Chiant. Avec des acteurs horripilants. Insupportables. Et des écrans verts partout, ça pique les yeux. A partir du train, ça m'a achevé, ennui total, j'ai commencé à checker mes mails.

Une mention spéciale de la scène avec la moto de police. 10 secondes réussies sur 1h40, c'est peu.

C'est rigolo. Y en a qui disent que ça pique les yeux mais c'est même pas vrai.

Travolta cabotine, le héros est moins brise-couilles que ce à quoi l'on pourrait s'attendre, les racailles françaises parlent mieux anglais que vous et moi, pour une fois on essaye pas de nous la faire à l'envers entre les deux personnages principaux, bref, ça se laisse regarder, à peine plus.

Difficile de faire le top de l'année sans l'avoir vu (faudra que je me farcisse Avatar d'ailleurs, pfff).

Fincher est loin d'être un bras cassé, la mise en scène, le découpage et les dialogues font qu'on est tout de suite pris dans l'histoire, Jesse Eisenberg a un sacré bon débit et son interprétation sans faille fait qu'on classe assez rapidement Zuckerberg proche d'un Asperger.

L'entrelacement des procès soutenant la description de la genèse du site démontre une fois de plus le sens aigu de la narration du réalisateur.

La fin est parfaite, dans la totale continuité de ce qui a été raconté, c'est à dire une histoire d'amitié entre un type sympa et un handicapé sentimental frappé d'un complexe de supériorité.

Un peu déçu d'apprendre que le film soit très éloigné de la réalité, notamment au niveau des caractères des personnes représentées. Quand il s'agit de l'adaptation d'une fiction, les écarts sont aucunement importants, lorsqu'on s'inspire de faits réels très célèbres (ici le site), on se sent toujours blousé si les variations sont importantes et au-delà du besoin de romancer pour ne pas rendre le tout indigeste.

Une réussite, sans conteste.

n'oublie pas de créer un groupe facebook de merde pour dire que t'as aimé.

Il sera content le boutonneux le plus riche que Bill Gates au même âge

2009 avatar

Sauvé !

<3 Ronrount, je suis d'accord avec 99% de ce que tu dis et pas que sur The Social Network :D

Gay !

Oh noooooo. J'ai pas encore lancé. Ca va être nul now j'en suis sur :(. Tu regardes quoi comme série sinon ? C'est quoi ton top recommandation ?

Non mais lance pas, c'est nul. Même le dernier Romero est meill.... Non, je déconne, c'est aussi nase.

Angèle et Tony : Si je disais ce que j'ai vraiment pensé lors de la séance, on me dirait que je descends pour descendre. Et ce qu'a dit la réalisatrice après le film n'a rien changé à mon avis. J'avais l'impression qu'elle parlait d'un autre film. Parce que dire que cette pute nymphomane vit une histoire romantique avec ce "héros" (elle appelle "héros" un marin qui fait des grèves et qui enchaîne kronenbourg sur kronenbourg, mais qui, quand même, n'aime pas qu'on lui touche impunément la bite et est répugné par le terme "baiser"), c'est un peu du foutage de gueule. Quand j'ai vu le nom de Key au générique, j'ai flippé ma race. Surtout qu'il s'occupait du son, un son particulièrement mauvais et qui donnait mal à la tête. Mais c'était un homonyme, ouf.

La mosquitera : Bordel, je suis parti avant les scènes de nu. Encore une fois, on dirait que je descends pour descendre, même si y a un moment où faut arrêter dans le portnawak. Cette fois-ci, le réalisateur a parlé avant. Il nous a donné envie, hein. Bon, il était barcelonnais, donc tout de suite, je me suis dit que ça allait pas le faire, qu'il allait nous la jouer "beau jeu" et tout ça, mais quand même. Non, sérieux, un film tout pourri, je suis parti au bout de 45 minutes, j'en pouvais plus.

Grève party : Tiens, je savais pas que Fabien Otoniente pouvait faire des comédies passables. Bon, le délire des citations toutes les 5 secondes, ça devient vite lourd, mais y a quand même quelques passages assez drôles. Ah, et, elle est super sexy Aure Atika quand même.

Je savais que t'allais me devancer !

L'un des premiers films depuis longtemps pour lequel je ne vais pas attendre les ST RIP. J'espère ne pas faire de connerie, hein, baje ?

Ah putain, je pensais être le seul. J'ai arrêté au deuxième. Autant le premier j'ai adoré, autant le deuxième j'écrivais des textos en même temps.

Sinon, Le Pull-Over rouge, maintenant que j'y pense bien, j'ai pas tellement vu ça comme du cinéma. On aurait dit un docu, ou un truc du genre. Surtout avec les voix-off et le mauvais jeu des acteurs. Mais, pendant toute la première demi-heure, j'ai attendu un plan, que j'ai fini par avoir. Un plan cliché, aujourd'hui, mais qui relève un tant soi peu du cinéma, quoi. Une scène où on voit le tueur, mais sans voir son visage, histoire de montrer qu'on sait pas qui c'est, blablabla. Zodiac style, quoi.