J'ai passé une après-midi à coté d'un enfant une fois qui n'arrêtait pas de le regarder en boucle. J'avoue que c'est un peu lassant au bout d'un moment, même si c'est un film qui se prête à plusieurs visionnages, mais curieusement même ça n'a pas encore réussi à m'en dégoûter totalement. C'est dire.
: Je me demandais juste, si c'était le côté mélo de la fin dont j'ai entendu parler qui n'est pas passé, ou si tu n'avais juste pas trouvé le film bon.
Juste chiant.
How Do You Know
J'ai bien aimé. L'idiot sportif blondinet joue bien son rôle, l'actrice principale a une bonne bouille et je l'apprécie et puis, Rudd. <3C'était plus sympa que l'autre truc.
Eh ouais, je fais un marathon com-rom.
-- Damn it, woman! What was his motive? A locomotive.
*édité à 01:46 le 23/05/2011
Message n° 2780574, posté par Tarakouda à 01:50 le 23/05/2011
De magnifiques prises de vue avec de jolis paysages, au moins le tiers du film sur fond de musique... Puis il y a Jeff Bridges, qui est très touchant en chanteur de country, alcoolique (dépressif?) dépassé par son ancien apprenti et qui gagne mal sa vie.
J'ai beaucoup aimé le fait que les chansons soient interprétées par les acteurs et que les musiciens soient issus de vrais groupes (du moins, si j'ai bien compris), ça donne une certaine ambiance au film.
-- «There’s different stages of loneliness. You may feel lonely as you walk on your own inside a dark forest, a normal reaction of fear of what might be out there.
Message n° 2780582, posté par Baje à 02:35 le 23/05/2011
Très longtemps que je l'avais pas vu. Ça donne l'impression de traîner en longueur mais vu que j'ai rien vu venir jusqu'à 10 minutes de la fin, c'est très bien passé.
Je le reverrais dans 10 ans.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 2780586, posté par NR. à 02:55 le 23/05/2011
J'ai du le voir il y a deux ans pour la première fois. Qu'est-ce que j'ai pas accroché. C'est vraiment un univers que je n'aime pas au possible (mafia à l'italienne, etc.). Et je comprends pas pourquoi Sean Penn a gagné un oscar pour ce film mais pas pour Dead Man Walking.
: De magnifiques prises de vue avec de jolis paysages, au moins le tiers du film sur fond de musique... Puis il y a Jeff Bridges, qui est très touchant en chanteur de country, alcoolique (dépressif?) dépassé par son ancien apprenti et qui gagne mal sa vie.
C'est un film sympa mais je le trouve beaucoup trop proche de The Wrestler, qui m'avais véritablement emballé au possible. Et la prestation de Mickey Rourke était vraiment exceptionnelle et très touchante.
(Oui, c'était le post, je suis pas d'accord avec les avis des autres.)
Message n° 2780601, posté par ricorod à 07:06 le 23/05/2011
Vanishing on 7th street : quelques moments efficaces (j'ai sursauté une fois ou deux, c'est rare), mais un film sans queue ni tête. Le film vise à provoquer l'empathie pour les personnages au détriment de ce qui se passe. Mais comme ils sont tous à peine effleurés, on s'en fout royalement. Dommage.
Mongolian Death Worms :les asticots sont rigolos et plutôt bien foutus, mais c'est vraiment très, très con.
Comme Tremors, mais sans l'humour.
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 2780638, posté par kelidric à 09:24 le 23/05/2011
Harry Potter VII - Part 1 : un film long, sombre et lent, chargé d'une forte atmosphère de tristesse. J'ai bien aimé cette vision, qui pour moi recrée bien l'atmosphère du livre.
C'est un peu long, mais j'ai vraiment bien aimé.
-- First lesson : stick them to the pointy end
Message n° 2780652, posté par spaces à 10:14 le 23/05/2011
: J'ai du le voir il y a deux ans pour la première fois. Qu'est-ce que j'ai pas accroché. C'est vraiment un univers que je n'aime pas au possible (mafia à l'italienne, etc.). Et je comprends pas pourquoi Sean Penn a gagné un oscar pour ce film mais pas pour Dead Man Walking.
Le livre est absolument palpitant.
-- 1/3 de pulco, 1/2 d'eau et le reste de limo...
Message n° 2780712, posté par Baje à 11:02 le 23/05/2011
: J'ai du le voir il y a deux ans pour la première fois. Qu'est-ce que j'ai pas accroché. C'est vraiment un univers que je n'aime pas au possible (mafia à l'italienne, etc.). Et je comprends pas pourquoi Sean Penn a gagné un oscar pour ce film mais pas pour Dead Man Walking.
Mouais.
J'ai trouvé que c'était un film sur le destin, les choix et les trucs qui nous tombent sur la tronche dans la vie. Et personne n'est parfait, tout le monde a ses secrets.
La mafia, j'en ai franchement rien eu à faire. Le fait que des types soit des caïds ne vient qu'accompagner le récit.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 11:03 le 23/05/2011
Message n° 2781131, posté par ricorod à 18:08 le 23/05/2011
Il faut bien que quelqu'un se dévoue. C'est pas FP qui va se sacrifier pour regarer les bouses SyFy et les trucs avec "gator" ou "death worms" dans le titre.
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 2781203, posté par Fresh Prince à 19:12 le 23/05/2011
The tree of life : C'est plutôt intéressant. Il y a de nombreuses notions philosophiques
en plus des religieuses
Mais c'est beaucoup trop long.
C'est pas tellement incompréhensible, franchement. C'est juste différent, voire expérimental. Mais vraiment pas incompréhensible.
C'est extrêmement beau, aussi. Un délice pour les yeux, mais également pour les oreilles. Le côté technique est un énorme plus du film.
Sinon, à part ça, je trouve pas que ça mérite une palme.
Mais pitié, qu'ils viennent pas comparer ça à 2001, qui n'a rien d'expérimental, et qui ne perd pas ses spectateurs à partir du moment où ils sont concentrés.
Message n° 2781235, posté par Fresh Prince à 19:21 le 23/05/2011
Ah, par contre, j'ai l'impression que Malick a voulu placer trop de thématiques dans son film, rien que pour faire joli, rien que pour montrer que c'est un film réellement sur la vie.
On a droit à tous les stades de l'enfance, à tous les clichés possibles et imaginables sur les parents des années 50 (peut-être qu'il s'est fait élever comme ça, qui sait).
On sent aussi une volonté de dissociation par rapport à la voix-off. Comme si Malick voulait que dans son film, la voix-off ne soit pas comme à son habitude explicative, mais au contraire encore plus mystérieuse et allusive que les images elles-mêmes.
Ca m'a parfois fait penser à d'autres films sur les mêmes thèmes. Enter the Void, évidemment. The Fountain, aussi (que j'ai trouvé nettement plus réussi, chargé d'émotions, et communicatif)...
Comme pour Thin Red Line, j'ai l'impression que Malick ne donne de la vie à ses personnages qu'en les rendant tristes et misérables, toujours avec la même expression faciale, toujours avec la même admiration pour tout ce qui les entoure... Un sorte d'émerveillement constant.
C'est vraiment intéressant pour le fond et souvent pour la forme, mais ce ne sera jamais aussi passionnant qu'un 2001, si on doit encore le citer.
Message n° 2781239, posté par Baje à 19:24 le 23/05/2011
: Comme pour Thin Red Line, j'ai l'impression que Malick ne donne de la vie à ses personnages qu'en les rendant tristes et misérables, toujours avec la même expression faciale, toujours avec la même admiration pour tout ce qui les entoure... Un sorte d'émerveillement constant.
Ils sont tristes et misérables, en émerveillement constant.
Bah voyons, pourquoi pas.
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 2781245, posté par Kenji à 19:25 le 23/05/2011