Dans ce topic, des photos des personnages des fictions que vous avez vu qui sont comme indiqué dans le titre les plus classiques, ceux que l'on retrouve dans chaque série ou presque (ceux qui véhiculent le plus le cliché qu'ils représentent), ainsi que leurs opposés, les personnages qui vous ont fait "tilter": ceux qui sont les plus étranges, que ça soit niveau scénaristique (ça se dit?) ou autre...
Seule règle du jeu, expliquez en quelques mots pourquoi vous choisissez de montrer ceux-là.
Je commence avec un perso:
Inhabituel:
Morn, dans Star Trek DS9En voici un personnage secondaire peu banal. Présent dans chaque épisode. Le plus loquace, prolixe à souhait, celui possédant le plus d'humour et de richesses (peut-être?) de la station, un des plus grand dragueurs aussi, bref, l'homme parfait. Sauf que dans la série entière, on ne le voit que quelques secondes par épisode, quand il n'est pas simplement que mentionné, on ne le croise que devant le bar de Qwark, ou à l'intérieur et on n'entend jamais le son de sa voix.
Pourquoi tant d'éloges alors? Et bien c'est ce qui est formidable dans cette série. La facilité avec laquelle ils nous font découvrir sa vie entière par l'intermédiaire des discussions des autres persos, de leur comportement en sa présence, et sans jamais le montrer à l'action une seule fois. Le personnage entier est construit autour de son absence en fait, ce qui le rend si remarquable.
Ahhhh Spike. Un grand héros de Buffy contre les vampires, pour ceux qui connaissent et ceux qui ne connaissent pas encore (regardez vite ^^). L'une de ses particularité est qu'il est un vampire. Donc il se fait pourchasser (normal) et il pourchasse. Sauf que dans son cas, tous ses plans ou presque sont foireux. Sa présence elle même est foireuse, et porte à chaque fois à un comique de circonstance. En bref, c'est un aimant à emmerde. Première fois (je pense) qu'un vampire est aussi bien tourné en dérision, et ça lui réussit vraiment.
Rembrandt Brown (SLIDERS) Le prototype même du gars qui sert à rien. Au cas où Sliders vous ne connaissez pas, ça parle d'un mec (le jeune) qui a inventé un moyen de voyager à travers différentes réalités en passant par un vortex. Sauf que dès l'premier jour, ça part en vrille et ils se retrouvent perdu à chercher leur Terre d'origine. Série basée sur les différentes évolutions culturelles possible, le jeune est un scientifique génial, le gros un professeur d'université calé en tout, et la jeune fille, hackeuse, ben c'est la jeune fille (quelqu'un postera sûrement une image de "potiche" classique plus tard). Et Rembrandt? Le mec qui passait par là en voiture, qui n'a rien à voir dans l'affaire et qui a été aspiré avec par erreur. Yen a toujours un qui est pris dans les embrouilles par erreur et qui fini par devenir soit le héros, soit un proche du héros.
Ben c'est le cas. Ce mec parfaitement inutile voir même casse couille au début (un chanteur parmi 3 scientifiques) fini par devenir un "outil" indispensable de par ses capacités relationnelles, un ami par son écoute, puis le soutien de l'équipe et enfin le Amusant perso qui évolue parfaitement: Du plus nul, il passe au meilleur.
A vous!
-- Cherche toujours. Et si on inventait... ?
Historique des éditions
*Édité à 11:54am, 12/16/08 *édité à 13:10 le 27/10/2009 par Kaeleak
1.39
Message n° 868641, posté par ricorod à 23:24 le 12/12/2008
Francis Lawrence « Larry » Kubiac dans "Parker Lewis Can't Lose" ("Parker Lewis ne perd jamais")
Un personnage absolument autre, dans une série autre, et totalement incontournable. Une des rares sitcoms qui fasse rire "pour de vrai", sans rires enregistrés.
La série grouillait de personnages plus délirants les uns que les autres (Jerry et son pardessus fourre-tout, Grace Musso la proviseur tyrannique, Norman Pankow le proviseur-némésis, Frank Lemmer le lèche-cul gothico-vampirique, et tant d'autres...).
Mais c'est Kubiac qui restera dans mon coeur pour l'incroyablement irrésistible scène de l'écureuil.
-- Life is too short to spend two hours in a state of total exasperation.
Message n° 868677, posté par ricorod à 23:34 le 12/12/2008
Il se définit comme étant un homme de Dieu à l'équipage de Serenity, lorsqu'il les rejoint sur Perséphone au début de la série. Il vient juste de quitter son abbaye afin de visiter l'univers. Seulement on se rend assez vite compte qu'il n'est pas qu'un simple prêtre. Il connait beaucoup de choses sur les différents mondes que lui et l'équipage parcourent, il s'y connait beaucoup trop en armes et tire trop bien pour un prêtre.Bref un prêtre à la Donjons et Dragons un peu. Toujours à sermonner mais bourrin quand même.Malheureusement l'arrêt extrêmement prématuré de la série, empêche de découvrir la vérité sur ce personnage. :o(Mais le voir péter des genoux aux Alliés est suffisamment jouissif pour supporter cette ignorance.
Message n° 873044, posté par Finwe à 11:47 le 16/12/2008
ricorod a dit : Je sais, je raconte mal, mais cette scène avait le chic pour m'arracher des fou-rires retentissants.
Je me rappelle de cette scène! Rah c'était énorme. C'est dans la première saison je crois. Vieux Kubiac gentil. Ca me fait penser au jour où je l'ai vu pour la première fois dans Urgences. Le choc.
1.03
Message n° 873045, posté par banane à 11:51 le 16/12/2008
Je posterais bien tous les persos de NCIS, allant de (comme par hasard) la fille du labo excentro-gothique (quel cliché) le boss qui n'en dit pas plus mais qui n'en pense pas moins et qui est un être responsable (clichéééé) le jeune mec beau gosse dragueur qui ne prend rien au sérieux (j'ai dit cliché ?) et la fille limite frigide qui recule devant les avances des mecs, mais qui est une femme de travail tout à fait respectable (j'ai besoin de préciser cliché ?) ces clichés là sont hélas ce qui fait que cette série est aussi intéressante qu'une pile de montre dans une pizza.
Alors je posterais plutôt lui, au hasard :
Dexter, un tueur plutôt hors-normes.
-- Banane.
Message n° 873067, posté par kerial à 12:33 le 16/12/2008
banane a dit : Je posterais bien tous les persos de NCIS, allant de (comme par hasard) la fille du labo excentro-gothique (quel cliché) le boss qui n'en dit pas plus mais qui n'en pense pas moins et qui est un être responsable (clichéééé) le jeune mec beau gosse dragueur qui ne prend rien au sérieux (j'ai dit cliché ?) et la fille limite frigide qui recule devant les avances des mecs, mais qui est une femme de travail tout à fait respectable (j'ai besoin de préciser cliché ?) ces clichés là sont hélas ce qui fait que cette série est aussi intéressante qu'une pile de montre dans une pizza.
Aaah N.C.I.S difficile de faire pire en effet même en cherchant vraiment bien.
-- C'est quoi ? Des biscuits ? Lilobootcopyright.
Santino=loser=gay. Kelidriccopyright.
Message n° 873068, posté par Finwe à 12:35 le 16/12/2008