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[Spoiler] The Irishman
Sujet n°52218 créé le 16/12/2019 à 14:16 par Skynet - Vu 2679 fois par 919 utilisateurs
   
Pages : 1
Genre :
Drama Historique
Durée : 209 min
Réalisé par Ellen Lewis
Cette saga sur le crime organisé dans l'Amérique de l'après-guerre est racontée du point de vue de Frank Sheeran, un ancien soldat de la Seconde Guerre mondiale devenu escroc et tueur à gages ayant travaillé aux côtés de quelques-unes des plus grandes figures du 20e siècle. Couvrant plusieurs décennies, le film relate l'un des mystères insondables de l'histoire des États-Unis : la disparition du légendaire dirigeant syndicaliste Jimmy Hoffa. Il offre également une plongée monumentale dans les arcanes de la mafia en révélant ses rouages, ses luttes internes et ses liens avec le monde politique.
Connectez-vous pour noter ce film.
Message n° 4295384, posté à 14:16 le 16/12/2019  
+1.00
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FP Unchained
J'ai eu beaucoup de mal à le regarder. La durée me faisait peur, et ça n'a pas raté. On est très loin du rythme endiablé de ce qu'il a pu nous montrer par le passé. On voit alors un Scorsese bien plus calme, lancinant, parfois même contemplatif.
Le pari était de réaliser un film crépusculaire sur trois aspects différents : le crépuscule des films de gangsters de Scorsese, comme une conclusion parfaite aux Affranchis, à Casino, notamment, si tant est qu'ils aient besoin d'une conclusion autre que la leur ; le crépuscule de ces trois légendes du cinéma, ces trois titans, je ne sais même pas comment les qualifier, ces trois icônes ; et le crépuscule de cette Mafia-là elle-même.
Si ça marche plutôt pas mal pour la fin des icônes et de la Mafia, c'est un peu moins réussi pour les films de Scorsese.
Il y a d'abord cette durée, comme évoqué plus tôt. Le film m'a très souvent semblé interminable, et je n'ai même pas eu la discipline de ne jamais mettre pause : je l'ai commencé vers 17h hier et je l'ai fini ce matin. Si la dernière heure et demie est nettement supérieure à ce qui a précédé, et si la dernière demie-heure est elle-même magistrale et bouleversante, ce n'est pas du tout le cas du reste.
A vrai dire, on a même l'impression, au bout de 2h de film, que le film commence à peine, que l'intrigue prend enfin forme et que tout ce qui a précédé n'était que du contexte. Ce n'est d'ailleurs pas étonnant, partant de là, de voir Pacino n'arriver qu'au bout de 45mn, une fois l'intro terminée, alors qu'il tient un rôle central.
Le scénario apparait de ce fait assez souvent comme un scénario qui se serait plus prêté au format mini-série.
On a ainsi même parfois l'impression de voir quelqu'un réaliser du sous-Scorsese, dans les mouvements de caméra, dans le montage, dans la brutalité de certaines scènes. Les auto-citations sont nombreuses (peut-être beaucoup trop nombreuses ?) et ça finit quelque peu par desservir le film. On n'a qu'une envie, c'est de retourner voir Les Affranchis et Casino qui n'ont toujours pas pris une ride.
Pourtant, Scorsese réussit par ailleurs quelque chose d'assez fabuleux. Cette fresque mafieuse sur 50 ans fait froid dans le dos puisque quasi toutes les apparitions de figures plus ou moins connues sont ponctuées de leur épitaphe, ce qui installe une forme assez incroyable de fatalisme au métrage. Au final, seul cet Irlandais a survécu dans toute cette Mafia, comme on peut le comprendre dés la première scène. Il leur a survécu. Et ça semble donner l'impression de ce petit quelque chose dont on a souvent entendu parler ailleurs, de cette fin de ce crime organisé peu à peu remplacé par une autre forme de crime organisé. Il y a là-dedans un côté très Godfather qui n'est pas négligeable.
Mais là où le film ne déçoit pas la moindre seconde, c'est dans son interprétation. On (re)découvre ces trois géants après leurs errements dans la comédie, dans les direct to DVD, dans les seconds rôles à la limite de la figuration un peu bâtarde. Si Pacino fait du Pacino - et disons-le-nous, on aime tous Pacino faire du Pacino - De Niro et Pesci sont éblouissants et bouleversants de sobriété et de calme. Comme ils l'ont rarement été. Ce film n'existe presque que pour ces trois hommes, et il n'existe presque que par eux. Ils sont magistraux et méritent à eux seuls que vous vous intéressiez à ce film.
The Irishman est un film très exigeant, probablement beaucoup trop exigeant pour moi à ce moment-là, mais lorsque j'en suis sorti, j'ai tout de même eu cette impression d'avoir assisté à un truc, et que ce film avait ce qu'il faut pour faire date.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4295390, posté à 16:17 le 16/12/2019  
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Raska
FP Unchained a dit
le 16/12/2019 à 14:16
:

Le scénario apparait de ce fait assez souvent comme un scénario qui se serait plus prêté au format mini-série.
Je ne sais pas si c'est une réelle volonté de Sorsese ou le fait que le film soit sorti sur Netflix qui fait que cette impression domine dans l'esprit de beaucoup de personnes. Que ce soit dans les critiques que j'ai lues iu ceux de mon entourage qui ont regardé le film, il y a toujours eu cette notion de mini-série qui revenait. N'aurait-il justement pas gagné à sortir comme tel ?
Personnellement, je n'ai toujours pas regardé le film car cette durée m'effraie, je ne me sens pas de lancer un film aussi long pour le moment.
Par contre, les SFX de rajeunissement seraient assez bluffants, tu confirmes ? J'ai même eu l'impression qu'ils avaient axé la promo du film là-dessus, histoire de jouer sur la corde nostalgique des grands films de mafia de l'époque.

Message n° 4295391, posté à 16:31 le 16/12/2019  
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FP Unchained
Raska a dit
le 16/12/2019 à 16:17
:

Par contre, les SFX de rajeunissement seraient assez bluffants, tu confirmes ? J'ai même eu l'impression qu'ils avaient axé la promo du film là-dessus, histoire de jouer sur la corde nostalgique des grands films de mafia de l'époque.
Je ne voulais pas en parler.
J'ai trouvé De Niro atroce et Pacino hallucinant.
De Niro, c'est une version jeune du vieux De Niro. C'est une version rajeunie du De Niro de 2019. Ce n'est pas le De Niro qu'on a connu, ce n'est pas le De Niro jeune qu'on a vu au cinéma. Son visage a changé depuis. C'était bizarre. Ses lentilles bleu clair renforcent cet aspect bizarre et ont créé chez moi comme une impression de uncanny valley. Dés que je l'ai vu, j'ai fait "ew", ça a été mon premier réflexe.
Pacino, c'est le Pacino des années 90. J'arrivais pas à y croire.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4295392, posté à 16:32 le 16/12/2019  
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FP Unchained
Raska a dit
le 16/12/2019 à 16:17
:

Je ne sais pas si c'est une réelle volonté de Sorsese ou le fait que le film soit sorti sur Netflix qui fait que cette impression domine dans l'esprit de beaucoup de personnes. Que ce soit dans les critiques que j'ai lues iu ceux de mon entourage qui ont regardé le film, il y a toujours eu cette notion de mini-série qui revenait. N'aurait-il justement pas gagné à sortir comme tel ?
Ça n'a rien à voir avec Netflix, c'est vraiment le film en lui-même, qui s'attarde sur des tonnes de choses tout en faisant des ellipses maladroites. D'une scène à une autre, la fille de De Niro a grandi et elle a 150 ans (j'abuse, mais bon, Anna Paquin en fille dans la vingtaine, meh), et lui et Pesci ont des rides et sont tout vieux. Ce passage-là est très bizarre, ça m'a fait un choc.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4295409, posté à 19:13 le 16/12/2019  
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Pliskin
FP Unchained a dit
le 16/12/2019 à 16:32
:

Ça n'a rien à voir avec Netflix, c'est vraiment le film en lui-même, qui s'attarde sur des tonnes de choses tout en faisant des ellipses maladroites. D'une scène à une autre, la fille de De Niro a grandi et elle a 150 ans (j'abuse, mais bon, Anna Paquin en fille dans la vingtaine, meh), et lui et Pesci ont des rides et sont tout vieux. Ce passage-là est très bizarre, ça m'a fait un choc.
Anna Paquin fait un choc, mais par contre le vieillissement de De Niro, je l'ai pas remarqué du tout. Et c'est que quand les deux timelines se sont rejointes que j'ai tilté que c'était devenu le même De Niro. Donc c'était plutôt bien fait à ce niveau là, c'était progressif.
Par contre, c'est bien beau de faire du CGI pour rajeunir le visage, mais si la dégaine et le physique autrement restent les mêmes, c'est ridicule. Ça sort complètement du film de voir le pauvre De Niro croulant quand il donne des coups de pieds.

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Let go your earthly tether. Enter the Void. Empty and become wind.
*édité à 19:14 le 16/12/2019
Message n° 4295410, posté à 19:41 le 16/12/2019  
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FP Unchained
Pliskin a dit
le 16/12/2019 à 19:13
:

Anna Paquin fait un choc, mais par contre le vieillissement de De Niro, je l'ai pas remarqué du tout. Et c'est que quand les deux timelines se sont rejointes que j'ai tilté que c'était devenu le même De Niro. Donc c'était plutôt bien fait à ce niveau là, c'était progressif.
Je parle pas de ça, mais de la scène où on voit Paquin poru la première fois. C'est la première fois que De Niro n'est plus autant rajeuni. C'est ça qui m'a beaucoup choqué.
Lorsque les deux timelines se rejoignent, en effet, c'est très bien.

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Holding out for a hero ?
Message n° 4295411, posté à 19:41 le 16/12/2019  
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FP Unchained
Pliskin a dit
le 16/12/2019 à 19:13
:

Par contre, c'est bien beau de faire du CGI pour rajeunir le visage, mais si la dégaine et le physique autrement restent les mêmes, c'est ridicule. Ça sort complètement du film de voir le pauvre De Niro croulant quand il donne des coups de pieds.
Ouais, je vois ce que tu veux dire. Mon frère me disait la même pour Sam Jackson dans Cap Marvel. Pourtant, ni dans l'un, ni dans l'autre, j'ai été choqué.

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Holding out for a hero ?
Message n° 4295434, posté à 00:52 le 17/12/2019  
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Pliskin
J'ai pas été choqué pour Fury. Son physique est assez passe-partout.

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Message n° 4295435, posté à 00:53 le 17/12/2019  
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Pliskin
FP Unchained a dit
le 16/12/2019 à 19:41
:

Je parle pas de ça, mais de la scène où on voit Paquin poru la première fois. C'est la première fois que De Niro n'est plus autant rajeuni. C'est ça qui m'a beaucoup choqué.
Bah c'est là que les deux timelines se rejoignent justement ? Environ.

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*édité à 00:53 le 17/12/2019
Message n° 4295438, posté à 01:39 le 17/12/2019  
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FP Unchained
Pliskin a dit
le 17/12/2019 à 00:53
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Bah c'est là que les deux timelines se rejoignent justement ? Environ.
30-45mn plsu tard.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4295444, posté à 02:20 le 17/12/2019  
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FP Unchained
FP Unchained a dit
le 16/12/2019 à 16:31
:

Pacino, c'est le Pacino des années 90. J'arrivais pas à y croire.
Bon, ben pour être plus complet, je viens tout juste de capter que pour Pesci aussi, le procédé a été utilisée...
Ça fait tellement longtemps qu’on ne l’a pas vu que là, de le voir à cet age-là, ça ne m’a même pas choqué. Je trouvais ça normal. Comme dans l’ordre des choses.
Et là, je regarde leur conversation sur netflix. Je vois à quoi il ressemble aujourd’hui. Et je me dis merde. C’est bel et bien révolutionnaire.
Je comprends pas pourquoi De Niro n’a pas pris sur moi.

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J'AIME FINALLY

Holding out for a hero ?
Message n° 4295450, posté à 08:34 le 17/12/2019  
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Pliskin
Non mais environ sur la timeline. Je faisais plus de distinction entre les deux De Niro à ce moment là.

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Let go your earthly tether. Enter the Void. Empty and become wind.
*édité à 08:35 le 17/12/2019
Message n° 4295453, posté à 09:01 le 17/12/2019  
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tenia
FP Unchained a dit
le 16/12/2019 à 19:41
:

Ouais, je vois ce que tu veux dire. Mon frère me disait la même pour Sam Jackson dans Cap Marvel. Pourtant, ni dans l'un, ni dans l'autre, j'ai été choqué.
Je n'ai pas été choqué par De Niro filant des coups de savate comme s'il avait peur de péter le col du fémur. Pourtant, à la revoyure, c'est assez notable, effectivement.
Perso, j'ai plus été "gêné" par son visage assez figé tout de même, notamment lors des multiples plans de face quand il conduit son camion, accentué par le regard bleu perçant qui en rajoute sur l'aspect étrangement artificiel. Et surtout, lors de la discussion au bowling où sont dans le cadre uniquement un Pesci rajeuni et un De Niro rajeuni, et où j'ai eu l'impression d'être face à du tout-CGI pas forcément très agréable. Clairement le passage qui, sur ce point, m'a le plus sauté aux yeux.
Mais dans l'ensemble, j'ai trouvé l'effet spécial très facile à accepter. On le voit, ça me semble évident, mais ce n'est pas choquant au point de bloquer dessus.

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"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 4295509, posté à 18:12 le 18/12/2019  
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Francisco51
De Niro, la scène ou il donne des coups de pieds au gars à terre, c'est totalement raté et ridicule.
On voit qu'il est incapable de faire correctement le geste.

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-Ouh pinaise!-
Message n° 4295538, posté à 20:09 le 19/12/2019  
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ipefix
Je suis allé le voir au ciné hier aprem (en Belgique, sans la loi sur la chronologie des médias, des partenariats ont pu être signés), la boule au ventre vis-à-vis de la durée. Finalement, j'ai juste dû lutter contre le sommeil après 1h de film à peu près pendant une grosse demi-heure ; sinon, c'est passé crème. Ca m'a aussi fait plaisir de revoir 2 têtes connues de Boardwalk Empire smile
Niveau rajeunissement, j'ai aussi eu cette impression de CGI la première fois qu'on voit De Niro mais j'ai vite oublié.
Sinon, à qui il parlait le vieux De Niro tout le long du film ? J'ai raté un truc ?

*édité à 20:11 le 19/12/2019
Message n° 4295539, posté à 20:35 le 19/12/2019  
+0.87
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Pliskin
ipefix a dit
le 19/12/2019 à 20:09
:

Sinon, à qui il parlait le vieux De Niro tout le long du film ? J'ai raté un truc ?
Il parle au téléspectateur ou si tu veux à l'auteur du livre dont le film s'inspire.
Il lui aurait soit-disant raconté tout ça, et avoué ses crimes. Mais c'est contesté par d'autres sources.

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Message n° 4295543, posté à 00:00 le 20/12/2019  
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ipefix
Pliskin a dit
le 19/12/2019 à 20:35
:

Il parle au téléspectateur ou si tu veux à l'auteur du livre dont le film s'inspire.
Il lui aurait soit-disant raconté tout ça, et avoué ses crimes. Mais c'est contesté par d'autres sources.
J'étais allé jusqu'à me dire qu'il aurait finalement tout craché au FBI, mais ouais, logique en fait. Merci.

Message n° 4297234, posté à 22:57 le 30/01/2020  
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chiiz
La durée m'a pas dérangé du tout. J'ai juste fait une pause à la moitié. C'est de toute façon de plus en plus rare quand j'arrive à enchaîner un film d'un trait.
Ça m'a plutôt captivé tout du long. Il y a beaucoup de choses à dire et c'est exploité.
Quant à la véracité ou non... je me pause pas de questions. Who knows?
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