Fresh Prince a dit :
Bref, j'ai plus aucun tonton là, je sais pas ce qui se passe.

Cela commence par un retour déprimé pour un enterrement, cela finit par un au revoir souriant sous un ciel bleu azur. Entre temps, on aura parcouru un chemin parsemé d'embûches, jamais vraiment tel qu'on l'attendait, mais que l'espoir n'aura pour autant jamais déserté et ce malgré les dramatiques événements passés, présents et futurs qui vont y survenir. Les paysages de Nouvelle Zélande, débarrassés des batailles de Trolls du Seigneur des Anneaux, révèlent une poésie insoupçonnée et contribuent à la valeur de ce film, petit bijou couronné de multiples prix internationaux, qui n'a pourtant pas réussi à se frayer un chemin sur nos écrans. Magnifié par l'interprétation nuancée de Matthew Macfadyen, cette ode à la vie et au pardon est pourtant une oeuvre comme on aimerait en voir plus souvent : sobre, poétique, surprenante. La caméra de Brad McGann nous prend par la main pour nous faire entrer dans cette histoire simple et bouleversante, baignée d'une lumière bleutée, comme pour adoucir les tourments qu'elle renferme. On en sort sonné, la larme à l'oeil mais le coeur réchauffé. Un vrai grand et beau film.

Baje a dit :
Et toi, kes tu fout là !

Fresh Prince a dit :
Ils sont plus opérationnels, les tontons. Je sais pas ce qui leur prend.

Baje a dit :
Soit tu ment, soit je suis choqué. J'ai jamais compris l'intérêt de boire tout seul

Fresh Prince a dit :
J'ai vu la bande-annonce sur Canal en décembre. La première chose que j'ai pensée : pourquoi est-ce qu'il ne s'est pas arrêté après Slevin ?