Ils buttent mon perso préféré comme si de rien n'était dans une scène pourrie, en évitant en plus de tuer Tara, ma bonne nouvelle de sériephile 2010 si c'était arrivé. La moitié de l'épisode est endormant... Je parle même pas des pleurnicheries de la rousse qui donnent envie de se tirer une balle. Ou encore de l'histoire de la blonde que je sentais venir à 100 à l'heure. J'ai envie de la finir pour qu'elle arrête de changer d'avis 12 fois par épisode.

Et cette fin... qui aurait pu être si puissante. Le discours est bien écrit mais j'attends tellement depuis le départ qu'on nous parle un minimum de ce monde de vampire qui souhaite faire la paix avec les hommes (ou pas), de ces institutions qu'on ne voit que dans des scènes qui sont là pour mettre en lumière le reste de la série, à savoir qu'on suit des gens du trou du cul du monde.

Et là, encore une fois, on nous balance des institutions à la va vite, ça arrive de nulle part et ça repartira sans doute aussi vite une fois que l'affaire sera classé. Alors le discours, il a forcémment moins de poids et j'en avait un peu rien à faire vu que l'importance des institutions, leurs discours "pro-humain" est quasi nul depuis le début de la série. Ça aurait pourtant été super intéressant à développer au fil de la série...

Reste la folie du personnage de Russell, que j'adore et qui j'espère va durer au fil des épisodes jusqu'à la fin de la saison.

: Grrr Manimal !