Samedi, plutôt. Dimanche c'est le film de clôture.

Sinon, puisqu'on parlait de la classification, le -16 ans semble confirmer qu'ils se basent uniquement sur le sujet, sans voir le film. C'est pas possible de mettre -16 à ce film et -12 à The Divide. Je vois pas, là...

Alors que tous les gamins ont déjà vu des dp avant 16 ans.

Dans les thèmes, The Divide est tout de même plus cru, plus violent, plus malsain. The Clinic reste plus suggéré, moins démonstratif. Bref, je suis d'accord.

Pendant, et après ! C'est une question tellement simple mais qui est tellement dur à répondre. Il ne peut y avoir de bonnes réponses. C'est sa réponse. Et ça doit être bien la question la plus dure à répondre. La simplicité en plus avec laquelle elle est posée. La simplicité de la réalisation n'est là que pour servir le sujet tellement humain du film. Les scènes sont tournées en toute simplicité, aucun artifice. Ou alors avec très peu de moyen. Tout comme seront par la suite réalisés ce souvenir. Ce film montre bien "qu'il en faut peu pour être heureux". Après tout, pas besoin d'être l'homme le plus riche au monde pour pouvoir apprécier un vol en avion, ou un voyage en famille.

J'ai rarement vu un film où la musique quasiment inutile. Elle est d'ailleurs quasiment inexistante. On est bercé par le son du vent, des feuilles. La nature est omniprésente. C'est un véritable retour au source auquel on a le droit et que les personnes doivent faire pour pouvoir trouver quel souvenir choisir.

Et puis le développement de cette histoire d'amour, sur plusieurs générations, c'est maitrisé magnifiquement bien. Le banc devient un lieu symbolique. Et pour cause, c'est avant tout un lieu de repos et de rencontre. Et c'est sur celui-ci que Takashi décidera de trouver le repos éternel.

Chose intéressante c'est que c'est le seul film que je connaisse qui ne propose pas une réflexion sur l'après mais sur l'avant. Rarement il est question de savoir ce qu'il y a après. On cherche d'abord à faire un retour sur soi pour repartir heureux. C'est très japonais comme façon d'appréhender la vie.Et bien même tu n'est pas capable de trouver une réponse à cette question, tu as la possibilité d'aider les gens par la suite pour qu'eux puissent aller vers l'au-dela. Et qui sait, pouvoir ensuite trouver ta propre réponse.

Certains souvenirs contés sont aussi très touchants. Surtout celui de vieil homme qui pendant la seconde guerre mondiale a eût la chance de pouvoir constater un moment de grande noblesse humaine dans un cadre des plus inhumains possibles.

Un film très beau qui nous bouleverse encore après un visionnement. Et ici, on a pas besoin de faire une pseudo réflexion de rêves dans un rêve dans un rêve. Tout en simplicité.

C'est pas très gentil pour Captain.

Ben après avoir vu Green Lantern en 1er, je me suis dit que c'était nul. Mais après avoir vu les deux autres, finalement, c'était le moins pire.

Ca a l'air très très laid aussi. CA a pas l'air trop moche par contre.

Spun : en une phrase, on suit les tribulations d'une bande d'addicts à la meth.

J'ai passé un très bon moment et ça a été la bonne surprise, j'avais peur que ça soit trop cheap et même si la réal est peut-être un peu too much et facile, le film n'en est pas moins prenant. Le casting est très bien, on suit essentiellement Ross (Jason Schwartzman) un junkie qui se retrouve à faire le chauffeur pour un dealer et sa nana (respectivement Mickey Rourke et Brittany Murphy qui sont vraiment impeccables). On croise aussi Eric Roberts, Patrick Fugit (Almost Famous) ou Debbie Harry.

Ah non, CA loin devant, ensuite Thor, sympathique, et Green Lantern, loin derrière pour plein de raisons.

Ah ouais, quand même.

Parce que vu les retours sur Thor et Green Lantern (parait-il, le nanard Marvel de l'année), je me disais que j'avais eu de la chance de ne voir que Captain America.