Ah voilà, et j'avais parfaitement vu juste quant au moment de la transition en plus.

Toujours présent d'ailleurs. Par contre on oublie tout ce qu'on a appris dans le 2 avec la fillette etc.

Oui le prêtre est intense, et c'est vrai qu'il peut prêter à rire, mais ça n'a rien à voir avec un esprit de comédie, ce qui est le cas ici.

Le Macdo chez soit, on en as tous rêvé ! Ca me tue d'avoir raté ça. J'aurais adoré le revoir.

Bustin Beeber Never Say Never : parce que rien ne vaut les biographies officielles.

Happy Feet 2 : naïf mais intelligent, drôle mais poignant, visuellement bluffant.

Matt Damon et Brad Pitt n'ont jamais été aussi marrants.

C est sorti en salle ?

Ou comment se faire ficher par la DCRI en allant dans les trois salles de ciné de France qui diffusent le film !

Pirates of the Caribbean 3 : At world's end (2007) #2012# : Cet épisode crystalise tous les défauts des autres films.

Quand les deux premiers films ont quelques longueurs presque normales pour de telles durées, ce troisième volet se permet deux heures d'un chiant et d'un long pas croyable pour justifier une fin épique.

Si Orlando Bloom est "passable" dans les deux premiers, il énerve au plus haut point dans cet épisode, en jouant encore plus à l'homme, en faisant encore plus son célèbre regard vers l'horizon appris avec Jackson, et sa putain de voix grave presque cassée super énervante. On a qu'une envie, c'est qu'il crève...

Que dire de sa copine ? Qui passe la première moitié à pleurer et à faire une tête de chien battue, l'autre moitié à jouer à la patronne et à essayer de nous faire croire qu'elle est autoritaire.

Comme toujours, seuls les vrais acteurs - Depp, Rush, Nighy - plaisent, font rire, donnent des frissons.

Le gros défaut de cet épisode, et même du tout qu'il forme avec le deux, réside surtout dans le fait de vouloir intégrer plus de pirates.

Si le premier était si bon, marchait si bien, c'était aussi grâce à ce face à face épique et unique qui sonnait presque comme un combat entre les derniers pirates.

Là, ça part trop loin. Beaucoup trop loin. La scène du conseil est toujours autant une torture, les 20 premières minutes, intro comprise, n'en parlons pas... Enfin, je sais pas, pourquoi vouloir faire si compliqué, si alambiqué ? C'est pas utile...

Tout ce que l'on retiendra de cet épisode, c'est encore une fois la réalisation pleine de maitrise de Verbinski, impressionnante en tous points, souvent jouissive, et hallucinante sur ses quelques scènes de ralenti. La dernière scène, allégorie de cette réalisation, est juste sublime. J'en avais les larmes aux yeux.

Si tous les blockbusters étaient aussi beaux visuellement, et si tous avaient droit à une telle réalisation, une telle photo, un tel montage, on en prendrait souvent plein les yeux. Très souvent.

La musique, si on exclue la reprise de Morricone, est encore une fois magique et enchanteresse.

Et enfin, la scène post-genérique reste toujours un grand mystère pour moi.

En bref : regardez la dernière heure, le reste est inutile et énervant.

Allez voir Aux yeux de tous, avant qu'il disparaisse des salles (il est très peu distribué).

Film belge, qui se passe aux US. On ressent très vite le rapprochement entre la Belgique profonde et l’Amérique profonde. Au début, j'étais un peu déçu de les avoir adapter leur scenar pour les US. Mais ça a finalement quelques avantages.Déjà les acteurs sont brillants, particulièrement le gamin de 20 piges. De plus, c'est assez intéressant de voir un film US, écrit de manière plus européenne. Tout est fait en douceur, l'évolution des personnages est minime mais bien réelle. Un film très touchant, qui n'a malheureusement pas encore de distributeur en France.

Idem. Enfin, je trouve pas ça complètement moisi, mais c'est du déjà dit et redit, et j'ai pas envie de payer pour ça.

Eros = Pulsion sexuelle.Thanatos = Pulsion de mort.

Malgré l'horreur du film, ta citation a raison.