le racisme inversé avec les blancs tous cons comme des planches, mais on les pardonne, ils savent pas ce qu'ils font mais ils vont ouvrir les yeux devant ces noirs tous trop formidables et pas aveuglés comme ces cons, sauf la salope blanche qui voudra rien savoir, mais heureusement y a une blanche avec des problème de rapport à sa mère qui va se réveiller, découvrir les rites autochtones parce qu'elle trop hyper marquée par la gentille noire qui l'a élevée, et tous trop les sortir de leur misère gagnant ainsi son respect à ses yeux et aux yeux de sa ma mère qu'elle a trop un souci affectif avec, arrêtez-moi je vais vomir.

Les blancs, surtout (presqu'entièrement) les femmes d'ailleurs dans le film, ne sont pas simplement "connes", elles sont tout simplement incapable de s'émanciper des dogmes de la société (ici, l'état où elles vivent) et du modèle familial qu'elles reproduisent pour des raisons tel qu'un manque flagrant d'éducation, d'études, de culture. Cela se traduit par un racisme primaire, une absence totale de réflexion, une incapacité à surpasser les règles établis par ceux qui étaient là avant. Pour ce qui est à l'époque, sera plus tard et est encore beaucoup aujourd'hui, le rôle que beaucoup d'hommes attribuent aux femmes, la bouffe, elles savent même pas faire ça. Le modèle se reproduit à l'infini jusqu'à ce que...La seule dans le film qui est sympa, elle est pas sympa pour simplement l'être ou parce qu'elle kiffe sa renoi. C'est la seule, dans le film, et j'en avais rien à battre de savoir si y'en avait une par ville à l'époque, qui s'est émancipé très tôt pour se cultiver, étudier, qui n'est pas tombé sur le premier venu pour se marier et suivre le modèle de l'époque. Grâce à tout ça elle se pose les bonnes questions, elle n'oublie pas la femme qui l'a élevé aussi parce que ses parents semblent moins cons que la moyenne, même si la pression sociale fini le boulot et que sa route s'est séparée au bon moment de ses "copines". Elle n'a jamais subit l'effet de masse et le suivisme ambiant.Que t'aime pas, très bien. Mais quelle caricature. Elle ne sort personne de la misère, elle ne sauve personne du racisme, et personne n'ouvre les yeux, soit écrasé par la pression sociale (la blondasse), soit totalement à fond dans le truc (la rousse). La situation de ses parents est particulière, ayant voulus appartenir à un groupe. Rien ne dit jamais qu'ils aient étés des gros bâtards toute leurs vies. C'est d'ailleurs un tabou pendant tout le film la situation de la bonne.Pour finir, les blancs tous cons comme des planches... pas vraiment, les femmes, oui, pour pleins de raisons que je viens de citer. Les hommes souvent tenus par leurs bites, c'est pas nouveau (v'la l'exemple du mari qui dit non pour voir le truc se construire le jour d'après). Quand à la connerie ricaine... si dans un film on voyait un type défendait le retrait de la peine de mort parce que ça coûte plus cher que des les enfermer à vie, on trouverait ça caricatural à mort et ridicule. C'est pourtant le discours actuel de pas mal de golmon là-bas...