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Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2406494 fois par 24312 utilisateurs
   
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Message n° 3710490, posté à 23:41 le 11/07/2013  
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Finally
koni a dit
le 11/07/2013 à 23:40
:

Sinon Flaubert, c'est plutôt XIXe.
J'avais les années 18xx dans ma tête quand j'ai écrit.

Message n° 3710491, posté à 23:43 le 11/07/2013  
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koni
Bien sûr, bien sûr... Comme quoi, on te lit.
Message n° 3710492, posté à 23:43 le 11/07/2013  
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Finally
koni a dit
le 11/07/2013 à 23:43
:

Bien sûr, bien sûr... Comme quoi, on te lit.
Ah. Je vois que ce que je dis n'est pas un secret pour le King of Kono.
Ceci dit, c'est vrai. Honnest mistake.

Message n° 3710497, posté à 23:56 le 11/07/2013  
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Batefer
Finally a dit
le 11/07/2013 à 22:59
:

K. Dick est un génie. Sûrement un des plus grands écrivains du XXe siècle et il était connu bien avant que ses livres, le plus souvent ses nouvelles, à part pour Substance Mort, seule adaptation que je trouve fidèle par ailleurs, et qui est un film réussi, mais peut-être pas très bon, comparé à l'oeuvre dont il tiré. Mais passons, ce n'est pas le sujet. De toute façon, les univers qu'il met en place sont très difficilement adaptables. Mais je crois que tu te trompes sur le fait que le film aurait unanimement décrié. Il existe encore aujourd'hui une palanquée d'adaptations qui ne respectent en rien l'oeuvre originale dont elles sont inspirées. Est-ce un bien ? Ça se discute au cas par cas, je crois.
Je voulais juste suggérer que très souvent les puristes d'un livre (ou d'un comic book, ou d'un jeu vidéo, ou d'un jeu de société... peut-être pas ce dernier) mettent surtout en avant la fidélité au matériau original pour juger de la qualité d'une adaptation, et que c'est une erreur à mon sens, Blade Runner en étant un exemple flagrant.
Je n'ai pas vu/lu A Scanner Darkly, mais j'ai en effet cru comprendre que c'était l'adaptation la plus fidèle de Dick. Vu que ça a l'air complètement barré, ça doit être vrai.
Finally a dit
le 11/07/2013 à 22:59
:

Il n'en demeure pas moins que j'ai retrouvé dans Blade Runner quelques idées fondamentales abordées par K. Dick dans Les androïdes rêvent-ils de moutons mécaniques ?. J'ai peine à croire que personne dans l'entourage de Scott et dans l'équipe d'écriture n'ait lu K. Dick dans son ensemble, et encore moins que personne n'ait lu Les androïdes, tellement les thèmes évoquées sont semblables, même si effectivement la trame romanesque, ou narrative si tu préfères, ne ressemble ni de près ni de loin à l'oeuvre originale. On a eu de la chance, K. Dick a été non seulement un des écrivains les plus prolifiques de son époque mais sûrement un des plus brillants. On a eu de la chance parce que Blade Runner est sûrement l'un des meilleurs films de tous les temps, certains te diront que c'est même le meilleur. Coïncidence ? Je ne crois pas.
Attention, je n'ai pas dit que personne du film n'avait lu le livre, juste que Scott ne l'avait pas lu. Ceci dit, un réalisateur qui n'a pas lu le bouquin qu'il adapte doit arriver plus souvent que le contraire. Il se repose avant tout sur le script écrit par un scénariste qui, lui, a probablement lu le livre original. Ou pas, quand on voit certains trucs. Le Cobaye est un bon exemple.
Mais, bon, comme tu dis, je commence Dick et certaines choses doivent m'échapper, dont des notions de philosophie et de métaphysique.
C'est dommage que tu ne viennes pas, on aurait pu en discuter...
Finally a dit
le 11/07/2013 à 22:59
:

Après, ses romans ou ses nouvelles ont aussi donné les pires choses que j'ai pu voir en termes de science-fiction au cinéma. Le dernier en date étant L'agence. Je te conseille la nouvelle, elle est sublime. A en pleurer devant une telle simplicité, une telle beauté à l'état brut dans l'écriture et dans l'imagination, dans les leçons qu'il tirait du monde de demain. Aujourd'hui, c'est déjà demain, c'est ce qu'on peut retenir de l'oeuvre de K. Dick, je crois. Le malheureux était prisonnier de son génie. C'était un de ces fous merveilleux que l'on canonise pour se sentir mieux. Mais si tu le lis bien, si tu passes le premier stade qui est les frissons le long de la moelle épinière, qui est finalement le ressenti, la passivité, que tu te mets à ex-ister cela, peut-être que tu t'apercevras qu'on a finalement plus en commun que tu ne l'imagines.
Je n'en suis pas encore là, effectivement. Je retiens pour l'Agence, je n'avais pas du tout aimé le film (ou Paycheck, ou Minority Report... mais Planète Hurlante, si), où est-ce que je pourrais trouver la nouvelle si tu peux me dire ? C'est en recueil ?
Finally a dit
le 11/07/2013 à 22:59
:

Ça n'a pas grand-chose à voir avec ton propos, j'en suis conscient, mais je sautais sur l'occasion que tu te mettes à lire K. Dick.
Non, non, c'est intéressant.

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3710498, posté à 23:58 le 11/07/2013  
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Batefer
Ori a dit
le 11/07/2013 à 23:23
:

Et pour Blade Runner, je sais qu'énormément de personnes considèrent ce film comme un chef d'oeuvre, mais dans mon avis de néophyte, je dois avouer que j'ai eu énormément de mal avec ce film.
J'adore Philip K. Dick et Ridely Scott et ce qu'ils ont fait (je n'ai par contre jamais lu Blade Runner, mais The Man in the High Castle est un de mes livres préférés.), mais je sais pas, j'ai jamais réussi à accrocher. J'avais trouvé le film long, très long et ennuyeux.
Je saurais pas vous dire pourquoi, peut-être parce qu'il avait mal vieilli, ou peut-être que j'ai pas assez de recul pour l'apprécier mais voilà...
Rassure-toi, tu n'es pas le seul. Et puis, on a tous des exemples de films qu'on déteste mais que tout le monde adore.

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3710518, posté à 00:38 le 12/07/2013  
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Gan
Batefer a dit
le 11/07/2013 à 22:36
:

J'essaye depuis quelque temps de lire les écrits qui ont inspiré certains de mes films préférés, je vais au devant de quelques surprises. Inutile de dire que la nouvelle qui a inspiré Total Recall n'a qu'un rapport très lointain avec le film, elle aussi.
Lance toi dans la Trilogie Divine, mec.
Message n° 3710519, posté à 00:38 le 12/07/2013  
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Gan
Le best de Dick.
Message n° 3710521, posté à 00:42 le 12/07/2013  
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Finally
Gan a dit
le 12/07/2013 à 00:38
:

Lance toi dans la Trilogie Divine, mec.
Son oeuvre est tellement dense et vaste que je doute un peu qu'on puisse en extraire une partie et dire que c'est la meilleure.
Amendum : Par contre, c'est le seul que je n'ai pas lu. Mais tu m'as donné envie sur le topic des livres.

*édité à 00:43 le 12/07/2013
Message n° 3710522, posté à 00:44 le 12/07/2013  
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Gan
Finally a dit
le 12/07/2013 à 00:42
:

Amendum : Par contre, c'est le seul que je n'ai pas lu. Mais tu m'as donné envie sur le topic des livres.
Pareil, c'était les seuls qui me manquaient.
Et mis à part le deuxième tome, l'invasion divine, le reste est de haut niveau.
Je considère la Transmigration de Timothy Archer comme un chef d'oeuvre.
Mais j'ai dans mon coeur une place pour Le Dieu Venu du Centaure.
Message n° 3710535, posté à 01:12 le 12/07/2013  
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Gan
Si t'es sur Paname en ce moment,
je peux te filer les quatre tomes pour l'été.
Je reviens pas avant Septembre d'Espagne.
J'en aurais pas vraiment besoin.
Message n° 3710627, posté à 10:05 le 12/07/2013  
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Hope
FP Unchained a dit
le 08/07/2013 à 21:44
:

The Call (2013) #2013# : L'oscar du scénario le plus flemmard, le plus prévisible, de la décennie. Pour autant, il arrive à maintenir le suspense avec beaucoup de classe. Paradoxal.
Effectivement super prévisible, même parfois assez ridicule.
spoiler
La nana qui passe la moitié du film à parler en pleurant, qu'est ce que c'était énervant....
Alors ce que j'ai trouvé ridicule, c'est la partie où Jordan (Halle berry) se dit "tiens, je vais quand même faire ma propre enquête dans la maison du psychopathe". Ensuite, trop forte, elle trouve à elle seule la trappe que toute l'équipe de police n'avait pas trouvée, bah oui ils sont trop flemmards et avaient vraiment envie de retourner manger des donuts.
Et la palme du ridicule, j'ouvre la trappe, j'essaye d'appeler la police maintenant faut pas déconner, oups mon portable tombe, je descends le chercher, tiens un bruit inquiétant, la flemme de remonter pour appeler la police, je vais quand même aller voir et risquer de me faire tuer.
Quand même sympa d'avoir vu Michael Imperioli.

Message n° 3710776, posté à 15:29 le 12/07/2013  
+1.00
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Baje
The East
 [x]
ATTENTION : Spoilers !
"The East", une organisation "éco-terroriste" sème la terreur dans le milieu des industriels peu scrupulueux - qui tuent des gens pour se faire de l'argent - en dévoilant leurs méfaits avec des actions coup de poing.
Sarah Moss, la fine fleur du FBI, décide d'aller bosser pour une société défendant ces industriels véreux pour un max de pognon. On saluera au passage cette idée subtile du passage entre le FBI et une agence privée défendant les pires entreprises criminelles de notre belle planète.
Sarah doit donc s'infiltrer jusque dans cette organisation pour en comprendre les rouages, prévoir leurs prochains coups et permettre par la suite leur arrestation par le FBI.
Si "The East" bénéficie d'une réalisation plutôt soigné, sans doute sa meilleure qualité, et d'un rythme qui ne laissera que peu de spectateurs s'ennuyer fermement, le film s'éffondre totalement quand il s'agit de défendre son sujet ou de donner quelques cohérences à l'ensemble. Si l'idée d'intégrer Sarah à des marginaux puis au groupe terroriste est une bonne idée, la manière dont c'est fait rends cette idée vaine. On a l'impression d'assister à la découverte du monde par une enfant de cinq ans.
On nous présente donc la panoplie de la parfaite petite communauté paisible, vivant en osmose totale avec la nature, rejetant tout bien matériel pour fouiller les poubelles, ne mangeant que grâce à l'altruisme des autres (notion qui sera totalement détruite par la suite du film, mais passons). C'est comme débarquer dans un monde parfait, avec des individus tous super cools, trop gentils, qu'on aurait envie de serrer très fort dans ses bras. C'est la que commence les problèmes. Parle t-on encore du problème du pétrole aperçu au début, du problème des médicaments testés à la va-vite ou de la pollution engendré par l'industrie ? On parle de tout et de rien à la fois. Pendant une grosse demi-heure, cette petite communauté vie en autarcie, se fait des bisous, se donne à manger, nage dans le lac, se lave... et on se demande où sont passés les questions dont le film est sensé parler. Elles ne reviendront dans le film que sous forme de petites phrases anodines, d'idées vite vu vite oubliées.
Car c'était la solution de facilité et celle qui provoque l'absence de tout intêret, Sarah est ainsi conquise par ce monde féerique et se dit que quand même, les industriels sont très très méchant. En tant que personne doué d'intelligence et ex AS du FBI, il était trop difficile d'utiliser son cerveau quelques secondes pour se rendre compte qu'elle ne vivaient pas dans un monde parfait ou tout le monde veut le bonheur des autres.
Une fois qu'elle est convaincue, on peut donc couper les cheveux de tout le monde, faire disparaître le côté tafiole d'un mec, faire ressortir le côté beau gosse des autres, abandonner cette maison délabré pour entrer dans ces fameuses actions coups de poings. Passons sur le rythme plutôt bien géré comme déjà expliqué. Car à part ça, on se rends alors compte que tous sont motivés par la vengeance et non par une quelconque reflexion sur l'écologie, le monde que l'on souhaite pour demain ou ce genre d'idées dont le réalisateur se disait sans doute qu'elles seraient trop compliqués pour l'américain moyen. Effectuant leurs vengeances les uns après les autres dans un scénario remplis de facilités afin de montrer que si si, même si leurs plans sont foireux, ils fonctionnent. Et ces industriels sont vraiment très méchants.
Résumons, une enquêtrice du FBI très intelligente mais pas fichu de raisonner cinq minutes pour se dire qu'elle fait un boulot minable au début du film, découvre au sein d'une communauté bisounours la simplicité et l'amour de l'autre avant de réaliser à l'aide de plans foireux des actions coups de poing n'expliquant en rien la lutte de types justes motivés par un sentiment de vengeance. Et c'est censé défendre des idées écolos ? Et si elle avait trouvé une communauté de mecs associables mais doué d'un cerveau, défendant des idées intéressantes ? Elle aurait sans doute fait tomber tout le monde. Merci The East.
La morale est aussi particulièrement nauséabonde, cette communauté qu'on nous présente d'abord comme idyllique est en fait constitué de personnes haineuse et vivant à la marge (C'était sans doute trop dur de nous trouver des écolos ou juste des types banals), les raisons écologiques et humanistes ne venant faire leurs apparitions qu'à l'aide de quelques scènes de vie communes un peu bidon et too much. Ils sont au final extrémistes et leurs méthodes sont balayés par le scénario. Ne reste que... Dieu. La fin, comme le début, place le divin comme solution unique aux différents problèmes qui secoue la société, tiraillés entre de méchants industriels et de méchants extrémistes écolos du dimanche.
La délivrance de l'héroine, ridicule, finira de la placer tel l'envoyé du ciel venant réparer les torts de ce monde en perdition. Plus rien ne l'atteint, il est inutile pour le scénario d'expliquer quand, comment, pourquoi.
Merci le divin, l'héroine aidé de sa foi va convaincre tout le monde en mode Deus Ex pendant tout le film, notamment à travers une scène avec une sourde qui pue l'enrôlement religieux une fois tout le film subit. Je parle même pas de la scène finale...
Ou l'impression de s'être mangé un lavage de cerveau religieux plutôt qu'écologique.

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 16:32 le 12/07/2013
Message n° 3710877, posté à 19:41 le 12/07/2013  
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Batefer
Hummingbird (Crazy Joe en bon français)
 [x]
Il s'agit d'un film sur la rédemption.
Adoncques, Jason Tatanne est un ancien soldat qui en a gros sur la patate, et qui en a peu marre d'en mettre aux autres. Il déserte donc, et devient clochard. Logique, entre soldat et clodo, il n'y a pour ainsi dire aucun autre choix possible de nos jours, il faut le comprendre ce brave homme.
Mais soudain ! Un jour pas comme les autres, sa copine se fait enlever par de vilains messieurs pendant qu'il se laisse tabasser sans réagir. Il va donc décider de reprendre sa vie en main, et de remettre des droites là où il y a de la gauche, ou c'est à peu près comme ça qu'on dit en anglais.
Nous allons donc, émus, assister à un véritable chemin de croix initiatique pour notre héros qui va désormais se consacrer à rentrer dans le droit chemin et réparer les injustices qui l'entourent.
Pour cela, il va procéder par ordre.
Après une bonne douche et un shampooing, rasage optionnel, il va donc
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utiliser sans vergogne l'argent et la voiture du propriétaire de l'appartement dans lequel il est rentré par hasard.
Il retrouve sa copine
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morte. Ah bon. Il pleure un peu mais il n'est pas très convaincant, donc il va vite essayer de trouver quelque chose sur quoi cogner, ça lui réussit mieux.
Puis, parce qu'il faut bien un peu de stabilité, il va se trouver un boulot comme
spoiler
garde du corps et homme à tout faire de la mafia chinoise et participer à leur trafic de traite d'êtres humains. Euh...
Dans sa lutte, il n'est pas seul. Sa meilleure amie est une religieuse avec laquelle il va
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coucher. Il n'est plus à ça près le bougre. Quel coquin ce Jason.
Enfin, son idée de la justice envers le grand méchant est de
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le balancer d'un toit devant témoins. Brillant. Lui qui était si discret jusqu'à présent.
La morale est donc
spoiler
euh... sauve ? C'est quoi la morale de cette histoire déjà ?
Mais tout est bien qui finit bien puisqu'il
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se laisse capturer (hors-champ) par les forces de l'ordre. Putain le climax.
Un film sur la rédemption donc, qui montre exactement
spoiler
TOUT CE QU'IL NE FAUT PAS FAIRE POUR L'ESPÉRER.
Merci Jason Statham.

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3710953, posté à 22:07 le 12/07/2013  
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Ping-Pong
J'ai pas lu les spoils mais je crois que je vais le voir. titter

Message n° 3710982, posté à 00:37 le 13/07/2013  
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FP Unchained
Pacific Rim (2013) #2013# : On connait l'avant Pacific Rim. Les 15-20 dernières années. Les années de blockbusters décérébrés pour ados cons. Il me tarde de connaitre l'après Pacific Rim. Car il y a bien un avant, et il y aura, du moins je prie pour, un après Pacific Rim.
Qu'on se le dise de suite. Ca fait au moins 4 ans, de tête, que je n'ai pas été déçu par un film que j'ai attendu pendant plus de 6 mois. J'attends Pacific Rim depuis au moins 18 mois. C'est comme ça que je marche. J'attends tellement le film que je me le fais dans ma tête et qu'au final, je suis déçu.
Et ça a été pareil ici. Je me suis fait le film dans la tête. J'ai même été traité de cynique quand j'ai dit, avant le film, que le plan du film allait être comme d'habitude, à savoir :
spoiler ?
Intro de 20mn ébouriffante, préparation au combat pendant 45-60mn, puis action à gogo pendant le reste. Ce qui est évidemment le plan du film.
Mais j'ai pas été déçu. Pas une seule seconde. Parce que Guillermo Del Toro est un génie, et si le grand public n'était pas encore au courant et n'avait pas encore vu ses autres perles, il va maintenant le savoir.
C'est bien simple, rien n'est raté. Le casting est réussi, aucun acteur n'est énervant ou ne déjoue, le scénario est béton (autant les scènes d'action que les scènes non-action sont plaisantes et divertissantes, ce qui est assez rare pour être souligné) et l'action est époustouflante.
Comme on pouvait s'y attendre avec Del Toro, les plans durent plus de 2 secondes (et en réalité, ça dure même jusqu'à 10 secondes), le montage est léché, propre, c'est lisible...
Et puis, la musique de Ramin Djawadi. Tellement, mais tellement cool.
Del Toro fait du neuf avec du vieux. Il nous rappelle, aussi, que le numérique perdra toujours face au non-numérique. Pacific Rim est un classique instantané, un chef d'oeuvre de la SF qui, en plus de devenir immédiatement un modèle de blockbuster, affiche une 3D parfaite, jamais inutile, toujours intéressante.
Guillermo Del Toro est un maître.

--
J'AIME FINALLY

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Message n° 3710983, posté à 00:38 le 13/07/2013  
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FP Unchained
Monstres University (2013) #2013# : Pour faire court, Pixar is really back, le film est super. L'un des meilleurs Pixar depuis tellement longtemps que je saurais pas dire depuis quand. Peut-être même meilleur que le "1".
Au fait, restez jusqu'au bout du générique, contrairement à moi, et j'espère que vous aurez droit au super court-métrage.
Autrement dit, j'ai passé une superbe journée.

--
J'AIME FINALLY

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*édité à 00:46 le 13/07/2013
Message n° 3711145, posté à 13:45 le 13/07/2013  
+1.00
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Gan
FP Unchained a dit
le 13/07/2013 à 00:37
:

Del Toro fait du neuf avec du vieux. Il nous rappelle, aussi, que le numérique perdra toujours face au non-numérique. Pacific Rim est un classique instantané, un chef d'oeuvre de la SF qui, en plus de devenir immédiatement un modèle de blockbuster, affiche une 3D parfaite, jamais inutile, toujours intéressante.
T'en a pas marre d'être dithyrambique à chacune de tes critiques.
Chef d'oeuvre de la SF ?
T'es sérieux quand tu dis ça ?
Quand je lis ça, j'ai l'impression que tu es passé à côté du film
et de ce que voulait faire Del Toro.
Tu aurais dit que c'est un putain d'hommage aux Kaiju Ega,
t'aurais eu plus de crédibilité à mes yeux.
Et me dis pas que tu le savais déjà.
Tu l'as pas écris donc y a rien d'autre à dire.
Message n° 3711146, posté à 13:47 le 13/07/2013  
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Gan
Nan mais sérieux quoi.
Godzilla, Mothra ou Guidorah ?
Cela te dit rien ?
Message n° 3711159, posté à 14:44 le 13/07/2013  
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Kasius
"Con Air // Les ailes de l'enfer" est toujours aussi sympa. Tricia toujours aussi mignonne.
"The book of Eli // Le livre d'Eli" est par contre tout pourri, qu'on se le dise.

Message n° 3711176, posté à 15:31 le 13/07/2013  
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FP Unchained
Gan a dit
le 13/07/2013 à 13:45
:

T'en a pas marre d'être dithyrambique à chacune de tes critiques.
Chef d'oeuvre de la SF ?
T'es sérieux quand tu dis ça ?
Quand je lis ça, j'ai l'impression que tu es passé à côté du film
et de ce que voulait faire Del Toro.
Tu aurais dit que c'est un putain d'hommage aux Kaiju Ega,
t'aurais eu plus de crédibilité à mes yeux.
Je sais pas ce que c'est un Kaiju Ega. Pour moi, c'est juste un hommage aux films de monstres géants qui se battent contre des robots géants, les films où deux mecs étaient dans un costume avec une ville miniature à leurs pieds. Le fait que ça se passe quasiment qu'à Hong-Kong, vu l'engouement des chinois pour Godzilla, enfonce un peu plus le clou.
Pour le reste, t'as qu'à aller le voir, écoute.
Gan a dit
le 13/07/2013 à 13:47
:

Nan mais sérieux quoi.
Godzilla, Mothra ou Guidorah ?
Cela te dit rien ?
Non. C'est quoi ?

--
J'AIME FINALLY

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