C'est prévue mais pas de date pour l'instant.

Ah et aussi, je pensais que jamais quelqu'un ne validerait une séquence en image de synthèse aussi pourrave que celle du début. C'est digne d'une mauvaise série B DTV américaine sans un rond.

En effet abusé carrément !! Alors que derrière, y a des millions.

Ahahahahahahahahahahahahahahah ouhouhouhouhouhouhouhouhouhhihihihihihihihihihihi.

Laaaaaame.

Un beau nanard en devenir.

Tu fais de drôles de choses.

Gremlins 2 : C'est jouissif.

The King's speech. (2ème visionnage)

C'est toujours aussi extra.

Ah et sinon nouveau fléau : les vieux qui se marrent à chaque réplique du film...

Affligeant.

Excellent !

Et encore, il a de la chance Lefoufurieux.

L'autre jour j'ai eu un vieux qui rigolait tout le temps avec des bruits sortis d'un film de SF. T'as envie de les buter les vieux dans ces moments-là. C'est comme dans le bus.

Le bus, c'est fatal. Entre les vieux qui comprennent pas qu'il faut appuyer sur ce putain de bouton pour ouvrir les portes, ceux qui cherchent absolument à aller jusqu'au bout du bus pour choper la place qui n'est pas libre alors qu'il y en a 3 à l'avant.

Dernièrement c'était pendant True Grit que j'ai faillis devenir fou. Un connard avec son paquet de pop-corn qui insistait bien pour essayer de choper ses pop-corn, mais vraiment. Il croyait que son paquet c'était des maracas. J'ai rien contre ceux qui mange au ciné, je le fais moi-même presque tout le temps, mais merde j'essaie au moins de faire ça très discrètement.

Get Low :

J'avais vu la BA il y a pas longtemps et le film m'avais tenté, merci Baje d'avoir fait une critique. J'aurais pas vu qu'il était déjà dispo sans ça.

Très bon moment, certains passages sont assez drôles, d'autres très touchants. Voir cet homme s'enfermer pendant 40 ans pour se décider enfin de faire éclater la vérité sur lui et sur ses démons qui l'ont rongé pendant tout ce temps est très bien rendu. On prend plaisir à voir son évolution, ses doutes, ses regrets, son oeuvre tout au cours du film. L'idée d'organiser une immense fête n'est pas forcément nouvelle mais est vraiment bien foutue dans le film. Notamment son arrivée en traversant la forêt avec la musique, qui se fait très discrète. Le piano est simplement là pour accompagner les pas de ce vieil homme sans pour autant lui voler son moment. On a un très bon jeu d'acteur et un bon jeu de lumière. J'aime beaucoup le plan où on le voit arriver avec sa mule en ville. Puis Bill 'Fucking' Murray. Et la musique de fin est chantée par Alisson Krauss, et ça c'est la classe. On la retrouve dans un épisode de Buffy. Et même dans O'brother. Elle dépote quoi (avec 28 grammy awards)

Un très bon moment de passé.

Salt : Rarement vu un film avec un scénario aussi prévisible que celui-là. Sérieux, ça commence à devenir assez lourd, là. C'est limite une insulte à l'intelligence, putain. Et puis, je me disais, "boah, on s'en branle du scénar, c'est un film d'action, si l'action est bien tournée et montée, ce sera cool", mais un vié, c'est un film tout pourri.

Par contre, pendant que je regardais cette bouse infâme, cette nullité, cette insulte à l'intelligence, cette ignominie, bon, pour faire court, cette sombre merde, j'ai eu une idée de génie : inventer un bingo "scénario de merde" pour chaque genre de film. On peut lancer un concept, là, je le sens. Rien qu'avec cette bouse on peut.