Tout pareil, ça me rappelle les bons souvenirs d'Un jour sans fin. Très chouette.J'ai juste un soucis avec ces extraterrestres. C'est un peu la mode et dans Godzilla ou Pacific Rim pour ne cité qu'eux, c'est un peu pareil. C'est un peu gonflant à la fin ces monstres qu'on ne comprend pas, qu'on cherche pas à explorer et qui comme un personnage secondaire d'un film d'horreur va de toute façon crever à la fin sans qu'on en ait strictment rien à foutre. Explorer les méchants pour se rendre compte qu'ils nous veulent pas de mal et veulent juste survivre, c'est dépassé de mode.Genre stratégie Ender qui m'a beaucoup touché.

Mais bon, chouette blockbuster, ça change des super-héros.

Pour info, il était le 25 mai dernier dans un téléfilm d'HBO qui s'appelle The Normal Heart, adaptation d'une pièce de théâtre de Larry Kramer, sur les débuts de la bataille contre le virus du SIDA au début des années 80. C'est un peu trop larmoyant pour moi, mais pas mauvais non plus, et le grand Taylor assure encore toujours.

Petite anecdote rigolote : Marky Mark s'appelle Yaeger dans le prochain Transformers.

C'est propre, Michael Bay. Trèèèès propre.

Aucun intérêt ce film, mais genre vraiment poubelle direct.À part la scène post générique, bien sûr.Mais se taper 2h et quelques (oui, j'ai maté la version extended) pour 3 minutes de teasing fanservice... ouais, non, poubelle.

Si je voulais un film de yakuza, je materais un film de yakuza. Un bon film de yakuza.

On peut dire ce qu'on veut d'Origins, c'est n'importe nawak toussa... mais au moins, c'était sympa, cool et intéressant.

LOL

Excuse moi si je ne partage pas ta passion pour ce genre de films action hero.

Ah non mais mon LOL concerne ton dernier paragraphe.

Ah, sur Origins.Bah ouais, au moins, c'était un X-Men.

Bref, j'abandonne.

300... et des poussières : l'accent australien sied mal aux déclamations martiales. Et puis ça manque de sang.

A part ça, j'ai bien rigolé.

Rover

Bien sympa. Dommage que Pearce doive payer ses factures dans autant de grosses daubasses le reste du temps.

A part que c'est super long et que ça ressemble vraiment à un épisode de 40 min étiré sur 1h40. En fait, jusqu'à la réunion (voire encore un après), absolument rien n'avance concernant l'enquête principale, qui se débloque environ 30 min avant la fin.

C'est sympa, hein. Je dis pas. J'ai adoré retrouver le ton de la série, la gouaille de Veronica et tout. Mais c'est dans un contexte de fan service balourd qu'on la retrouve. Ca permet de retrouver tout le monde, c'est cool, mais en fait, hormis 2-3 personnages, tous ne servent à rien vu qu'en fait, le film comme Veronica n'a d'yeux que pour Logan (alors que Jason Dohring n'a jamais été aussi neurasthénique que dans le film).

Robocop (2014)

Pas mal, dans le style.