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Sujet n°13066 créé le 21/08/2008 à 12:12 par spaces - Vu 5292 fois par 476 utilisateurs
   
Pages : 1234
Message n° 694955, posté à 12:12 le 21/08/2008  
+6.81
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spaces
Un film, c'est bien.
un film, c'est une vision différente et propre à chacun.
Un film, c'est encore mieux quand le spectateur peut partager son avis, débattre sur ce film et pourquoi pas, donner envie à d'autre de le voir.
Il ne s'agit pas de faire de ce lieu, un truc chiant et indigeste, juste de confronter ses avis de manières constructives.
Par critiques, il faut entendre, réalisation, photographie, scénario, dialogue, jeu des acteurs ...
Le débat j'aime/ j'aime pas n'a donc pas sa place ici.
Une dernière précision peut être apportée, il ne s'agit pas de faire un doublon du topic "les derniers films que vous avez vu", mais simplement de faire une réflexion plus posée et plus réfléchie.
Alors, Cinéphiles ou occasionnels, ce topic est pour toi !
"Pour être juste, c'est-à-dire pour avoir sa raison d'être, la critique doit être partiale, passionnée, politique, c'est-à-dire faite à un point de vue exclusif, mais au point de vue qui ouvre le plus d'horizons." (Baudelaire)
Liste des avis/critiques/analyses
Dernière MAJ (26/08/08 à 11 h 00)

--
1/3 de pulco, 1/2 d'eau et le reste de limo...
*Édité à 11:13am, 08/26/08
Message n° 694958, posté à 12:13 le 21/08/2008  
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mpm
Merci Spaces de t'occuper de ce topic. clap

--
Vlan !
"Voilà, prenez modèle sur mpm" ©Bbsiocnarf
www.tupeuxpastest.fr
Message n° 694960, posté à 12:14 le 21/08/2008  
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Baje
Magnifique ouverture de topic.
Reste plus qu'à adjoindre des critiques et ça sera parfait. smile

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 695179, posté à 15:25 le 21/08/2008  
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Fresh Prince
Mais pour l'indexation des critiques, comment on fait ? Un blog ?

Message n° 695182, posté à 15:29 le 21/08/2008  
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Skerik
Fresh Prince a dit :
Mais pour l'indexation des critiques, comment on fait ? Un blog ?
Ben c'est un blog depuis le début non?

Message n° 695184, posté à 15:31 le 21/08/2008  
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mpm
Fresh Prince a dit :
Mais pour l'indexation des critiques, comment on fait ? Un blog ?
C'est déjà prévu avec Spaces. Il éditera son premier post pour lister les critiques du topic.

--
Vlan !
"Voilà, prenez modèle sur mpm" ©Bbsiocnarf
www.tupeuxpastest.fr
Message n° 695185, posté à 15:31 le 21/08/2008  
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Fresh Prince
Non mais, ce que je veux dire, c'est que comme l'ont souvent remarqué certains, on ne s'y retrouve plus dans des topics pareils. Donc, pourquoi pas créer un blog, genre blogospot ou autre, avec sommaire etc, pour que tout le monde puisse s'y retrouver ?

Message n° 695189, posté à 15:36 le 21/08/2008  
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Fresh Prince
mpm a dit :
mpm a dit :
C'est déjà prévu avec Spaces. Il éditera son premier post pour lister les critiques du topic.
On a répondu en même temps. Et comme j'étais en réponse rapide, j'ai pas vu, désolé.

Message n° 695199, posté à 15:47 le 21/08/2008  
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Key
spaces a dit :
A venir: une critique détaillée d'"In Bruges"
Il faut donc que je le regarde pour pouvoir en discuter :bs

Message n° 695295, posté à 19:38 le 21/08/2008  
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ricorod
In Bruges : j'aime.
titter
Non, je plaisante. Très bonne idée, ce topic. Le problème est que certains films sont si mauvais qu'ils n'inspirent que des critiques expéditives et lapidaires. D'autres sont si bons qu'on a envie de faire partager immédiatement le bonheur de les avoir vus.
Très difficile d'argumenter calmement dans le premier cas, de ne pas spoiler abondamment dans le second...
Ce sera un challenge à relever. bos
Sans compter que me connaissant, je vais essayer de vous convaincre de voir des trucs que vous n'aimerez pas... dans ces cas là, effectivement, une bonne modération sur les insultes / menaces / moqueries sera la bienvenue !
laugh

--
Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 695312, posté à 19:46 le 21/08/2008  
+3.92
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arp
Le Festin Nu de David Cronenberg (1991) d'après le roman de William S. Burroughs
Bon, et bien histoire d'inaugurer le bal, voici un joli copier-coller d'une chronique sur Le festin nu que j'avais rédigée pour mon blog.
Je sais, c'est honteux, mais au moins, ça fera un peu de lecture sur ce topic. J'aurai pu choisir moins pompeux, mais je me suis quand même bien touché je crois pour celle-ci et ça m'amuse assez. C'est toujours ça de pris. Ça en fera rire certains, ça en énervera peut-être d'autres. Bref.
 [x]
Je tenais à revoir le Festin nu parce que j'en gardais un bon mais lointain souvenir, que David Cronenberg est un de mes réalisateurs favoris et qu'il est toujours intéressant de revoir l'un de ses films.
Entre le moment où j'ai placé le DVD dans le lecteur et celui où j'ai lancé la lecture du film, j'ai pris le temps de comparer le cinéma du Canadien avec celui de David Lynch que j'affectionne tout particulièrement itou. Je les trouve assez proches : ce sont tous les deux de véritables cinéastes et pas simplement des faiseurs, qui produisent un cinéma d'auteur, qui ont un univers propre et marqué, sombre et traumatique et qui flirte avec l'irrationnel. Un irrationnel peut-être plus ésotérique chez Lynch et fantastique chez Cronenberg. Il y a aussi de l'obsession et une récurrence chez chacun d'entre eux.
Mais si je devais placer Cronenberg et Lynch chacun d'un côté d'une barrière, c'est un thermomètre qui en ferait office, Lynch du côté chaud et Cronenberg de celui du froid. Ce postulat est peut-être erroné, mais c'est essentiellement leur façon de traiter leurs personnages et leurs émotions qui m'aiguille en ce sens. Lynch nous place beaucoup plus volontiers au plus près de ses personnages, nous obligeant ainsi à une certaine empathie, Cronenberg nous montre avec plus de distance et de recul et une opportunité de calcul supérieure.
Cronenberg nous parle pourtant beaucoup de corps et du corps, mais quand il filme celui-ci, il est toujours malade, chirurgical, infecté, à la limite de l'hypothermie.
Non, je ne suis pas sûr du tout de ce que j'avance, il faudrait pour cela que je visionne à nouveau les films de chacun, mais voilà ce à quoi je réfléchissais devant le menu minimal du DVD du Festin Nu.
Et en quoi n'aurais-je pas le droit de penser le cinéma de Cronenberg plus froid que celui de Lynch, d'abord ? Au pire, ça se discute. Non, au pire, ça ne se discute pas et je me plante complètement, en ce cas, merci de ne point me laisser dans l'erreur.
Enfin... Revenons au Festin Nu, sujet initial de ce d'ores et déjà long post. C'est un film sobre malgré toutes les substances que peuvent s'offrir certains protagonistes et le délire qui constitue son propos, où l'on pourrait presque compter les mouvements de caméra sur les doigts des deux mains. Et cette sobriété de la réalisation est une excellente chose, elle n'interfère pas, ne complique pas une histoire qui ne l'aurait sans doute pas supporté.
Je ne peux malheureusement pas aborder le sujet de la qualité de l'adaptation n'ayant jamais lu le livre (réputé inadaptable) ou plutôt n'étant jamais parvenu à le pénétrer réellement et pour en avoir ainsi abandonné la lecture au bout de quelques dizaines de pages. Mais j'y reviendrai un jour.
Ceci dit, quelques détails du film permettent d'assez bien décrypter l'univers et le propos de Burroughs, du moins, c'est comme cela que je le perçois. Cronenberg nous dit par exemple que la machine à écrire de Burroughs est la drogue. Ce n'est peut-être que son propre point de vue, même si je pense que c'est également le discours de Burroughs. Oui, c'est vrai que mon exposé de ce fait est un peu simpliste, soit. Il y a donc de temps à autre de petits éclaircissements de ce genre qui recadrent un tantinet le personnage et son délire.
Plus formellement, certains détails sont assez plaisants au spectateur que je suis, qui apprécie l'auto-référence et la cohérence de certains réalisateurs (ou auteurs ou musiciens etc). Comme l'atelier de fabrication de la viande noire qui n'est pas très éloigné de ce que sera l'atelier de fabrication des pods dans eXistenZ ou la présence de Ian Holm qui est un acteur du complot dans ces deux films. Autre détail d'importance selon moi, la présence de Peter Weller, qui incarne très bien son personnage (et son auteur) et que l'on a pu voir, quelques années avant le Festin nu, "incarcéré" dans l'armure du super-flic RoboCop. Quand on sait l'obsession de Cronenberg pour la transformation de l'être dans sa "dualité" avec la machine, c'est superbement raccord.
Enfin (bis)... il y a énormément de choses à dire de cet excellent film et j'ai laissé passer un peu trop de temps entre le moment où je l'ai revu, commencé la rédaction de ce post et celui où j'écris les présentes lignes, et que j'en perdu bon nombre en route. Mais ce n'est peut-être qu'un moindre mal pour vous.
Au fait, j'espère pour vous que vous ne comptiez pas apprendre à la lecture de ce post de quoi parle le Festin nu ?
Message n° 695453, posté à 20:42 le 21/08/2008  
+0.97
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Boustrophedon
arp a dit :
Je ne peux malheureusement pas aborder le sujet de la qualité de l'adaptation n'ayant jamais lu le livre (réputé inadaptable) ou plutôt n'étant jamais parvenu à le pénétrer réellement et pour en avoir ainsi abandonné la lecture au bout de quelques dizaines de pages. Mais j'y reviendrai un jour.<br />Ceci dit, quelques détails du film permettent d'assez bien décrypter l'univers et le propos de Burroughs, du moins, c'est comme cela que je le perçois. Cronenberg nous dit par exemple que la machine à écrire de Burroughs est la drogue. Ce n'est peut-être que son propre point de vue, même si je pense que c'est également le discours de Burroughs. Oui, c'est vrai que mon exposé de ce fait est un peu simpliste, soit. Il y a donc de temps à autre de petits éclaircissements de ce genre qui recadrent un tantinet le personnage et son délire.
Le film est plus une mise en fiction de la vie de Burroughs au sein de l'Interzone qu'une réelle adaptation, puisqu'il ne reprend du livre que certains personnages, le docteur Benway et le Mugwump entre autres. Il s'avère également que c'était peut-être la seule manière de l'adapter. Sans trop spoiler, Burroughs a réellement tué sa femme en jouant à Guillaume Tell, et William Lee, le personnage interprété par Peter Weller, est le pseudonyme que se donne Burroughs dans Junky, témoignage de son expérience de la drogue en des formes plus abordables que celles qu'il empruntera par la suite. Pour ceux que cela intéresse, une comparaison entre la vie de Burroughs et le film est faite par un type dont je ne me rappelle plus le nom (on m'a taxé le dvd il y a un moment, c'est l'occasion d'aller le réclamer).
Je m'arrête là pour ce soir, mais je serai ravi de discuter plus avant de ce film. En attendant, je vous conseille de mater ne serait-ce que la bande-annonce, qui reprend des images des cuts-up films de Burroughs et Brion Gysin, et qui me semble être l'une des plus sympathiques oeuvres promotionnelles qui soient.

*Édité à 8:43pm, 08/21/08
Message n° 695478, posté à 21:00 le 21/08/2008  
+0.97
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arp
Boustrophedon a dit :
Le film est plus une mise en fiction de la vie de Burroughs au sein de l'Interzone qu'une réelle adaptation, puisqu'il ne reprend du livre que certains personnages, le docteur Benway et le Mugwump entre autres. Il s'avère également que c'était peut-être la seule manière de l'adapter. Sans trop spoiler, Burroughs a réellement tué sa femme en jouant à Guillaume Tell, et William Lee, le personnage interprété par Peter Weller, est le pseudonyme que se donne Burroughs dans Junky, témoignage de son expérience de la drogue en des formes plus abordables que celles qu'il empruntera par la suite. Pour ceux que cela intéresse, une comparaison entre la vie de Burroughs et le film est faite par un type dont je ne me rappelle plus le nom (on m'a taxé le dvd il y a un moment, c'est l'occasion d'aller le réclamer).
Je m'arrête là pour ce soir, mais je serai ravi de discuter plus avant de ce film. En attendant, je vous conseille de mater ne serait-ce que la bande-annonce, qui reprend des images des cuts-up films de Burroughs et Brion Gysin, et qui me semble être l'une des plus sympathiques oeuvres promotionnelles qui soient.
Si l'édition de ton DVD est la même que la mienne, le seul bonus qu'il y a dessus est le commentaire audio de Cronenberg où il semble effectivement citer de quels ouvrages proviennent certaines scènes, certaines idées.
Message n° 695483, posté à 21:03 le 21/08/2008  
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Boustrophedon
arp a dit :
Si l'édition de ton DVD est la même que la mienne, le seul bonus qu'il y a dessus est le commentaire audio de Cronenberg où il semble effectivement citer de quels ouvrages proviennent certaines scènes, certaines idées.<br />
Dommage que je ne l'aie pas sous la main, mais sur le deuxième dvd il y a la bande-annonce du film, l'interview de Serge Grunberg ainsi qu'une table ronde je crois.

*Édité à 9:03pm, 08/21/08
Message n° 695508, posté à 21:23 le 21/08/2008  
+1.85
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spaces
In Bruges (texte à spoiler)
Faisant suite à la lecture et l'enthousiasme de certains pour ce film, et la possibilité pour moi de le visionner, je m'y jetai presque, si je puis dire, les yeux fermés.
A première vue ce film a tout pour me plaire, et au final, on peut estimer que ce film, est d'un niveau très correct.
Réalisé par Martin McDonagh (un anglais-irlandais quasi inconnu, ayant réalisé un court métrage qui a reçu un oscar ), ce film raconte donc l'histoire de deux tueurs à gage qui à la suite d'un contrat qui a mal tourné, sont obligés de se mettre au vert à Bruges.
Très vite, on apprend que le jeune Ray (interprété par Colin Farrel) a foiré son premier contrat. (Il tua un gosse). Ce personnage est très ambiguë, tantôt "idiot", tantôt faisant preuve de maturité. Pour ma part, je ne suis pas parvenu à cibler le personnage, cependant, une chose est sûr, le rôle est très bien interprété par Colin Farrel, ce qui faut l'avouer m'a surpris (dans le bon sens). Habitué à voir un Colin Farrel, survolé ses rôles, ce film le montre capable d'autres choses.
Ken (interpreté par Brendan Gleeson qui joue Alastor Maugrey dans les Harry Potter.), qui possède un lien affectif avec Ray ( presque assimilable à une relation paternelle ) est chargé par Harry (leur boss) de le tuer.
Le déroulement de l'histoire est on ne peut plus classique, et c'est là le plus grand défaut du scénario et donc du film, peu d'intensité dans les événements pour arriver à la grande confrontation finale et cette fin qui est décevante, ( hormis l'histoire du nain quoique, à réfléchir, on la(la séquence) sent venir à des lustres.)
On pourra regretter néanmoins que la personnalité de l' l'hôtelière et celle d'Harry soient sous développées.
D'un point de vue technique, McDonagh sait tenir une caméra de manière correcte, les différents plans sont très lisibles, celle de la séquence final est fluide. Il est à noter la très belle séquence en haut de la tour, ou la caméra suit les traces de sang, je l'ai trouvé en tout point imaginatif, notamment au travers les empreintes des mains. Bref du beau boulot.
Sans en attendre énormément, j'en suis sorti plutôt convaincu, hormis quelques faiblesses "scénaristiques" et un réalisation plutôt jeunette et qui manque de nervosité, In Bruges reste un bon moment de cinéma comme on en voit trop peu.

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1/3 de pulco, 1/2 d'eau et le reste de limo...
*Édité à 4:30pm, 08/24/08
Message n° 695528, posté à 21:37 le 21/08/2008  
+1.85
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ricorod
Houlà ! Niveau spoilers, c'est pas un avertissement, que tu devrais mettre, c'est un panneau géant !
dubious
En revanche, je te rejoins sur beaucoup de points, particulièrement concernant l'excellente prestation de Farrell (un acteur dont je n'attendais pas tant). Le rythme du film est envoutant, et le décor participe beaucoup de cette sensation également.
Pour ceux qui n'auraient aucune idée de qui est Brendan Gleeson (tout le monde ne regarde pas les Harry Potter), il a eu des rôles remarqués dans Kingdom of Heaven, Troy, Le Village, Cold Mountain, Gangs of New York et beaucoup d'autres films... surtout "The General"... un acteur précieux.
J'ai trouvé la fin assez grandiose, et d'un humour noir de chez noir très réjouissant.
Certainement à cette heure un des meilleurs films que j'aie vus cette année.

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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 695604, posté par Fresh Prince à 22:20 le 21/08/2008
Message sous votre seuil (Afficher quand même)
Message n° 695609, posté à 22:23 le 21/08/2008  
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ricorod
Fresh Prince a dit :
Idem. On aurait plus dit une analyse qu'une critique à cause de ces spoilers.
Oserais-je suggérer que tu utilisas toi même les balises idoines ? wot

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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 695972, posté à 08:03 le 22/08/2008  
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numéro 6
Focking Bruges .....
Chouette topic, ca me rappelle des souvenirs, ......

Message n° 696623, posté à 02:03 le 23/08/2008  
+1.77
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ricorod
POSTAL - écrit, produit, réalisé, monté, interprété... par Uwe Boll.
Qu'avons nous là ?
Un quidam désespéré qui va péter un plomb.
Une secte ricaine adepte du sexe libre, de la fumette et de l'évasion fiscale
Ossama Ben Laden et une bande de terroristes islamistes
GWB
Un guichet de l'ANPE
Des allemands en pagaille
Des poupées pour les gosses qui ressemblent à des bites
Verne Troyer
Des singes... plein.
Une très grosse nymphomane
Des armes de toutes sortes... plein.
Des cadavres de gamins empilés.
Un créateur de jeux vidéos énervé.
Des bimbos pas du tout prudes... plein.
Un chien qui chie partout.
Des flics pourris.
Une vieille chinoise.
Un camion de la Poste....
Bref, un énorme bordel, monté de bric et de broc avec visiblement peu de moyens, mais de la déconne en pagaille.
Tenons nous là le nanar jouissif ultime ? Le chef d'oeuvre d'Uwe Boll ?... je ne serai pas catégorique sur la question...
D'abord parce que je l'ai vu en VO sans ST (et que donc un bon tiers des dialogues m'a échappé). Ensuite, parce qu'Uwe Boll n'est jamais meilleur que quand il n'essaye pas de faire du second degré, ce qui rabaisse un peu le présent film au regard de perles comme Bloodrayne ou d'autres films involontairement hilarants du Monsieur.
J'ai toutefois passé un agréable moment, avec des scènes complètement barrées qui ne peuvent pas laisser de marbre.
Effarant de connerie ou jubilatoire selon votre humeur, voilà les effets possibles d'un tel ovni. Ne jugez pas avant d'avoir vu, ce serait dommage.

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Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
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