En 2 lignes : Un ex flic devenu proxénète recherche activement l'une de ses filles pendant que le ravisseur est en garde à vue.
C'est parfois surjoué, en particulier quelques seconds rôles, le méchant n'est pas toujours crédible, il y a un brin d'incohérence du côté de l'enquête officielle (mais je ne connais pas les procédures coréennes, alors peut-être pas tant que ça) mais on tient là un bon, voire un très bon film film, assez prenant, on ne voit pas vraiment le temps passer, et certaines séquences sont vraiment plaisantes.
Un remake est prévu outre atlantique, qui pourrait contrairement à The Departed combler les quelques faiblesses de l'original.
-- C'est quoi ? Des biscuits ? Lilobootcopyright.
Santino=loser=gay. Kelidriccopyright.
*édité à 15:33 le 11/09/2009
Message n° 1409641, posté par Mrromain à 15:37 le 11/09/2009
Sao a dit : Little Miss Sunshine : Le film que j'ai préféré. Drôle, captivant (enfin un peu), il m'a vraiment marqué, et j'ai trouvé la fin génial. Là aussi la musique est génial. 7/Labrin.
Je te conseille Sunshine Cleaning, c'est dans le même esprit que little Miss Sunshine, drôle et émouvant.
Message n° 1409644, posté par Mrromain à 15:38 le 11/09/2009
kerial a dit : C'est parfois surjoué, en particulier quelques seconds rôles, le méchant n'est pas toujours crédible, il y a un brin d'incohérence du côté de l'enquête officielle (mais je ne connais pas les procédures coréennes, alors peut-être pas tant que ça) mais on tient là un bon, voire un très bon film film, assez prenant, on ne voit pas vraiment le temps passer, et certaines séquences sont vraiment plaisantes.
Si je puis me permettre, je pense que c'est à 2000 % fait exprès afin de créer une ambiance assez particulière.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 1409671, posté par besmel à 16:04 le 11/09/2009
Baje a dit : Si je puis me permettre, je pense que c'est à 2000 % fait exprès afin de créer une ambiance assez particulière.
J'en doute. Les acteurs qui surjouent ce n'est jamais fait exprès. Mais je pointe juste 2/3 faiblesses, ça n'enlève rien aux qualités du film, ce sont même plus des maladresses que des faiblesses.
-- C'est quoi ? Des biscuits ? Lilobootcopyright.
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Message n° 1409709, posté par Batefer à 16:37 le 11/09/2009
kerial a dit : J'en doute. Les acteurs qui surjouent ce n'est jamais fait exprès. Mais je pointe juste 2/3 faiblesses, ça n'enlève rien aux qualités du film, ce sont même plus des maladresses que des faiblesses.
Dans un film asiatique, qui plus est coréen ? Ah si si.
Surtout que le perso est quand même un gros malade nerveux comme tout et qu'il croise des persos bien déglingos au cours du film style ses anciens collègues de travail. J'avais d'ailleurs clairement vu la différence entre les scènes "normale" et les scènes où tout part en couille.
Donc je pense vraiment que c'était fait exprès et d'ailleurs j'avais beaucoup aimé ce côté too much.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 1410252, posté par Hop² à 20:33 le 11/09/2009
Das Kabinett des Dr Caligari : Véritable précurseur de l'expressionnisme allemand, et par conséquent des réalisateurs comme Tim Burton (étonnant tout de même le nombre de ressemblances que l'on peut trouver entre ce film et d'autres tels que Sleepy Hollow), Das Kabinett des Dr Caligari impressionne par sa qualité (bien que le premier acte soit très ennuyeux), son scénario (une fin réellement étonnante...) et ses moyens. Le film installe un malaise croissant tout au long du film, grâce à ses décors, ses acteurs, et son scénario. Son univers, en bref. On finit vraiment par être mal à l'aise sur certaines scènes. Quand on pense que le film a 90 ans, ça fait un choc. Seul bémol, qui n'était pas dans le film à la base : la bande-son. Omniprésente, inutile, horrible. Les restaurateurs auraient pu s'en passer.
PS : Les remakes sont-ils bons ?
*édité à 20:44 le 11/09/2009
Message n° 1410278, posté par Hop² à 20:52 le 11/09/2009
Alors pendant que tu raconte pas mal de conneries le monde continue de tourner. Il n' y a aucune trace d'expressionnisme dans Sleepy Hollow. On retrouve plutôt l'ambiance des films de la Hammer.
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