Stewart et Colbert s'arrêtent, pas Conan ni Ferguson.

Pour ceux qui aiment les films précis sur des moments de vie, c'est juste parfait. Ca s'adresse clairement pas à tout le monde. C'est un film roumain où le réal (Radu Muntean) pose la caméra et nous livre des moments de couple. Le film compte 7 scènes en tout et pour tout, qui donc s'étalent assez dans le temps pour nous faire vivre pleinement ces moments. C'est magnifiquement écrit et joué.

Bref si en lisant ça, vous avez pas peur de vous faire chier comme un rat mort, foncez. Ah et au fait, ça parle d'un homme marié, qui a rencontré une femme plus jeune dont il est tombé amoureux.

Du grand n'importe quoi. Et en plus c'était long et assez chiant. Heureusement, y avait Gillian Jacobs.

Demain, Donnie Darko.

Version ciné hein, pas Director's Cut. Steuplaît.

Mais Lilo t'expliquerait ça vachement mieux que moi.

J'ai trouvé ce film vraiment très, très bon.Ni trop court ni trop long, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde.Le cadre, le périple, les acteurs et leur histoire, l'atmosphère avec certaines scènes qui emportent vraiment le spectateur, tout était très bien, très beau, et surtout très vrai.

Get Him To The GreekBien sympa, meme si y a des moments ou je me croyais dans Las Vegas Parano. Tout n'est pas toujours super drole, mais le perso principal est tres attachant. Parfait pour un film qui se prend pas au serieux.

Forgetting Sarah MarshalMarrant, mais un peu lourd, certaines situations se voient venir a des kilometres. Mais bon, c'est la periode de fete, des films bons enfants ca pssse bien.

Knocked upJ'ai eu envie d'eteindre des les premieres minutes. C'est long, previsible, rempli de cliches. (mais bon les comedies romantiques c'est pas non plus mon truc)

Séance complètement WTF ! Dix minutes après le début du film, par un trou de 60 cm sur 60 cm dans le plafond, il a commencé à pleuvoir dans la salle. A peu près au milieu des sièges. Et pas quelques gouttes hein, mais de gros filets faisant un bruit conséquent, comme s'ils atterrissaient sur du plastique. La réaction des employés ne s'est pas faite attendre (je plaisante bien évidemment), ils sont venus bâcher les deux sièges visés, pour les protéger, et ont installé un seau dessus, pour faire encore plus de bruit. Rien d'autre. A-bso-lu-ment rien d'autre. Situation normale quoi. En plus des connards au popcorn et aux portables et des wesh wesh qui peuvent plus se sentir devant les films où le voyou est un simili-gentil et les flics des pourris.

Bref... (vive UGC Les Halles, mais évitez la salle 7 si possible)

Un polar assez efficace, qui ne te laisse pas t'ennuyer. Mais je ne dirais pas non plus qu'il s'agit d'un film de qualité. Pas de performance incroyable, une réalisation juste limite (un peu plus cut et sèche, et elle se rendait illisible), un scénario classique, des situations un peu grosses, et surtout, une vision des flics qu'il faudrait peut-être voir à abandonner.

Marchal a ouvert la voie de la perte du stéréotype de l'idiot du village, mais là ça devient franchement n'importe quoi. Pour peu que tu sois gradé et donc en civil, dans la police nationale française, tu ressembles forcément un ex-commando. Tu as une sale tronche, une gueule fermée, des cernes, un regard d'ex-agent du KGB, un barbe de trois jours non-taillée (même pour les femmes), tu fais la gueule en permanence, tu es sombre et violent, tu as une veste en cuir, des fringues toutes noires et tu conduis une berline noire. En gros, tu es un voyou, un porte-flingue, mais tu as la loi de ton côté.

Bon par contre, Gilles Lellouche a un fort capital sympathie, et on s'y identifie facilement tellement on aimerait avoir la même femme que lui dans le film (le minois, l'accent, le caractère, hmmm).

Ça me fait d'ailleurs penser que j'ai réussi à me libérer pour vendredi après-midi. Comprenne qui pourra.

Ça faisait un bout que je ne l'avais pas revu, et il fonctionne toujours aussi bien. Même si je ne saurais mettre exactement le doigt sur ces notions, j'ai eu l'impression que le film était un chaînon entre les codes stricts des films pré-70 et la facilité, le pré-mâchage qui est fait aujourd'hui. Je ne saurais le décrire exactement, mais j'ai ressenti un double signal quand au côté technique et narratif.

Les performances de Bruce Willis et Brad Pitt sont vraiment excellente, et je crois qu'ils se positionnent comme deux piliers assez forts de la réussite du métrage.

Bruce Willis y voit d'ailleurs l'avenir ("All I see is dead people.") et se déguise tel le Chacal.

On peut également y apercevoir un Christopher Meloni avec des cheveux, mais déjà dans un rôle de flic, et un David Morse roux (un clin d'oeil ?).

T'y vas une fois tous les 36 du mois et tu vis des trucs que j'ai jamais vu en 3 ans.

J'ai mis deux minutes avant de tilter, au début je pensais que c'était un gars qui faisait chier avec son sachet en plastique derrière moi, du coup je n'ai pas vu la réaction des gens qui se sont fait tremper par surprise, mais j'imagine la surprise.

Et les gens sont tellement conditionnés à avoir un environnement déplorable pour regarder un film, que personne n'a vraiment gueuler. Les gens qui commentaient déjà tout haut le film y ont seulement vu une excuse pour redoubler d'ardeur.

Pendant Twelve Monkeys, un gros ventilo s'est mis en route pendant la projection, et a mis 5 minutes à être éteint, puis le projectionniste n'a pas dû voir le signal et a raté un changement de bobine, d'où coupure.

Vivement le vidéo-projecteur chez soi.