Ford unveils his bold new narrative; Dolores embraces her identity; Maeve sets her plan in motion.
(thetvdb.com)

La tête d'Ed Harris à la fin, genre "Enfin de l'action !"; c'est priceless. L'arc avec Meave est définitivement pourri et Tic et Tac (les 2 techs)... on en parle même pas.

Elodiem a du mal à supporter les avisqui ne vont pas dans son sens.Mais pour expliciter y a plus personne.

Ok.

Ils avaient tous les ingrédient en main pour réaliser un délicieux tiramisu les cons, et voilà que ça galère à faire monter les blancs en neige. Résultat ? Le bidule a beau se manger, ça ressemble à pas grand chose.

Avoir des idées, c'est chouette. Savoir les exploiter via la mise en scène et la narration, c'est mieux.

Contrairement aux avis précédant, j'ai adoré la série de bout en bout.Longtemps que je n'avais pas été aussi enthousiaste à l'arrivée de chaque épisode.

Ford, il explique qu'il leur offre des choix, ici s'échapper ou rester auprès de sa fille, c'est comme ça que je l'ai compris.

Si on voit l'autre qui descend au sous-sol chercher Abernathy et bim, y a plus personne ^^Quand au Blond, Ford l'a écarté pour pas qu'il gêne sa révolte ou parce qu'il savait / se doutait que Bernard est un hôte.

Pour moi, c'est Ford. On reste dans la révélation de ce dernier épisode : le maître des lieux ne se bat pas contre les vestiges d'Arnold, bien au contraire, il épouse les théories de son ancien collaborateur et tâche à trouver une solution pour ouvrir les hôtes à leur propre conscience.

C'est d'ailleurs ce que je reproche essentiellement à cette série, beaucoup d'éléments reposent finalement sur la psychologie et des problématiques liées à la conscience, les souvenirs, la souffrance comme construction de l'être etc... Mais la série préfère jouer la carte de l'artifice en nous en mettant plein les yeux avec de l'action, des crânes robotiques scalpés et une tension parfois risiblement clichée ( coucou toi, jeune brune qui trouve une base de donnée dans un sous-sol étrangement glauque pour une telle compagnie ) du coup quand tu arrives à certains passages censés être chargé émotionnellement et au niveau de la clarté de l'intrigue, tu t'en fous un peu. C'est plat.

Pour en revenir à Maeve, j'imagine que si elle était programmée pour sortir de la structure par Ford, c'était une mise en épreuve pour faire surgir sa conscience. Et cette conscience là, c'est choisir d'elle même de rester pour cette petite fille qui est une part de ses souvenir, une composante de la construction de son soi.

Bref, c'est mon interprétation.

Mouai...Ils s'en sont plutôt pas mal sortit avec ce final, mais c'est un peu tout ça pour ça...Et si l'histoire de base pourrait tenir la route la manière de la raconter et les détails sont complètement à l'ouest.Déjà, le William il a passé 30 ans a jouer dans le parc ? 30 ans a faire et refaire les mêmes trucs ? à jouer et rejouer le même scénario ? dont il connait l'auteur et dont il est le boss ? Alors que les robots deviennent barjes a force de le jouer et le rejouer malgré le fait qu'on leur efface la mémoire ? Il a un gros problème le garçon.

Ils ont laissé un tas de pistes pour une suite, mais quelle suite ? après un massacre pareil qui peut imaginer qu'un tel parc puisse ré ouvrir ? La suite sera donc une guerre contre les robots ?

Bref, c'était sympa a regarder, mais pour moi c'est un gros gâchis, d'histoire et de moyens.

Et pour couroner le tout, depuis le début je rêve que le piano mécanique ait un rôle important, et rien, que dalle. Je suis frustré :P

Je me suis régalé de bout en bout ! Longtemps que je n'avais pas pris un tel pied.

Pour Ford, sa mort serait ce qu'il y a de plus plausible, de façon à boucler la boucle, mais effectivement, pourquoi pas un hôte. Après tout, il y en avait un en construction dans le sous-sol de la maison ou Bernard tue Teresa.

Nan, mais les techniciens ne sont pas des défenseurs des robots. Ils apportent juste la note d'humour noir et décalé (complètement raté, amha) de la série, en incarnant la bêtise et la veulerie des humains. Toutes les scènes avec eux et la conne du lupanar étaient très pénibles à regarder, tellement on y croyait pas une seconde.