Est-ce que tu as reconnu Jimmy Savile ? Parce que c'est un élément important de la compréhension du truc, qui va parler à tous les anglais mais moins au reste du monde (non pas que ça rende l'idée moins barrée)...

Non, j'ai googlé ça après et c'est là que j'ai vu le truc (je connaissais pas le bonhomme). Effectivement, ça donne un autre contexte à la fin, mais ça ne change pas le ton qui est trop décalé. La peur est remplacé par un montage dynamique. Je comprends le message et le décalage que le réal veut donner, mais ça tourne les infectés en des êtres ridicules dont on peut se débarrasser grâce à la magie du montage. Y a pas un monde où les infectés du premier volet se font avoir un par un comme ça par des power rangers.

I know what you did last summer (2025)Je mentirais si je disais que j'avais pas aimé.Ouais, y a des problèmes d'écriture, des grosses ficelles, au moins une belle incohérence, mais le film parle à mon petit cœur de nostalgique.J'imagine que le film ne plaira pas tant que ça. Tant pis, j'avais quand même le sourire tout le long.Et puis en plus, j'ignorais complétement que ce film était en fait

spoiler à pas ouvrir si on veut tout découvrir sans même regarder une bande annonce

la suite des deux premiers ! Je pensais que c'était un reboot ! Mais pas du tout !

Nobody 2I mean... on se fait quand même bien prendre pour un gros débile pendant ce film.De l'action, O.K., mais là le héro n'est sauvé que parce que les scénaristes l'ont écris. John Wick est plus plausible que tout ce qu'il se passe ici.

Mission Impossible The final reckoningConfus par moment, mais je pense que la personne capable de battre Tom Cruise en terme de cascade dans un film n'est pas encore née.Toute la scène finale est folle. Je sais pas comment ils ont tourné ça, mais c'est grandiose.

Oui, hein !

The Life of Chuck (2024): je n'ai pas compris la hype, même si quelques scènes m'ont plu.

Weapons (2025) : beaucoup de thèmes et qualités intéressants, mais pas très effrayant en soi.

Eddington (2025) : j'ai détesté, voilà.

Hallow Road (2025 ?) : c'était mal parti pour, mais j'ai beaucoup aimé en fin de compte. La forme était originale, en plus du casting excellent. Je l'ai lancé au hasard sans rien en avoir lu, et je conseille de faire pareil.

Amsterdam (2022 ?): visionnage très laborieux, je me permets de mal juger ce film dont il ne reste rien à sauver.

Deliverance (1972) : no comment

Three Billboards Outside Ebbing, Missouri (2017): je me suis sentie mal à l'aise tout du long (et j'ai enchaîné sur Deliverance, quelle riche idée).

The Banshees of Inisherin (2022) : sans avoir lu le synopsis, et surprise d'avoir apprécié le film. Psychologie des personnages bien explorée + de belles images, de belles couleurs, et de beaux pulls en laine.

Seven Sisters (2017) : bien trop rocambolesque à mon goût, et plus on avançait dans l'histoire, moins je me préoccupais des filles.

Starve Acre (2023) : un peu bizarre, ni amplement réussi ni amplement raté, selon moi. C'est peut-être un peu ambitieux au regard des thèmes abordés.

Silent Night (2021) : sans lire de résumé, très agréable surprise (j'en avais peut-être déjà parlé, pardon si je radote). Mélange de genres, c'était inattendu : drôle, tragique et léger, ridicule, désespéré, et surtout très bien interprété (mention spéciale à Roman Griffin Davis, l'enfant qui joue dans Jojo Rabbit).

Contact (1997) : Je connais enfin le fameux plan séquence du début, mais seigneur que c'était LONG.

Dumplin (2018) : absolument pas ma came, mais j'ai regardé jusqu'au bout et me suis empressée d'oublier.

Le mangeur d'âmes (2024) : un film français qui m'a déprimée (la photographie est déprimante, il faut dire) et j'ai trouvé Virginie Ledoyen atroce à réciter ses répliques et Sandrine Bonnaire pas terrible. Je précise que les dialogues ne donnaient que peu de matière à briller dans l'exercice. Paul Hamy (que je ne connaissais pas) ne m'a pas fait forte impression non plus : un jeu par trop inégal.Le parti pris au vu de la noirceur du film (sujet, plans, "psychologie" des personnages) aurait pu faire une différence par rapport aux productions françaises du genre, mais vraiment, l'interprétation était plutôt mauvaise. Je ne comprends pas les avis élogieux sur le jeu d'acteurs. Et ça manque cruellement de lumière, dans tous les sens du terme.

En consultant le calepin dans lequel je note les titres des films regardés, il apparaît que j'ai visionné récemment Mara et Greta, et je n'en ai pas le moindre souvenir.

Pour conclure, je garde Silent Night et Hallow Road, et peut-être les Banshees d'Inisherin (je ne pense toutefois pas le revisionner un jour).