Tiens un paralogisme extra dictionem.

Je n'ai pas vu Avatar.

On peut faire 1m20 et jouer au basket en professionnel, ou prendre une cagette munie d'une rame et traverser l'Atlantique aussi j'imagine.

Ca spoile beaucoup Alien ici. Je vais arrêter de lire

Désolé.

Je pensais à tort qu'on l'avait tous vu.

La dernière fois que je l'ai vu, j'en ai fait des cauchemars. Ca remonte...

Vindicatif, totalement. Pour plusieurs raisons je pense.

1) Si Abyss était abordé en des termes moins extrêmes, ma critique l'aurait été d'autant moins. Me retrouver devant un film considéré comme moyen mais divertissant m'aurait certainement amené à plus de clémence. A partir du moment où les expressions "chef d'oeuvre" et "putain de film" sont utilisés, je me sens obligé de tirer vers le bas pour créer un juste milieu.

2) C'est un des seuls moyens que j'ai trouvé pour faire sortir les héroïnomanes de leur trou. ^^Snake Plissken ou Abyss, même combat.

3) J'étudie la théorie sur le sexe, je m'y remets à fond pendant 4 jours et on en reparle.

En ce qui concerne ton argument en lui-même, je le trouve justifié pour les "plaisirs coupables", pas dans ce cas précis. Ou alors The Marine est un putain de film, l'humour volontaire en plus.

J'étais venu pour voir un film, comme à chaque fois, je n'avais rien de précis en tête sinon la scène finale, de mon dernier visionnage.

Si l'on doit mettre tous ses critères qualitatifs à zéro, oublier que le cinéma existe depuis plus d'un siècle et considéré que le QI moyen est de 75 pour apprécier le film, où se dirige-t-on ? J'exagère énormément évidemment.

Merci pour la confirmation, je n'avais trouvé le terme nulle part dans le contexte de la plongée.

De la sous-utilisation des animaux dans la saga Alien, comme détecteurs notamment.

Trop.

Ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit, Cameron, c'est pas un plaisir coupable. Hein. :)

ouh le vilain garnement. files dans ta caisse.

C'est ce que je te dis, ce genre d'argument ne fonctionne pas avec Cameron.

Je n'étais pas ironique. Tu ne peux pas gagner contre lui, il parle trop bien.

Über-cool.

Je confirme.Non seulement Abyss est son film le plus décrié, mais en plus, si y a bien UN truc qui revient toujours chez les détracteurs de Cameron (moi inclus, parfois), c'est cette "naïveté".Alors, concon, peut-être pas, mais très hollywoodienne dans sa simplicité, oui.

C'est aussi, d'ailleurs, probablement ce qui fait la force des films de Cameron : si d'un point de vue technique, ce sont des machines de précision incroyables, derrière, le propos est souvent ultra classique.

Bon, alors forcément, arrivé un moment, ça donne Avatar, tellement classique que tu vois tout arriver 2h à l'avance...

Mais de toute manière, ce que je préfère chez Cameron, c'est quand même quand il fait tout péter : Aliens, Terminator (surtout le 2) et True Lies.

En tous les cas, toute cette réflexion sur le cinéma de Cameron est super intéressante. Moi qui croyais bêtement, par exemple, que les histoires d'amour dans ses films n'étaient là que pour meubler entre les scènes d'action tellement elles sont connes à bouffer du foin, généralement. Je suis toute chamboulée dans mes convictions. Mais rassure-toi, les beaux parleurs passent d'Avatar à Godart sans complexe. (Notez que je m'essaie aux rimes)Demain, ils auront changé d'avis.