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: Ha et Smaug est de toute beauté. Hyper impressionnant le boulot de Cumbertach.
Pas pu en profiter :(
Evangeline Lilly
Je rejoins Bat sur le sentiment de non danger sur les nains.
Sinon, un gros fuck au sosie de Peter Jackson assis derrière moi qui n'arrêtait pas de commenter toutes les scènes jusqu'à ce qu'un "TA GUEULE" venu de ma voisine de gauche vint interrompre son monologue.
Peter, si c'était vraiment toi, t'es un gros connard.
Message n° 3822368, posté par Batefer à 19:43 le 15/12/2013
: J'imagine qu'il joue l'ancêtre de lui-même qu'on voit aussi à Bree dans LOTR ?
Je n'aurais pas mieux dit. Le plan est d'ailleurs identique. En fait, il fait un caméo dans tous les films mais il se fait parfois couper au montage cinéma.
-- je parles pas au cons sa les instruits
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Message n° 3822667, posté par Sao à 01:55 le 16/12/2013
Deux enfants disparaissent, un flic (Jake Gyllenhaal) part a leur recherche de son cote pendant que l'un des pères (Hugh Jackman) mène sa propre enquête.
Ce film est une torture. Le film nous montre des le début tout ce qu'il y a savoir sur la disparitions des enfants (ou, qui, quoi, quand, comment) grâce a de petits indices subtils comme le nez au milieu de la figure. Rien n'est laissé au hasard dans ce film, ce qui fait que les rebondissements et twists se comprennent dès la première heure du film.Reste donc 1h30 de film (car il en fait 2h30) ou l'on suit le père et l’enquêteur qui essayent de comprendre ce que le spectateur a déjà compris. C'est long, sans grand intérêt, et surtout aucun des persos n'est attachant et ne donne envie de le suivre.
-- Je que vous l'homme de la situation. Et comment donc qui, je vous prie ?
*édité à 02:50 le 16/12/2013
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Message n° 3822676, posté par KoreanGuy à 02:54 le 16/12/2013
: Pas vraiment d'accord. J'ai été captivé, l'ambiance est vraiment réussie. Le film est long mais plutôt bien monté. Une torture?
Oui. C'est le genre de film qui veut un montage impeccable. Rien n'est anodin, des objets que les protagonistes touchent, aux phrases hors contextes qui prennent une signification bien plus tard. Du coup, des que tu comprends ca, tu comprends tout le film.
Tout ça, c'est des choses qu'on comprend des le début a cause du montage qui se veut parfait. Le film devient prévisible, et l'on assiste impuissant a des investigateurs qui ne comprennent rien et ne voient rien.
Si le montage avait été plus subtil, pourquoi pas, mais la... je souffre.
-- Je que vous l'homme de la situation. Et comment donc qui, je vous prie ?
*édité à 15:36 le 16/12/2013
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Message n° 3822811, posté par Sao à 12:01 le 16/12/2013
: Tout ça, c'est des choses qu'on comprend des le début a cause du montage qui se veut parfait. Le film devient prévisible, et l'on assiste impuissant a des investigateurs qui ne comprennent rien et ne voient rien.
L'exercice de maths, quoi.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 3823397, posté par Finally à 00:38 le 17/12/2013
Espèce de parodie de Télé Novelas, c'est réussi, le rythme particulier est parfait pour ce style d'humour, la répétition, la persistance du gag, cela fonctionne bien, le trio d'acteur et l'actrice fonctionnent aussi, Will Ferrell en tête. C'est très étonnant de le voir parler en espagnol tout le long du film. On sourit pas mal de fois. Pas si mal.
Rien à voir mais je viens de lire ton texte sur Hello Ladies et en parlant de Gervais, je me demandais si tu avais donné sa chance à Life's too short ?
Message n° 3823501, posté par labrin à 11:01 le 17/12/2013
Après avoir vu Movie 43 (My Movie Project), je m'attendais à me pisser dessus en regardant le film culte source de cet humour. Film source aussi de toute une génération de comiques français, Inconnus, Nuls... Bon, j'ai capté le machin, mais ça a sacrément pris un coup de vieux. Non pas les gags (un peu aussi quand même), mais le rythme.
C'est long putain, on a déjà eu deux cent fois le temps de comprendre et de rire d'une chose, que ça s'appesantit sur le gag, et puis si on peut le répéter encore et encore de moins en moins bien, c'est parti !
Bon cela dit, c'est hyper culotté pour l'époque, le sketch de l'enfant mort (lol), les noirs, les femmes, les asiatiques qui ont aussi de l'humour, c'est un film qui défonçait pas mal de préjugés je pense. Souvent on reste au ras des pâquerettes de la comédie, comme... une chute par exemple, et faut vraiment être en forme pour rigoler, mais bon, je vois plus ça, aujourd'hui, comme une oeuvre documentaire sur l'époque, qu'un film pour passer un bon moment pouet prout.
On va pas se le cacher, le titre fait un peu con-con, mais il prend tout son sens une fois qu'on a vu le film. Phillipe Garrel ne filme que des relations d'amour, un père et sa fille, le père et son ex ou sa nouvelle femme, etc. Et quand il y a amour, il y a jalousie. Elle est partout, s'infiltre sans fracas, rampe dans les têtes de chacun. Pas de gros drame à l'horizon, mais des questions anodines, des objets qui mettent en exergue ce mal profond.
Tout en finesse, en moments de vie, La Jalousie s'élève dans son phrasé si beau si poétique par instant.
-- Je ne blogue plus, je micro-critique : http://www.vodkaster.com/RenSarr Rather than love, than money, than faith, than fame, than fairness... give me truth.
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Message n° 3823555, posté par LDDC à 13:28 le 17/12/2013