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Fresh Prince a dit : "All right, I'm coming out. Any man I see out there, I'm gonna shoot him. Any sumbitch takes a shot at me, I'm not only gonna kill him, but I'm gonna kill his wife, all his friends, and burn his damn house down."
Le début est assez nase avec des trucs vu et revu. Ça s'améliore pas mal par la suite même si certains thèmes (notamment avec le père et leur manie de la religion...) m'énervent.
Après toute une seconde partie plus intéressante, ça finit malheureusement
Un film sympa mais sans doute vite vu vite oublié.
A noter un Omid Abtahi en guest, apparemment abonné au rôle de terroriste puisque déjà vu dans Sleeper cell.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 03:05 le 19/03/2010
Message n° 1918656, posté par tenia à 07:15 le 19/03/2010
J'en avais été très déçu aussi, de Brothers, comme toi à cause d'un côté vu - revu très prévisible, et d'une fin quelconque (et vendue par la bande-annonce en plus).Et puis, si niveau acteurs, c'est pas dégueulasse (même si Gyllenhaal est en mode "Chien battu mais je suis sympa quand même c'est pas ma faute ce qui m'arrive" pendant tout le film, c'est un poil lassant), niveau mise en scène, c'est d'une platitude téléfilmesque.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 1918710, posté par Ano nyme1 à 08:42 le 19/03/2010
tenia a dit : J'en avais été très déçu aussi, de Brothers, comme toi à cause d'un côté vu - revu très prévisible, et d'une fin quelconque (et vendue par la bande-annonce en plus).Et puis, si niveau acteurs, c'est pas dégueulasse (même si Gyllenhaal est en mode "Chien battu mais je suis sympa quand même c'est pas ma faute ce qui m'arrive" pendant tout le film, c'est un poil lassant), niveau mise en scène, c'est d'une platitude téléfilmesque.
Je suis quand même pas aussi négatif que toi. Surtout sur le gros du film, sur la mise en scène et sur la sublissime, magnifique, abusivement bonne actrice principale.
Par contre, exemple de gros cliché, elle est mère de famille et pendant tout le film (sauf quand le mari revient mouahaha) elle est habillé comme un thon.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 1920081, posté par tenia à 18:11 le 19/03/2010
Baje a dit : Je suis quand même pas aussi négatif que toi. Surtout sur le gros du film, sur la mise en scène et sur la sublissime, magnifique, abusivement bonne actrice principale.
Je l'ai trouvé particulièrement banale, la Portman. Ah ça, c'est sûr, c'est pas Closer...
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 1920088, posté par Baje à 18:14 le 19/03/2010
L'homme à la caméra : Pour ceux qui connaissent pas, j'explique vite fait.
Film expérimental de 1928 réalisé par Dziga Vertov. Il "n'y a pas de scénario, ni d'acteur, ni de décor" (voilà comment le film commence, mais c'est pas réellement le cas). Vertov cherchait, avec ce film, à inventer un langage du cinéma. Une certaine façon de retranscrire la réalité à travers la caméra. Donc, il filme un vrai accouchement (plan horrible), par exemple. Il n'y a aucun "carton" entre chaque scène pour retranscrire les paroles. J'ai vu la version sans orchestre.
Je vous en prie, plus jamais.
Je dis pas que c'était pas intéressant, mais je veux plus voir ce genre de film.
Tout, ou presque, repose sur le montage, qui est quelque peu révolutionnaire. Images accélérées, ralenties, ou même stoppées, composent le film. Le montage est souvent frénétique, voire épileptique () et certaines images se fondent les unes dans les autres. Bref, c'était un petit génie, quoi.
Le film tient sur une mise en abyme. On suit un homme réaliser un métrage sur tout ce qu'il voit. Ainsi, il filme des sportifs d'un côté, ou s'allonge sur des rails pour filmer le train arriver d'un autre côté (scène surprenante).
La photo est très belle, et les décors (bien que Vertov ait précisé qu'il n'y en ait pas) sont vraiment beaux.
Bref, demain, c'est pire. Je regarde Trois chants sur Lénine à 9h du mat. "Le film étant extrêmement rare, il n'y a pas de sous-titres. Vous aurez un livret contenant les sous-titres des cartons pour suivre l'oeuvre.
Dur.
Message n° 1920576, posté par ricorod à 20:42 le 19/03/2010
Fresh Prince a dit : Bref, demain, c'est pire. Je regarde Trois chants sur Lénine à 9h du mat. "Le film étant extrêmement rare, il n'y a pas de sous-titres. Vous aurez un livret contenant les sous-titres des cartons pour suivre l'oeuvre.
Entre CCCP et VSS, choisis ton camp, camarade !
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
1.00
Message n° 1920594, posté par Fresh Prince à 20:46 le 19/03/2010