Prometheus: I can't create life, what does that say about me? Quelle poilade

Red lights : très dispensable.

C'est nul, alors, Twixt ?

Ah bah tiens, je cherchais comment tourner ce que je me suis dit en sortant du film. Bah voilà.

Rien que la bande-annonce annonçait bien la bouse intergalactique.

Jean Claude Van Damme et John Woo, pour un film risible au possible.Un enchainement d'evenements improbable, des ennemis qui arrivent a retrouver les gentils en utilisant la magie je pense, des faux raccords dans la plupart des scenes (si on couple ca avec les ralentis inutiles, la lisibilite de l'action est quasi nulle).

Niveau scenario, on a quand meme a la fin le mysterieux vieillard blanc qui se prend pour un Indien qui vient aider le hero. Pourquoi ? Ca doit etre le pote d'un type du film, et il voulait un role.

Et aussi, pourquoi est-ce que Jean Claude a la nuque longue ? Je crois que ca reste le pire du pire ca.

Le mulet c'est la vie.

C'est meugnon.

Médiocre n'est pas vraiment le mot, mais sans grand intérêt. Ca ressemblait plus à un pilote de série qu'à un film.

Film d'action espionage. Une très bonne surprise. Je m'attendais à un film rempli de clichés et de scènes d'action mal faites, essayant de recopier les Bourne Ultimatum, mais pas du tout (enfin, ça a quand même un côté Bourne Ultimatum).Le film passe très bien, pose quelques mystères. Le rythme est bon, les acteurs justes, et les scènes d'action sont très prenantes (des plans longs et larges qui donnent un très bonne lisibilité).

Hésitez pas si les films d'action et d'espionnage sont vos trucs.

The Five-Year Engagement (VL) (2012) #2012# : Très paradoxal, le nouveau bébé des productions Apatow.

D'un côté, on ne peut s'empêcher de se dire que la Mafia Comedy a encore fait une comédie largement supérieure à ce qui se fait ailleurs. Le film est beaucoup plus drôle, les personnages nettement plus attachants (on a qu'une envie, c'est de câliner Jason Segel tout le long, encore une fois au top) et le casting bien plus prestigieux.

D'un autre côté, c'est de très loin le "pire" film de Stoller, ici à des lieues des géniaux Forgetting Sarah Marshall et Get him to the Greek. Comme souvent chez Apatow, c'est beaucoup trop long - d'accord c'était la version longue, mais quand même - et ça se ressent bien plus que d'habitude. Là où les durées des autres films ne m'avaient absolument pas dérangé, même pas le moins du monde, je me suis ici souvent retrouvé à penser à autre chose, à trouver que les scènes trainaient beaucoup trop en longueurs, qu'elles étaient étirées au maximum, etc.

Aussi, bien que les personnages, leur psychologie, leurs relations, et tout ce qui suit, sont bien plus travaillés que chez la concurrence, le scénario est d'une banalité affligeante. Le film se contente de suivre le schéma narratif que l'on connait tous et que l'on a tous vus des centaines de fois. Et je trouve ça complètement con que le scénario ne soit travaillé qu'en profondeur et non pas en extérieur, je dirais. Enfin, je veux dire, on a un très bon scénario enroulé dans un mauvais scénario. C'est pas bien clair, peut-être, mais en bref, le schéma narratif aurait gagné à être autant travaillé que les personnages.

A ce jour, je n'ai pas en mémoire de comédie romantique aussi bien écrite et originale que Petites confidences à ma psy, et je trouve ça plutôt triste.

On ne peut qu'espérer que ce film n'est qu'une légère baisse de régime et que toute la bande va repartir de plus belle, surtout quand on voit l'excellent Muppets (sur lequel le duo Segel-Stoller a également travaillé), qui reste encore aujourd'hui la meilleure comédie de l'année. L'avenir nous le dira.

Tout de même, on ne peut nier le bon moment que l'on passe et les très nombreux rires que le film arrache. On peut donc parler de très bonne romcom, mais de production Apatow décevante.