Val Kilmer cachetonne dans des films de seconde zone pour manger, et se ridiculise volontairement :

Sinon, quelqu'un a finalement vu Assassination of a High School President ?

Liana, revient.

M :

Wai, c'est pas top.

C'est trop beau

Bien marrant ^^

Nul.

Je m'en lasse pas.

Sympatoche.

J'ai rien compris, mais l'image du Blu Ray décoiffe les cacahouètes.

Au temps pour moi. Gollum et King Kong. Même réal, même acteur. Je n'ai pas souvenir d'un autre perso en CGI pouvant susciter autant d'émotion (si ce n'est Jar Jar Binks, mais là, l'émotion, c'est la haine).

et le mec bleu dans Watchmen ? son immense zob n'a rien suscité chez toi ?

C'est chouette...

Je mets ça là faute de mieux...

Mad Max 4 vient d'entrer en préproduction (le film ne sortira pas avant 2012).

Une petite vidéo dans laquelle George Miller parle des voitures prévues pour le film et de sa volonté de redonner à l'Australie ses lettres de noblesse cinématographiques :

J'avais le choix entre ça et Lucky Luke... j'ai fait le mauvais choix je crois...

Une boulette géante, même.

Je confirme, la majorité des gags sont dans la bande-annonce. C'est dommage, c'était une bonne idée de départ, de faire intervenir un personnage lambda dans les films. Le film commence même plutôt pas mal.

spoiler

Le héros est au téléphone avec Catherine Deneuve, je crois dans Hôtel des Amériques. Ça m'a fait penser au film Les cadavres ne portent pas de costard. Malheureusement, c'est la seule fois que cette technique est utilisée.

Et la première fois que Dubosc devient Cinéman, il est en noir et blanc, c'est assez bien fait. Il joue plutôt bien, le premier film dans lequel il entre est Pour une poignée de dollars et en Clint Eastwoood, il est plutôt sympathique, voire même assez crédible.

D'autres moments sont réussis, mais trop courts : à un moment dans sa vraie vie il parle japonais et il est sous-titré, c'est assez marrant.

Et puis flop.

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Pendant tout le film, la synchro est à chier, le texte entendu ne semble pas être le même que prononcé à l'écran. L'actrice principale est doublée, mais c'est pas seulement quand elle parle que j'ai eu cette impression.

Et quand Dubosc (je me souviens même plus du nom de son personnage, Régis Quelque chose) est dans sa salle de classe, il y a des rires enregistrés, on se croirait dans Hélène et les garçons, l'image est immonde.

L'histoire est pas du tout intéressante, je me suis bien ennuyé. Et ça se termine n'importe comment. Une musique omniprésente, pas toujours bien choisie, un peu comme dans Podium, du même réalisateur, Yann Moix, que j'avais plutôt bien aimé. M'enfin bref, un film très dispensable pour moi.

Je viens de voir Redacted.

Je ne peux pas dire que j'ai aimé parce que ce que ça raconte est tellement révoltant qu'on ne peut pas apprécier un film pareil, clairement fait pour choquer, pour secouer l'opinion, ce qui était le but de De Palma je suppose...

Ça marche sur moi, j'ai eu peine à regarder certaines scènes, proprement insoutenables, même si ils s'arrangent pour ne pas tout montrer. J'ai beaucoup de mal avec les scènes de viol au cinéma, et dans un contexte pareil ça n'arrange rien.

En revanche je reste assez dubitatif sur le parti-pris de ne montrer ces images qu'au travers de documents censés être réels. Soit c'est réel soit ça ne l'est pas, on sait qu'on regarde un film qui s'inspire d'événements réels, je crois qu'il n'y a pas à en rajouter pour qu'on ressente ce qu'on ressent en voyant ça. Le fait de filmer à la manière d'oeuvres de divertissement comme Rec ou Cloverfield rajoute un certain côté racoleur, voyeuriste, qui diminue la portée et le réalisme que c'est censé au contraire amener. Les images de fin sont largement suffisantes pour bien nous faire réaliser qu'il se passe là-bas des choses atroces.

Bref, à voir (le film est court en plus), pour ceux qui ont l'estomac bien accroché.

Tu oublies toute la force du montage, qui permet de faire plus ou moins dire ce qu'on veut à partir d'images tout à fait réelles.

De Palma voulait secouer, en soi, son Redacted, c'est un peu un grand gamin qui essaie de se la jouer philosophe des maux de la planète.

Tout le contraire, justement, d'un Cloverfield qui fait directement référence à l'inconscient collectif, lorsque, pendant quasi la moitié du film, personne ne sait ce qui attaque New York. Tu m'étonnes que les Américains, ça les a directement touché (mais j'apprends rien à personne, là).

Sinon, j'ai commencé Fenêtre sur cour. Me suis endormi au bout de 40 minutes. Vais essayer de continuer ce soir.