Je pensais qu'on parlerait d'espace et de politique, de passions, d'obssessions, de science et d'humanisme.

À la place on a des gros doigts envoyés à l'URSS comme ya 50 ans (sérieux, les premiers mots du soviet....), des scènes de ménages, la science est utilisé uniquement pour dire à une nana de faire son boulot et l'espace est vu dans un simulateur...

La scène avec le journaliste est parfaitement incompréhensible. J'ai pas la prétention d'y connaître quelque chose mais d'un point de vue historique, je vois pas en quoi faire un vol de répétition pour tester serait montrer de la faiblesse et un manque de couille.

C'est aussi régulièrement un concours de bite avec des soviets invisible. Lassant.

Je ne dirais pas que c'est nul comme See, je n'ai juste pas trouvé d'intêret à ce premier épisode, ça n'est pas ce que je venais y chercher mais je verrais le suivant par curiosité.

Comme ce n'est pas un documentaire historique mais une fiction où les usa sont coiffés au poteau par les cccp; difficile de dire que c'est incompréhensible.Maintenant c'est une fiction américaine, il faut bien qu'ils gagnent à la fin.

Visiblement le moment de divergence (d'après Baldwin dans l'interview en tout cas) est l'accident d'Apollo 1. Ce qu'ils n'expliquent pas, c'est pourquoi ça a eu pour conséquence de rendre la NASA ultra frileuse quand il s'agit de prendre des risques.

Long, prétentieux et gonflant.

Oh, i smell wokisme.

Mais sinon j’aime bien.