Ah oui, c'est sûr, c'est incomplet. Et je pense que c'est un peu fait exprès que ce soit le bordel, ils auraient facilement pu présenter ça plus clairement.

Il y a certains films qui se passent largement d'une explication de texte, mais pour celui-là heureusement que le web regorge de critiques et de retours en profondeur sur le scénario parce que, au delà des multiples rôles de chaque acteur, particularité somme toute anecdotique, je me rends compte qu'il y avait plein de trucs que je n'avais pas compris. Ça mériterait une seconde vision.

Oui...

Ah ouais ?

Perso, y a qu'un truc que j'ai vu qui n'a pas vraiment été exploité, je sais pas pourquoi :

Justement, un truc que j'ai complètement manqué et que je n'ai compris qu'en lisant des analyses du film, c'est que cette idée a, au contraire, été complètement exploitée, dans chacune des époques.

Pour le détail, voir par exemple ici.

Je sais pas trop quoi en dire, si ce n'est que j'ai beaucoup aimé.

Un peu trop mainstreams à mon goût les films que tu regardes, Baje.

Magnifique ce film.

Sushi Girl : j'ai pas détesté, loin de là.

Un petit truc sans prétention, entre potes à tronches des années 80 (Mark Hamill méconnaissable et qui se lâche, excellent).

John dies at the end : un truc de drogués que j'ai surkiffé.

The Informers : Bret Easton Ellis... J'aurais dû me méfier. Heureusement, c'est plein de gens à poil.

J'étais en train de me demander s'il avait pistonné un parent sans talent dans le milieu.

Je déconne. Il m'a juste fait douter sur le nom, le bougre. Puis je suis retourné vaquer à mes occupations

Hoshi o Ou Kodomo (Voyage vers Agartha) : trame universelle (le voyage initiatique d'une enfant vers un monde fantastique) mais mise en image et en musique sublimes, traversée par des fulgurance de violence incongrue.

Plutôt très plaisant, même si j'ai trouvé la fin insatisfaisante.

50/50 : gros moment d'émotion (oui, j'ai chialé), porté par un JGL plus précieux que jamais et un Seth Rogen égal à lui-même mais, pour une fois, presque supportable.