Je l’ai fini. Il y a quelques passages sympas, mais ce que je retiens c’est que c’est une histoire extraordinaire qui aurait pu être bien mieux traitée, vraiment, même en gardant l’angle qu’ils ont choisi (que je ne partage pas).
Le propos qui consiste à dire qu’elle a fait du mal à la cause des femmes, c’est sans doute vrai, mais le véritable sujet de cette histoire, à mon sens, c’est que tout le monde voulait tellement croire à la possibilité d’une jeune femme Steve Jobs qu’ils ont foncé dans le piège.
Sauf que des femmes Steve Jobs, bah y en a pas. Caramba le patriarcat.
Bref, spéciale dédicace à la précurseur du sujet en France, la fameuse Anne Lauvergeon, qui a quasiment tué le nucléaire français tout en disant qu’elle voulait pas recruter d’hommes blancs.
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I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!