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Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2406126 fois par 24312 utilisateurs
   
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Message n° 2189118, posté à 07:20 le 06/07/2010  
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tenia
Ronrount a dit :
Ah ? Ils n'ont pas la gueule déjà super burinée ?
Si.
Comme Liotta.
Enfin, plus.
Beaucoup plus.
Mais quand même.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2189777, posté à 14:10 le 06/07/2010  
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besmel
Fresh Prince a dit :
Mary and Max : Je suis bouleversé. Mes sentiments sont aussi mixtes que les mondes totalement opposés des deux personnages. D'un côté le spleen de Max : je suis triste, mélancolique; de l'autre, l'idéal que cherche Mary : je suis heureux, j'ai passé un super moment... Enfin, je sais même pas quoi dire, en fait, pour décrire ce film. Ca faisait longtemps que je n'avais pas vu un film aussi sublime, que je n'avais pas été aussi bouleversé, chamboulé... C'est une oeuvre passionnante, touchante, drôle, triste, mais avant tout poétique... Et, peut-être que l'originalité de ce film d'animation vient du fait qu'il puisse être le plus pessimiste que j'aie jamais vu (aucun autre ne me vient à l'esprit, là, tout de suite). Enfin bon, j'espère que ce réalisateur continuera à me faire rêver dans l'avenir...
si tu veux retrouver son univers, il a également réalisé un ou deux courts. j'en ai vu un, juste après Mary & Max, il est très bien.

Message n° 2189792, posté à 14:14 le 06/07/2010  
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Fresh Prince
besmel a dit :
si tu veux retrouver son univers, il a également réalisé un ou deux courts. j'en ai vu un, juste après Mary & Max, il est très bien.
Oui, j'ai vu ça smile
J'essaierai de les trouver.

Message n° 2190155, posté à 16:01 le 06/07/2010  
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Ano nyme1
Carriers
Fade, déjà vu et sans intérêt.
*cherche un nouvel ami*

Message n° 2191454, posté à 21:25 le 06/07/2010  
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tenia
Donc : Copie conforme :
Ca vaut surtout pour Binoche.
Voilà.
Sinon, c'est un film simple, sans chichis, et justement, le problème est là.
Parait que Kiarrostami aime énormément Ozu (à qui il avait dédicacé Five).
Admettons. Ici, ça se voit assez souvent : plans fixes alternant les paysages défilant, mise en scène minimaliste lors des dialogues (champs - contre champs, on oublie, y a même pas), simplicité du propos.
Sauf que.
Sauf qu'à trop vouloir foutre en avant Binoche, tout le monde à côté est rabaissé au rang de faire valoir.
A commencer par William Shimell, jouant ici le mec insupportable par défaut, à un point où cela frise la caricature.
Car, il ne faut pas se tromper, Copie conforme est avant tout un film féministe. Or, cela se transforme ici en charge stéréotypique envers ces "hommes jamais là, ne pensant qu'à eux, à leur travail, pendant que nous, les femmes, sommes oubliées".
Cela n'empêche pas quelques moments assez magiques, notamment avec la mamma italienne tenant un café florentin.
Mais, au final (parce que mine de rien, il m'aura quand même fallu tout le film pour m'en rendre compte), cela ne fait pas lourd, et le film finit par apparaitre comme fort banal, superficiel.
C'est sympa sur le coup, mais en réfléchissant 30 secondes pendant le générique, on se rend compte que c'est con comme un balai.
6/10

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2191507, posté à 21:35 le 06/07/2010  
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Poloneill
tenia a dit :
C'est sympa sur le coup, mais en réfléchissant 30 secondes pendant le générique, on se rend compte que c'est con comme un balai.
T'oublies un truc important, je trouve : on ne sais pas ce qui est réel dans les relations entre ces deux personnages. Que regarde-t-on exactement ? Et ça, moi j'ai beaucoup aimé.

--
Don't dream it, be it

Together, you are the one who was, the one who is, the one who will be.

It costs nothing to say something kind. Even less to shut up
Message n° 2191888, posté à 22:29 le 06/07/2010  
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tenia
Poloneill a dit :
T'oublies un truc important, je trouve : on ne sais pas ce qui est réel dans les relations entre ces deux personnages. Que regarde-t-on exactement ? Et ça, moi j'ai beaucoup aimé.
spoiler
Moi ce que j'ai surtout vu, c'est que les personnages sont monodimensionnels au possible, jusqu'au gamin, forcément un garçon, forcément insupportable.
Et puis, au final, j'ai l'impression que le gamin ne connait même pas son père. Alors que, visiblement, il a dormi avec sa mère la veille.
Bref.
Caricatural.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2192400, posté à 23:25 le 06/07/2010  
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besmel
tenia a dit :
Ca vaut surtout pour Binoche.
Voilà.
on voit sa chatte ?

Message n° 2192403, posté à 23:25 le 06/07/2010  
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Finally
De mémoire, on la voit dans l'insoutenable légèreté de l'être.

Message n° 2192419, posté à 23:27 le 06/07/2010  
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besmel
Finally a dit :
De mémoire, on la voit dans l'insoutenable légèreté de l'être.
culte !

Message n° 2192914, posté à 00:33 le 07/07/2010  
+1.00
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Fresh Prince
Paranormal Activity : J'ai bien aimé. Une comédie légère sans prétention. Ca faisait quelques temps que je n'avais pas autant ri. Bon, ça n'égale pas certaines comédies, c'est clair, mais c'est franchement pas mal. Certaines scènes sont hilarantes, et les acteurs sont vraiment drôles. Mais toute la puissance du film réside dans le fantôme. Il mène la barque sans qu'on ne le voit jamais. Et ça, c'est fort ! Un peu comme Bill, dans Kill Bill. Ou un méchant de James Bond (j'ai oublié lequel). On le voit jamais, mais il mène tout. C'est super classe.
Alors, on se met à imaginer ce que ce chenapan a bien pu faire. Un coup, il rentre dans la pièce, et referme la porte derrière lui, évidemment. Mais il comprend vite que s'il la remet pas comme elle était, il va se faire cramer, donc...
Un coup, il essaye de manger un truc dans le frigo, mais il se cogne.
Un autre coup, il se promène au plafond, mais il se cogne encore. Je crois qu'il est mal voyant.
Un coup, il mate un porno dans la chambre des deux mecs, et enlève vite la K7, laissant la télé "grésiller", dés qu'il entend quelqu'un arriver.
Un coup, il caresse la nana, sans qu'elle se réveille.
Un coup, il retente, mais y avait du talc par terre, alors il se fait cramer. Mais on imagine bien, quand on voit les traces manquantes, qu'il a pris ce talk pour de la coke et qu'il a essayé de se faire un rail.
Un coup, il fait le DJ avec du ouija, mais tout brûle, et là, il est dans la merde, alors il part se cacher.
Un fantôme très efficace, quoi.
Non, vraiment, j'ai passé un agréable moment de détente, et j'attends le 2 avec impatience, car il semblerait qu'il y ait deux fois plus de gags ! Youpi !
PS : Si c'est aussi simple de faire un film, vous allez me voir dans pas longtemps derrière la caméra.
PS2 : Mention spéciale à l'actrice qui parvient à rester jusque 1h30 debout sans bouger. Chapeau.

*édité à 00:52 le 07/07/2010
Message n° 2192933, posté à 00:35 le 07/07/2010  
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Fresh Prince
Non, sérieux, ça m'a bien détendu, surtout que j'avais bien les nerfs après avoir vu un statut facebook disant "In Glorius Basterds <3".

*édité à 00:59 le 07/07/2010
Message n° 2193349, posté à 01:52 le 07/07/2010  
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Kenji
kick-ass
Trop aimé ^^.
Je pense que me le prendrais en BR.

Message n° 2193494, posté à 06:52 le 07/07/2010  
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tenia
besmel a dit :
on voit sa chatte ?
Nan.
Par contre, elle passe le film à moitié en train de chialer.
Constamment.
Un peu comme Angelina Jolie dans L'échange.
C'est d'une finesse...

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2193513, posté à 07:44 le 07/07/2010  
+2.33
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koni
Un peu comme toi, quoi.
Message n° 2193546, posté à 10:14 le 07/07/2010  
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Ano nyme1
Dog Pound
Un film de prison aux ressorts classiques mais efficaces.
L'arrivée au centre de détention pour mineurs d'Enola Vale de trois adolescents aux caractères bien différents, Butch, Davis & Angel, dont les premiers jours face aux invectives des plus anciens scelleront leur futur proche.
Kim Shapiron nous prouve, après un film plus que bancal, sa capacité de réalisateur à nous immerger dans un environnement donné et à nous intéresser à ses personnages.
Je noterai particulièrement la prestation d'Adam Butcher, dont la colère intérieure au personnage déborde par tous les pores de sa peau.
Un point intéressant est l'abstention de tout pathos lors des scènes où les personnages principaux souffrent de maltraitance. Ce qui pourrait être attribué à un manquement du réalisateur à nous donner de l'empathie envers eux, mais dont je préfère penser qu'il nous évite les habituels violons et nous communique un constat froid des conséquences, injustes, de leurs actions.
J'ai personnellement vibré aux violences issues de Butch, jouissant un peu plus à chacun de ses coups. Une rage brute et une détermination animale, que j'avais rarement vues depuis le final de 28 Days Later. Je suis malade.
Next :
 [x]

*édité à 10:15 le 07/07/2010
Message n° 2195861, posté à 22:52 le 07/07/2010  
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Batefer
Ce truc-là :
(qui est très bien)
Ça me rappelle furieusement une Rubrique-à-brac sur le thème du cinéma avec certains gags similaires. Mais j'arrive pas à retrouver lequel exactement. Ça dit quelque chose à quelqu'un ? C'était sur le western il me semble.

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 2197532, posté à 02:42 le 08/07/2010  
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Baje
Sophie Scholl
 [x]
Assez sympathique. Surtout pour le sujet, peu évoqué.
La réalisation, assez plate, est plutôt en accord avec le style du film. Les acteurs sont bons. Les évènements semblent décrits avec précision. Sauf que, en vérifiant après le film, l'interrogatoire semble totalement à l'ouest dans le film. Le type de la Gestapo tente de la sauver et a un semblant de compassion. Ce qui semble totalement faux vu ce que j'ai lu.
Seul la musique m'a en permanence semblé en décalage avec le film.
Et j'aurais préféré un film sur "La rose blanche" plutôt que sur la nana. A voir quand même malgré ces défauts.

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 2199043, posté à 17:44 le 08/07/2010  
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Ano nyme1
Long Weekend (1978)
L'original, à la base du remake insipide de 2008 avec Caviezel.
La principale différence étant que si l'original sortait aujourd'hui, malgré toutes ses qualités formelles, il serait en partie rejeté pour son aspect "pub greenpeace acidulée". Mais il y a trente ans, pratiquement tout le monde se branlait joyeusement de l'environnement et jouait encore à l'homme conquérant et destructeur.
Du coup Long Weekend apparaît comme cinématographiquement novateur pour l'époque, et même aujourd'hui, tient toujours le haut du pavé dans la catégorie "Man vs. Mother Nature".
C'est l'histoire d'un couple qu'un avortement a plombé, et dont l'homme pense qu'un weekend, dans la nature, au bord d'une plage isolée, pourrait rapprocher (parce que la femme veut plus faire la bête à quatre pattes depuis l'incident). Elle pas très chaude et un peu chiante. Du coup le type emmène sa chienne en cachette, avec eux. Cricket qu'elle s'appelle.
Je ne pense pas que le film soit stéréotypé, le couple doit assez fortement ressembler d'un point de vue comportemental aux australiens de l'époque. Un petit nombre dans une immense étendue, au cycle de prédation déréglé par les apports de la faune européenne, peu concernés par la faune locale (je me souviens encore des kangourous de Wake Fright), pas inquiétés par leurs quelques déchets jetés sans plus de question quand à leur devenir...
Ici, on suit les actions de Peter et Marcia au gré de leurs décisions, Mère Nature, bien que forçant sa mystérieuse nature à plusieurs occasions, ne leur dicte pas leur conduite. Le style est quasi-documentaire, voyeurs que nous sommes à contempler leur conduite de citadins pollueurs sans état d'âme. Agressifs et meurtriers sans raison, alors que naïfs et insouciants face aux réels dangers. L'incompétence de l'homme moderne sorti de ses villes et de son confort moderne.
La tension grandissante est rythmée par de nombreuses attaques de Mère Nature, contrecoups évidents, et finit de séparer le couple, isolés par leur machisme de Peter et les regrets enfouis de Marcia.
La conclusion est inéluctable, le sort de Cricket, innocente, est tristounet.
Le seul bémol qui l'empêche d'être un très bon film, réside dans l'intervention des volatiles. Constamment ridicules dans leurs apparitions éclairs.
Si Mère Nature pouvait devenir aussi violente et mystérieuse que dans ce film...
Si quelqu'un l'a vu, peut-il en discuter un peu avec moi :
...
J'avais une théorie élaborée au fur et à mesure du métrage qui ne s'est malheureusement par révélée, vraie ou fausse, dans le final.
J'avais comme idée que le bruit de bébé qui crie provenait de l'enfant de la femme retrouvée dans le van, retourné à l'état sauvage.
On voit bien des jouets dans la découverte du campement. Le chien semble toujours vivant et entretenu. Cela expliquerait aussi le déplacement de l'éléphant de mer mort jusqu'au campement.
Mais rien d'autre ne vient étayer cette théorie.

*édité à 17:46 le 08/07/2010
Message n° 2199288, posté à 18:40 le 08/07/2010  
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Ano nyme1
Patrick
 [x]
J'ai enfin vu ce petit bijou de thriller australien souvent recommandé par Hop'.
Kathy Jacquard, infirmière de profession et anglaise d'origine, cherche à s'émanciper de son futur ex-mari et se fait engager dans l'institut Rochet dans lequel elle se voit assignée au chevet de Patrick, comateux depuis trois ans mais aux yeux toujours ouverts.
Je pense que la réussite du film doit beaucoup à la palette de personnages, Kathy en tête, femme forte à la jolie petite bouille, héroïne atypique de ce genre de film. Du docteur voulant expérimenter sur Patrick, à la matrone intraitable, au potentiel amant play-boy ayant quand même du plomb dans la cervelle, à l'ex réellement prêt à se racheter, etc.
Bref, le réalisateur réussit à nous concocter un petit thriller efficace au centre duquel évolue un petit garçon égoïste aux pouvoirs effrayants.
Susan Penhaligon est à croquer (je vais vite aller découvrir ce qu'elle a tourné d'autres...)
 [x]
Les Anges violés aka Okasareta hakui
 [x]
Autre film choc de Koji Wakamatsu qui m'a définitivement décidé à aller fouiner plus tard dans sa grosse filmographie.
Même si j'ai été beaucoup moins touché que dans Les Secrets derrière le mur, qui était plus construit et moins coup de poing choc que celui-ci, Wakamatsu démontre son talent à conjuguer le genre pinku eiga avec sa critique virulente de la société japonaise des années 60.
Ici, s'inspirant d'un fait divers américain, un détraqué s'introduit dans un dortoir d'infirmières, et arrive ce qui doit arriver.
Même si la partie avec la mer en bruit de fond m'a assez peu convaincu, je dois dire que tout le dialogue à deux est magique. Quand il s'agit de filmer des visages, Wakamatsu est un pro.
Abigail Lesley Is Back in Town
 [x]
Ou qu'elle se trouve, il semble que la maison d'Abigail Lesley soit toujours la plaque-tournante du sexe locale.
Libérée, sans tabou, pleine d'envie et prête à venir foutre le boxon dans son bled d'origine, Abigail is back.
Les films de Joe Sarno ont l'air (je confirmerai ou non ce soir) d'aller plus loin que les films érotiques de M6 que la majorité d'entre nous connaît. Un poil plus profond, et d'un érotisme lorgnant un peu plus vers la pornographie que ce que nous connaissant (on sent que certain actes, cunnilingus par exemple, ne sont pas simulés, même si seules les poitrines nous sont montrées).
Il y a même un fond, une histoire, une critique. Celle de cette petite Amérique où tout le monde se connaît, où les ragots circulent vite, où on affiche un puritanisme de bon aloi alors que le désir de la chair habite chacun. Une Amérique dans laquelle s'assumer et s'épanouir oblige souvent à quitter le lieu de ses origines.
Même si le début est plutôt mou en scènes licencieuses, le rythme se déchaîne et les scènes s'enchaînent dans la seconde partie, rarement entrecoupées de moments moins chauds.
La femme est à l'honneur dans ce film, le règne de la poitrine naturelle, de la plus petite à la plus charnue, et du poil n'est plus à prouver. Un temps que l'on regrette. Les moments lesbiens prennent le pas dans ce métrage, sur les rapports classiques, la femme mène le pas, prend les décisions, et c'est encore ce qui permet de faire les meilleurs films de ce genre.
Top lolos :
1. Rebecca Brooke (Priscilla) : d'exception
2. Jennifer Jordan (Abigail)
3. Jennifer Welles (Drucilla)

*édité à 18:42 le 08/07/2010
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