A mes gosses, je leur achèterai toutes les BD du monde, comme ça ils voudront être un super-héros, comme moi.

C'est juste mon super-héros préféré.

Et voir une tapette virevolter dans les airs, moi ça me fait pas triper.Désolé hein.

Rico, on t'as déjà dit, balancer des Who's your daddy à tout bout de champ, ça ne se fait pas. Laisse FP dans l'âge de l'innocence encore un peu. Tu pourras le faire quand il aura son BAC.

Belle réussite.

Trois choses m'ont gênées.

La "réalisation", bourré de filtre du début à la fin, j'aurais préféré avoir les images brutes puisqu'on a le droit à un documentaire qui se veut brut de décoffrage, il n'y a aucun commentaire, on vit le séjour des soldats uniquement avec ce que l'on voit et entends d'eux.

Le montage. C'est parfois découpé pour avoir un rythme continue surtout pendant certaines séquences d'accrochage avec les talibans. Sauf qu'on voit bien que c'est découpé et qu'on avance parfois de plusieurs centaines de mètres alors qu'on voudrait nous faire croire que qu'ils passent une porte ou un bout de terre d'une manière continue. Ca m'a un peu gêné de pas avoir une vraie continuité parfois.

Contrairement à ce qui est vendu, on ne voit pas vraiment les soldats découvrir des choses auxquelles ils ne s'attendaient pas. Ou plutôt, on les préparent tellement mal à la guerre moderne, sans doute à cause de leurs vies civiles que leur comportement craint vraiment.

Mais pas réellement de bouleversement dans leurs comportements, c'est surtout la façon dont il ont vécut avant qui les influencent quand ça chauffe, pas la guerre qui les poussent à être comme ça.

Elevé au film de boule, aux différents call of duty et à une idée assez bizarre de la guerre, ça ne peut que dégénérer un peu par la suite. D'ailleurs été assez choqué par le fait qu'ils n'écopent de rien à la fin. Ils se justifient d'ailleurs d'une drôle de manière. Il n'y a personne qui vient servir son pays ou faire le bien, ils ont tous des motivations très personnelles, en tout cas c'est le point de vue que le reportage semble entretenir d'une manière indirecte (puisque sans aucun commentaire du début à la fin).

Malgré ces quelques points, j'ai vraiment adoré, il faudrait plus de documentaire tournés de cette façon et en plein coeur de la chose. Mais difficile, je pense, d'avoir tout le temps la liberté de faire ce genre de chose.

Je recommande fortement, ça change de tout ce que j'avais déjà vu.

Film bien sympathique malgré le fait que le scénario soit bien trop prévisible.

Et heureusement que François Cluzet est ici pour sauver le film.

Ouais le couple Cluzet - Magimel fonctionne bien.

Mais j'ai surtout aimé les gros pétages de câble de Cluzet.

Indiana Jones and the Temple of Doom : Indy, mon héros. Tout de même, de nombreux temps morts entre les fabuleuses 20 premières minutes et les folles 30 dernières (à peu près). Celui que j'aime le moins parmi les trois, donc. Comme souvent dans les trilogies...

Il est sur ma liste, celui-ci.