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Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2274551 fois par 19477 utilisateurs
   
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Message n° 3378158, posté à 20:18 le 05/09/2012  
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Batefer
Y'a pas grand-chose à dire, c'est exactement ce à quoi tu peux t'attendre, ni plus ni moins.

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3378159, posté à 20:18 le 05/09/2012  
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Batefer
C'est con-con mais distrayant.

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3378515, posté à 23:03 le 05/09/2012  
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linwelin
Vu Mission Impossible Ghost chépukoi. C'était nul.

--
I'm not questioning your honor, I'm denying its existence.
Message n° 3378541, posté à 23:19 le 05/09/2012  
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Medieval
tenia a dit
le 05/09/2012 à 19:56
:

Mouais.
Je continue de trouver que le passage au format cinéma de studios (en opposition au semi documentaire de Borat et Bruno) dessert énormément le film.
Je profite comme un crevard de ta phrase pour demander à tout le monde de l'aide sur La pivellina (2009).
C'est un docu-fiction et dans cette catégorie je suis une bille totale. Je recherche d'autres docu-fictions pour mettre en parallèle (et accessoirement éviter de passer 6 semaines sur cette purge).
Merci d'avance.
Remarque : c'est pour des collégiens de 5ème donc la vie d'une star du X, ça le fait pas.

--
"Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, c'est son gouvernement."
Saint-Just
Message n° 3378579, posté à 23:34 le 05/09/2012  
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Baje
Blood Simple
 [x]
Si le démarrage est un peu poussif, que le film a bien vieilli par certains aspects, c'est très efficace.
Ils auraient bien sûr pu éviter de prendre un gorille sans émotion comme personnage principal et le futur méchant de Commando, aussi ridicule dans ce film que dans le futur chef d'oeuvre de Gouvernator... Mais autant ne pas faire quelque chose de parfait du premier coup.
Après, c'est loin d'être leur pire et pas loin d'être dans les tous meilleurs. Ca vaut le coup. Et pour un premier film, ça calme sec une bonne partie de la populace réalisatrice.
A ceux qui auraient plus de 25 ans de mémoire où qu'ils l'auraient vu il y a peu, je n'ai pas compris la scène de McDormand
quand
elle va auprès du coffre, fait mine de l'ouvrir, s'arrête et se réveille dans son rêve avant de s'endormir dans celui-ci pour se réveiller et rêver de son mari.
A priori, elle a pas vraiment vécu cette première scène ni la seconde. Mais si la "rencontre" avec sa mari a un but, j'ai pas compris l'histoire avec le coffre, d'autant que le gros tueur semble la regarder. Donc elle l'aurait vécu ? Je suis perdu.

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 23:36 le 05/09/2012
Message n° 3378617, posté à 00:55 le 06/09/2012  
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Fresh Prince
Finally a dit
le 05/09/2012 à 20:08
:

Des retours sur Killer Joe ?
Oui.
Killer Joe (2012) #2012# : Fini le cinéma hollywoodien édulcoré, avec une morale et tutti cuanti. Fini le cinéma indépendant qui choque pour choquer, sans réel sens derrière, ni même beauté. Friedkin est de retour, 6 ans après Bug, et compte montrer qu'il est ni rouillé, ni mort, ni en panne d'inspiration.
Très vite, on reconnait sa patte. Le film est posé, calme, tranquille, mais met sacrément mal à l'aise. La musique de Tyler Bates y est pour beaucoup. L'ambiance est d'emblée pesante. On redécouvre Thomas Haden Church, aime toujours autant l'excellent mais néanmoins éclectique Emile Hirsh, Juno Temple s'affirme enfin comme une réelle actrice, parfaite en lolita perdue et torturée - on remarquera d'ailleurs quelques parallèles avec le Lolita, justement, de Kubrick - mais c'est quand McConaughey arrive à l'écran que le film prend une toute autre dimension.
Friedkin offre à l'acteur dont on a souvent critiqué l'hygiène (j'étais obligé, désolé) le rôle de sa vie. Il montre à tous que c'est un acteur, pas seulement un mannequin à midinettes allergique aux déodorants (encore une fois, désolé). McConaughey est dantesque, de bout en bout. Et surtout flippant. Si flippant que lorsqu'il apparait pour la première fois, on se demande si c'est bien lui ou un autre acteur, tant il en impose. Il eclipse les autres acteurs, pourtant tous au top, et nous offre un des plus beaux méchants vus depuis quelques années. Clairement une prestation mémorable.
Et si certains pourront être allergiques à cette lenteur, pourtant propre au réalisateur, le film ne tombe jamais dans un faux-rythme, ne perd pas de temps, et fait monter la tension au fur et à mesure que l'action continue. On pensera souvent au très mauvais Killer inside me. Killer Joe lui est très similaire, mais il a une énorme différence avec celui-ci : un réalisateur. Un réalisateur mûr, calme, pas un ado attardé qui veut choquer dans les chaumières.
Si les 20 dernières minutes seront si jouissives qu'on en oubliera peut-être les 80 autres, ce n'est que pour encore plus imposer le propos sale, malsain, même triste, on peut dire, de l'histoire d'une fille à la relation quasi-incestueuse avec son frère qui cherche juste à fuir quotidien et famille grâce à son amourette.
Très peu de non-dits, de redites, de futilités, Friedkin s'impose une fois de plus comme l'un des seuls réalisateurs des années 70-80 à avoir su continuer à faire de vrais bons films dans les années 2000. Et de nombreux plans et scènes nous font penser qu'il a encore beaucoup à dire, tant il arrive à rendre ce propos dégueulasse magnifique grâce à sa caméra. Ca faisait longtemps qu'on avait pas vu dans ce genre une si belle maîtrise de la réalisation, du montage, et surtout de la photographie.
"Le meurtre n'a jamais eu aussi bon goût."

Message n° 3378619, posté à 01:01 le 06/09/2012  
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Fresh Prince
Et son interview sur Allociné est extrêmement intéressante.

Message n° 3378759, posté à 07:21 le 06/09/2012  
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tenia
J'ai du mal à trouver la justification poussant à des comparaisons du type "Un réalisateur mûr, calme, pas un ado attardé qui veut choquer dans les chaumières."
C'est Friedkin, c'est pas quelque chose de nouveau.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 3378762, posté à 07:33 le 06/09/2012  
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Fresh Prince
tenia a dit
le 06/09/2012 à 07:21
:

C'est Friedkin, c'est pas quelque chose de nouveau.
La comparaison est juste avant. Je parle de Winterbotom.

Message n° 3379290, posté à 21:21 le 06/09/2012  
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Baje
Killer Joe
 [x]
C'est drôle, parfois trop tellement le glauque se mélange à l'humour. On ne sait plus si on doit être dégoûté ou hilare. Le traitement de l'image est un peu bizarre mais plus on avance dans le film et plus c'est agréable.
On parle beaucoup de ce film comme de la découverte d'un acteur, soit disant habitué aux films familiaux et aux comédies. Je comprends pas vraiment ces avis sur McConaughey, dont la carrière a déjà prouvé qu'il savait très bien jouer. Ici, il est passionnant, semblant changer d'état d'esprit à chaque scène. Juno Temple fait aussi une belle performance dans le rôle de la paumée complètement perdue dans une famille de tarée.
Le film monte tranquillement vers son sommet, les 20 dernières minutes, particulièrement savoureuses. McConaughey fini en apothéose en partant dans tous les sens avec une maîtrise parfaite.
Friedkin exploite vraiment parfaitement ses acteurs. Allez, encore quelques uns comme ça avant de prendre ta retraite !

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 21:22 le 06/09/2012
Message n° 3379535, posté à 23:42 le 06/09/2012  
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Fresh Prince
Ce que j'ai surtout trouvé drôle dans le film, c'est la connerie de la famille, surtout dans les 20 premières minutes. J'ai trouvé ça hallucinant.

Message n° 3379572, posté à 00:24 le 07/09/2012  
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Baje
Je crois que mon fou rire du film c'est vers la fin
spoiler
avec le poulet.
C'est tellement exagéré que ça en deviens grotesque. Quand Joe finit son truc, il tire une de ces têtes. laugh

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
*édité à 00:25 le 07/09/2012
Message n° 3379637, posté à 02:07 le 07/09/2012  
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Fresh Prince
Heu, je suis tout sauf d'accord... J'ai trouvé ça ni exagéré, ni grotesque. Juste de la pure humiliation bien dure à encaisser. C'est plus flippant que drôle...
Cruising (1980) #2012# : Friedkin qui joue avec les codes du Giallo, ça ne peut être que super.
On remarque très vite trois grandes inspirations visuelles : l'expressionisme allemand, le film noir, et donc, évidemment, le Giallo. C'est le genre italien qui sera le plus exploité (car pas seulement visuellement, mais aussi scénaristiquement), et surtout le plus revisité.
Pas de rouge, mais du bleu omniprésent. Aucune femme (une seule personnage féminine), seulement des hommes. Pas d'érotisme, du sale, de l'écoeurant, les pires travers de l'homme. Mais les scènes de meurtre, elles, rentrent tout à fait dans le Giallo. Cuir (même si ce ne sont pas des gants cette fois-ci, mais des vestes), mains qui rentrent dans le cadre pour poignarder la victime, sang qui gicle... Au fur et à mesure que le film avance, les scènes de meurtres sont plus dures, mais aussi en même temps plus belles. Mention spéciale à celle du peep-show.
Mais, même si visuellement parlant, c'est parfait, scénaristiquement, ça l'est moins. La partie "chasse" dure bien trop longtemps. Le personnage de Pacino patauge trop longtemps. Toute la première partie du film aurait pu durer deux fois moins longtemps.
La deuxième partie, notamment le face à face, est elle bien plus intéressante. Encore une fois, les dernières minutes sont superbes, et on aurait souhaité que l'intégralité du métrage ait cette qualité.
Par contre, la fin est beaucoup trop ambigue et ouverte à mon goût. Je trouve ça dommage, alors que ça peut être, parfois, un point fort.

Message n° 3379677, posté à 08:19 le 07/09/2012  
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Baje
Fresh Prince a dit
le 07/09/2012 à 02:07
:

Heu, je suis tout sauf d'accord... J'ai trouvé ça ni exagéré, ni grotesque. Juste de la pure humiliation bien dure à encaisser. C'est plus flippant que drôle...
Fin
Et quand son mari la lâche comme un enfoiré quand l'autre lui demande ce qu'il en pense de sa trahison, t'as pas rigolé ?
Une bonne partie de la salle était en pleine poilade.

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 3379853, posté à 15:56 le 07/09/2012  
+1.00
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Fresh Prince
J'ai pas ri de toute la fin. Encore moins pendant ce que tu as écrit. Et après vous critiquez le fait que certains aient ri pendant la scène de l'hôtel de Drive...

Message n° 3379900, posté à 17:57 le 07/09/2012  
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Finally
Bon et la fellation ?

Message n° 3379904, posté à 18:02 le 07/09/2012  
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Batefer
En parlant de rires...
Hier j'ai vu Headhunters.
Alors, voilà.
Headhunters
 [x]
Un polar venu du froid qui ne fait pas chaud au coeur (désolé, j'suis crevé).
Un chasseur de têtes accompli risque tout pour acquérir en sa possession un tableau de valeur dont l'actuel propriétaire est un ancien mercenaire.
Le film commence bien, très bien même, en suivant ce chasseur de têtes qui donne son titre au film, qui mène grand train grâce au vol de tableaux de maîtres au nez et à la barbe d'une police incapable.
Seulement, le concept est très - trop - vite abandonné pour se transformer soudainement en chasse à l'homme durant laquelle l'improbable le dispute toujours plus au grand-guignol au fur et à mesure que le scénario déroule des incohérences de plus en plus fumeuses.
Mention spéciale à la scène
spoiler
dans la merde,
hommage involontaire à deux chefs-d'oeuvre d'épouvante, La Colline a des Yeux 2 et The Descent 2 (ceux qui ont vu les trois comprendront).
Les acteurs, globalement très bons (mention spéciale à Jaime Lannister, c'est plus simple à écrire), surnagent (hihihi) donc dans un script se voulant malin et retors, mais qui accumule trop de défauts pour réellement convaincre. Certaines scènes et certains personnages se veulent le contrepoint comique au relatif sérieux de l'ensemble, pourtant on se retrouve à rire davantage en coin au grotesque de passages involontairement drôles.
D'où, c'est sympa mais dans l'ensemble raté.
Il y a d'autres choses bien plus excitantes venant de Norvège. Et certains de leurs films ne sont pas mal non plus.

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 3379963, posté à 20:00 le 07/09/2012  
+3.40
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tenia
 [x]
The Tree Of Life est un hymne à la vie. Un hymne au sentiment, à la chaleur, à la nature, à la spiritualité, mais surtout au deuil et au pardon. Ce n'est pas un film facile, mais qui nécessite au contraire du spectateur qu'il ouvre toute sa sensibilité personnelle au film, pour l'accueillir, le laisser résonner en lui.
Ce que raconte Malick est pourtant très simple : un homme (Sean Penn), maintenant assez âgé, regarde derrière lui et remet en question sa vie passée, ainsi que les rapports qu'il a eu tant avec son entourage qu'avec son environnement. Cette base, Malick l'embrasse et la transcende pour en faire une symphonie d'une technicité sans faille à travers un montage fragmenté et un style visuel libre qui pourra en laisser plus d'un sur le carreau.
A travers son film, le réalisateur et scénariste touche à des sujets très variés mais très simples. La foi oui, mais la foi dans des idéaux, des valeurs : les parents modèles, la nature, l'innocence, la place de l'humain dans l'univers. Comme souvent chez Malick, la complexité n'est qu'apparente. Si les questions posées restent souvent sans réponse, c'est pour mieux permettre une lecture personnelle et une appropriation du film. Si on se lance dans l'aventure sans préjugés, le film a de fortes chances de donner à chacun ce qu'il accepte de laisser résonner au fond de soi. Ainsi, nul besoin d'être croyant pour être touché par The Tree of Life.
De plus, Malick utilise un style visuel très libre, comme flottant, donnant un rythme aérien au film. Il s'appuie aussi sur une bande son magnifique, de Mozart à Chopin, en passant par Preisner et Tavener. Malick étant un des rares cinéastes à avoir une véritable oreille pour choisir les partitions musicales de ces films, il en résulte une adéquation rare entre les images et la musique : que ce soit la séquence folle de la Création, la naissance de Jack ou ses nombreux errements, chaque scène, quasi chaque plan est sublimé par la musique choisie.
 [x]
 [x]
Mais ce qui fait toute la puissance émotionnelle de The Tree Of Life, rarement atteinte au cinéma (hormis dans des films comme Une femme sous influence de Cassavetes), c'est sa capacité à intégrer l'intime dans l'épique, le grandiose. C'est aussi cette ambition qui rend le film si fragile mais si fort dans sa portée, à travers des personnages et des situations à même de nous rappeler des souvenirs personnels.
En cela, Pitt et Chastain font un excellent travail dans leurs rôles respectifs de père autoritaire mais aimant, et de mère laxiste mais maternante (soit 2 figures de parents très classiques dans la psychologie de l'éducation parentale). Au milieu de tous ces cadres travaillés, les acteurs auraient pu, en effet, être écrasés par les visuels et paraître comme hors du film, comme Radha Mitchell dans Silent Hill. Il n'en est rien, bien au contraire. Pitt émane une autorité naturelle doublé d'un charisme impressionnant. Il faut le voir ruminer ses erreurs, ses échecs, puis rejeter cette frustration sur ces fils. Chastain, elle, sait avoir une présence tout en ayant des dialogues limités au maximum, Malick sublimant sa grâce et sa douceur (celle de sa voix notamment).
 [x]
 [x]
On pourra évidemment reprocher à The Tree Of Life un certain hermétisme (le montage fragmenté, notamment, ainsi que la conceptualisation abstraite assez récurrente), mais ce serait passer à côté de la simplicité du film qui fonctionne simplement sur un flux d'idées et d'images-métaphores plutôt que sur un flux narratif classique.
 [x]
 [x]
Malick infuse tout cela avec cohérence, comme cette mère vue par son enfant comme une déesse en lévitation, ou cette naissance qui semble être comme nager hors d'une maison engloutie. Et lorsque la mère en appelle à Dieu suite à l'annonce de la mort de son fils, Malick lui répond : "quelle importance a la mort d'une personne au sein de l'Univers ?"
 [x]
Et puis il y a ce final d'une beauté infinie, où le conscient se mêle à l'inconscient, où le passé, le futur et le présent se réunissent pour la fin des temps, où l'on acceptera enfin sa mort afin de mieux accepter sa vie passée.
 [x]  [x]
Mick LaSalle, du San Francisco Chronicle, avait écrit à propos du Nouveau Monde : "Il est difficile d'écrire un beau poème court. Il est difficile d'écrire un beau long roman. Mais écrire un beau long poème de la taille d'un beau long roman - cohérent et qui soit exponentiellement meilleur que ce que le court poème ou le long roman aurait pu être - c'est presque impossible. Malick l'a fait. Avec des images."
Cette citation s'applique parfaitement à The Tree Of Life. C'est l'univers entier que contiennent les 2h20 de poésie du film, depuis le Big Bang jusque la fin des temps, de l'infiniment intime à l'infiniment épique.
 [x]  [x]  [x]
10/10

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"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 00:18 le 08/09/2012
Message n° 3379970, posté à 20:03 le 07/09/2012  
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homereb
Est ce qu'il y a des feuilles au soleil ?

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I am Ripper... Tearer... Slasher... I am the Teeth in the Darkness, the Talons in the Night. Mine is Strength... and Lust... and Power! I AM BEOWULF!
*édité à 20:03 le 07/09/2012
Message n° 3379973, posté à 20:05 le 07/09/2012  
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Medieval
J'ai tellement détesté Melancholia de Von Trier que je m'étais dit le Malick c'est pas pour moi, je vais encore avoir envie de tuer le projectionniste.
Je dois reconnaître, tenia, que tu le vends super bien et que je vais peut-être me laisser tenter. Belle prez personnelle du film clap

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"Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, c'est son gouvernement."
Saint-Just
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