Déjà, grossière erreur, Zuckerberg n'est jamais de la vie un génie, si ce n'est de l'informatique mais dans le film il est clairement passé pour un gros salaud de service, limite anti-héros et on voit clairement que c'est un type qui avait de gros problèmes psychologiques et qu'il a voulu les réparer tous en créant ce machin, mais qu'au final, il a jamais de la vie eu ce qu'il souhaitait. Bref, histoire classique mais qui marche absolument. Après, là où le film est intéressant, c'est où est-ce que la réalité rejoint la fiction ? On matant l'interpréatation de Eisenberg, j'arrivais pas à me dire que Zuckerberg était réellement comme ça... Je ne sais pas si le film a pris de grosses libertés, ou si Sorkin et Fincher ont rencontré Zuckerberg pour établir son profil psychologique, mais la position du personnage est en tout cas très intéressante. Tout comme celle de Eduardo Savarin, qui va à l'opposé de Zuckerberg dans le film, car c'est lui la victime et un peu le héros dans l'histoire... La vie de Zuckerberg et de Facebook ne s'est pas arrêté là, je pense que le film voulait simplement raconté comment ce truc aussi populaire aujourd'hui a vu le jour et quelles ont été les retombées sur ceux qui l'ont créé. Je crois profondément que malgré que Zuckerberg soit le plus jeune milliardaire du monde, il a dû énormément souffrir pour y arriver et je trouve qu'on le voit très bien dans le film.