Barry Al-Fayeed is a California pediatrician who also happens to be the second son of a Middle Eastern dictator. Barry reluctantly agrees to return home with his American family for his nephew's wedding. Events thrust him into the complex and turbulent growing pains of a nation straining to break free from dictatorial rule.
(thetvdb.com)

Un sujet un peu tape à l'oeil et un scénario assez minimaliste. Ça a l'air de manquer d'ambition.

Prévisible en effet, mais c'est pas mal fichu toutde même.

J'ai trouvé ça pas mal limite, pour ma part, notamment le frangin, Jamal. Le mec, c'est une brute de ouf, le seul de sa famille qui parle avec un accent à coupeau au couteau, qui viole des femmes - comme l'épouse de son fils - à tire larigot.

Et le fait qu'il soit toujours vivant après le coup qu'il a pris à la teub et la sortie de route à 200 km/h en montagne, ça m'a désespéré, un peu.

Quant au scénario, je me dis que si on avait eu les deux premiers épisodes d'un coup, ça aurait été plus facile de se faire une idée.

L'impression générale qui demeure, c'est la facilité d'un peu tout, la prévisibilité, aussi.

Le seul truc qui fait qu'on ne se dise pas que Bassam va devenir un bon chef à 100 %, c'est le flash-back où on le voit tuer le gars, enfant. Mais la paire de claques à son fils, qui choque sa femme, je lui en aurais mis deux comme ça dès le début, à ce gamin.

La soeur me fait penser à la fille Brody, et je me dis que c'est pas mal dur de faire des gamins intéressants dans des dramas centrés sur des adultes (d'ailleurs souvent inversement, aussi). A part quelques exception, type Mad Men, Louie, The Sopranos...

Après, c'est FX, je leur laisse le bénéfice du doute. Mais j'ai eu l'impression de me retrouver dans une série de network, en fait. Si on avait pas vu de fesses ou le gros abruti tabasser un gars en étant à poil, et que le pilot ne durait pas 52 minutes, j'aurais été surpris de voir le logo de FX, à la fin.