraiment odieux sur Simone Weil.
putain, ça calme. merde.
edit : La Soundtrack de Montand ^^
*Édité à 7:04pm, 05/05/09
besmel a dit :
putain, ça calme. merde.
putain, ça calme. merde.
Il te reste le remake, pour te consoler...
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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
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besmel a dit :
un truc très gênant quand même : le racisme latent. y a effectivement un renoi dans le film, il est infantilisé, et même dans un dialogue au tout début, comparé à un singe.
un truc très gênant quand même : le racisme latent. y a effectivement un renoi dans le film, il est infantilisé, et même dans un dialogue au tout début, comparé à un singe.
faut dire que ce soit en 1830 ou en 1950 le Colonialisme à son apogée, beaucoup de gens pensaient ainsi et ca transpirait dans le cinema pas que chez Autant Lara
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If the Great Spirit wanted the Men to stay in one place, He would have made the World stand still, but He made it to always change.
You don't fuck Chuck NORRIS
If the Great Spirit wanted the Men to stay in one place, He would have made the World stand still, but He made it to always change.
You don't fuck Chuck NORRIS
besmel a dit :
L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara avec Fernandel.
L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara avec Fernandel.
J'aime beaucoup ce film, je l'ai récupéré en dvd il y a peu comme le gdc ne l'a jamais vu.
OSS 117 : Rio ne répond plus
ca m'a bien fait rire...
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"Si tu veux avoir l'air intelligent, balade toi avec un abruti." Wire in the blood
Van` a dit : Si ça se trouve, Superman porte un pyjama Satou.
"Si tu veux avoir l'air intelligent, balade toi avec un abruti." Wire in the blood
Van` a dit : Si ça se trouve, Superman porte un pyjama Satou.
alawacbar a dit :
faut dire que ce soit en 1830 ou en 1950 le Colonialisme à son apogée, beaucoup de gens pensaient ainsi et ca transpirait dans le cinema pas que chez Autant Lara
faut dire que ce soit en 1830 ou en 1950 le Colonialisme à son apogée, beaucoup de gens pensaient ainsi et ca transpirait dans le cinema pas que chez Autant Lara
ouais, t'as raison. ça fait quand même vachement mal au cul après avoir vu La Grande Illusion qui peut se comprendre comme une ode à l'amitié entre les Peuples et les classes sociales.
besmel a dit :
ouais, t'as raison. ça fait quand même vachement mal au cul après avoir vu La Grande Illusion qui peut se comprendre comme une ode à l'amitié entre les Peuples et les classes sociales.
ouais, t'as raison. ça fait quand même vachement mal au cul après avoir vu La Grande Illusion qui peut se comprendre comme une ode à l'amitié entre les Peuples et les classes sociales.
D'où le titre... 
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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
t'es méchant, rico !
je me demandais, si tu tenais une auberge isolée, ce que tu leur ferais, toi, aux voyageurs solitaires...
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