Pardon, je fais mon Hopla, là.

Je sais pas alors, moi Snake, je suis né en 1975, je me suis tapé donc dans mes jeunes années avec l'explosion de la VHS, et des héros ricains à deux sous, et un personnage comme Piksen en 1981 c'est juste culte.

J'étais tout jeune quand je l'ai vu, la fin m'avait marqué (comment le méchant meurt) mais j'avais pris mon pied Et il fait partie des films que je montrerai à mes enfants

On retrouve ici tout ce qui fait la force des comédies.

Un tandem de héros rigolos, qui cachent derrière leurs airs et actes un peu idiots, une multitude de facettes, qui, au fil des minutes ne cessent d'enrichir le film et l'intrigue.

Kad est touchant en policier évangéliste, chacune de ses répliques fait mouche, sa naïveté et sa générosité sont mis en lumière. Un festival de couleurs et d'éclat de rire.

Clovis est époustouflant de naturel, dans son rôle de policier à l'esprit aiguisé, il déborde de générosité. Il joue avec une belle justesse, son personnage tourmenté.

Les seconds rôles sont fabuleux ! Seul petit bémol, Carole Laure, elle donne tout ce qu'elle a, mais reste loin du niveau d'excellence de ses partenaires.

L'histoire est géniale aussi.

Et pour finir des répliques cultes. Cerise sur le gâteau, déjà bien copieux, le générique de fin nous offre les répliques en musique.

J'ai vu Moon l'autre matin, superbe ! Sam rockwell fait un sacré one man show.

Duncan Jones frappe fort pour son premier long, le prochain sera aussi de la scify avec comme premier rôle jake gyllenhaal, j'ai hâte !

J'ai vu Solarbabies et c'est super cool !

Et moi j'ai pas aimé.

N'importe quoi

http://www.slashfilm.com/2010/06/07/john-carpenter-preparing-to-direct-hilary-swank-in-fangland/

J'insiste.

Après, c'est pas le meilleur d'un point de vue qualitatif, c'est évident.Mais c'est le plus divertissant, une fois qu'on passe en mode nanar.Le reste de sa filmo, à 99%, c'est juste de la merde.Mais House of the Dead, c'est un putain de nanar divin.

Son LA Gothic, ça fait combien de temps qu'il est censé être en prod, déjà ?5 ans ?

Fin bon, c'est pas grave, hein, ça ne fait que 12 ans qu'il n'a pas fait un bon truc (16 même, si je voulais être un peu méchant, mais j'avais bien aimé Vampires).

Alone in the Dark hier, celui de 1982, et je suis un peu déçu.

J'en attendais plus d'un slasher d'une époque où la sur-stéréotypisation n'était pas encore de rigueur dans le genre, et mettant en scène Jack Palance, Donald Pleasence, Martin Landau et Dwight Shultz (Looping dans l'Agence tout Risques). Excusez du peu.

Mais voilà, c'est là que le bât blesse (j'ai fini par apprendre à l'écrire correctement). Avoir des têtes d'affiche implique de toutes nous les montrer un minimum à l'écran. Une contrainte qui s'applique mal à un slasher où le point de vue d'un personnage ou groupe de personnages est préférable. Surtout qu'ici on peut facilement ajouter deux sicked fucks, toute la famille du docteur, un inspecteur, la baby-sitter et son copain au pool du casting présent durablement à l'écran.

Ça fait du monde à gérer, et très peu de morts à l'arrivée. Une bonne ambiance de départ qui est trop traînée en longueur et s'étiole à mesure que le film avance.

Jack Palance et Martin Landau auraient pu faire d'énormes croque-mitaines avec plus de présence à l'écran. Donald Pleasance n'est là que pour nous rappeler le docteur Loomis de chef-d'oeuvre de Carpenter. Et Dwight Shultz à l'opposé de son rôle de Looping en psychiatre sérieux, beaucoup trop sérieux et transparent.

Déçu donc même s'il reste une introduction sympathique, une scène sensuelle à faire resserrer le boxer, et des flics qui, malgré une fouille de la maison jusqu'à la moindre baguette de fenêtre, ne trouvent pas les deux cadavres dans le placard.

Je l'ai vu chroniqué dans Nanarland, culte dans ce sens-là ?

April Fool's Day, l'original de 86

Rien de particulièrement exaltant. Même pas un plan sexe.

Le principe devait être original pour l'époque.