koni a dit
Je parlais surtout du final. J'ai eu le sentiment qu'il n'arrivait pas à finir, qu'il avait du mal à laisser partir ses personnages. Et moi, je n'en pouvais plus. Et pas à cause d'une certaine empathie pour les personnages, mais parce que c'était interminable.
le 26/06/2011 à 12:34
:Je parlais surtout du final. J'ai eu le sentiment qu'il n'arrivait pas à finir, qu'il avait du mal à laisser partir ses personnages. Et moi, je n'en pouvais plus. Et pas à cause d'une certaine empathie pour les personnages, mais parce que c'était interminable.

Oui bah c'est un peu son truc de faire revivre au spectateur ce que subissent ses personnages. La danse était dégradante et interminable pour Hazia Herzi, et il prend clairement le temps de le ressentir pas seulement de le comprendre.

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Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr
Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
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