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Sujet n°16269 créé le 15/01/2009 à 23:20 par Fresh Prince - Vu 2278171 fois par 20297 utilisateurs
   
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Message n° 2201140, posté à 00:03 le 09/07/2010  
+0.84
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Fresh Prince
Mother (Madeo) : Excellent. Mais le film va crescendo. J'entends par là qu'il commence très lentement. La première heure est très longue, puis tout se déclenche. La fin nous laisse sur le cul, comme beaucoup de choses dans ce film assez dur. Pourtant, il est très simple. L'interprétation est remarquable, et le scénario est assez bien écrit pour que cette enquête nous tienne en haleine comme il faut. Mais, je le répète, le film aurait pu durer 30 minutes de moins, à mon gout. On a un peu l'impression de tourner en rond, parfois. Mais passé ce problème, le film se regarde sans un seul souci. Je vous le conseille.

*édité à 00:06 le 09/07/2010
Message n° 2201377, posté à 00:50 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
Minou déçu.

Message n° 2201404, posté à 01:02 le 09/07/2010  
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Baje
Ronrount a dit :
Minou déçu.
Par ?

--
Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 2201589, posté à 02:31 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
Je suis reparti pour parler de films érotiques, que ceux que ça n'intéresse pas, zappent.
Deux Joe Sarno (je finirai le cycle lundi je crois, par Swedish Wildcats, tout un programme) furent au menu de ma soirée.
Tout d'abord, j'attends toujours une chose d'un film érotique, soit qu'il nous fasse profiter d'une belle esthétique du corps féminin (dont je raffole, spécialement d'un point de vue artistique), soit qu'il suscite le désir. Dans le second cas, en dévoiler beaucoup n'est pas forcément nécessaire, mais les zones de peau à montrer au spectateur seront inversement proportionnels au talent qu'il faudra insuffler dans l'écriture des personnages et de l'histoire. En bref, on peut se suffire d'en dévoiler peu si le spectateur nous mange déjà dans la main.
Daddy, Darling
 [x]
Ici le contrat n'est absolument pas rempli par Sarno.
Au détour d'une histoire assez sordide dans le principe, du moins telle qu'elle est proposée, une fille amoureuse de son père tente de coucher avec lui en évinçant sa belle-mère, le réalisateur nous gratifie d'un récit dénouée de toute charge érotique.
Les trois ou quatre scènes érotiques nous dévoilant la seule poitrine d'Helli Louise, tressautant de manière magnifique par ailleurs, sont couplées aux mauvais codes du genre, cadre éloigné, de profil, quasiment sans lumière et avec de nombreux objets gênants dans le champ.
Long et fortement ennuyeux.
All the Sins of Sodom
 [x]
Le meilleur de ceux que j'ai pu voir jusqu'à maintenant, un softcore qui vaut plus que le détour.
Henning, photographe ayant des rêves artistiques ambitieux et pour habitude de coucher avec ses modèles, décide d'héberger temporairement dans son atelier une jeune femme à la rue. Celle-ci pourrait bien être la clé des clichés diaboliques qu'il cherche à atteindre.
Chiche en moyens, Sarno nous offre une photographie simple mais efficace, en noir et blanc, nous dévoilant ainsi une partie de sa mise en scène pour nous offrir de somptueuses images.
Les actrices, modèles de nu, sont des femmes au physique éblouissant et au visage d'une égale beauté. Les voir défiler les unes après les autres, sous l'appareil de Henning est un véritable plaisir pour les mirettes. Et je ne mâche pas mes mots.
Sarno renoue ainsi avec ce que j'ai pu voir dans "Abigail..." où chaque scène sexuelle nous fait avancer dans l'histoire. Les plaisirs saphiques sont toujours au centre des festivités, chargés d'une passion intense et qui me semblent avoir été "réellement" tournées.
Je le conseille.
Il est dommage que les actrices ne soient pas réellement créditées, elles sont toutes plus belles les unes que les autres.

*édité à 02:35 le 09/07/2010
Message n° 2201595, posté à 02:41 le 09/07/2010  
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Fresh Prince
Ronrount a dit :
Minou déçu.
question

Message n° 2201601, posté à 02:43 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
C'est parce que j'ai l'impression de parler dans le vide, ne vous inquiétez pas, caprice de gamin.

Message n° 2201642, posté à 03:04 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
Appendices (ce que j'ai oublié) :
Long Weekend : Ce que j'ai voulu dire en parlant du ridicule de certaines scènes avec des oiseaux peut se démontrer uniquement par les dialogues, lorsque le personnage principal, hébété, son pull percé de multiples trous et accrocs, déclare à sa femme :
I was attacked by an eagle.
Imparable pour faire rire une salle entière.
Il me semble qu'elle est répétée dans le remake.
Ozploitation : l'accent des australiens est fluctuant. Dans Dead-End Drive In et Turkey Shoot, il reste très proche de l'anglo-américain neutre, facilement compréhensible sans sous-titres. Je précise, parce qu'au Forum des Images tu peux te retrouver avec de la VOSTA, de la VOSTF ou de la VO, en fonction de leurs cartons. Pour The Cars That Ate Paris, les modulations phoniques du bush profond auraient rendu le tout imbitable sans aide. Et pour Long Weekend, les mots étaient seulement avalés lors des colères des personnages, me laissant pratiquement au bord de la route en ce qui concerne leurs problèmes de couple.
Et pourtant ces films datent tous de la même période. J'imagine qu'il s'agit vraiment de la provenance de chacun des acteurs.
Un petit retour du Forum des Images après avoir cumulé plusieurs séances :
- Le staff est cool, et loin d'être élitiste comme à la Cinémathèque (paraît-il, j'y ai jamais foutu les pieds)
- Le public est très mixte, jeunes, vieux, hommes, femmes. On m'a dit que ça avait évolué, précédemment cela ressemblait plus à un dortoir pour vieillards où les ronflements étaient fréquents (ouf !).
- Il y a rarement du bruit, ce qui est le plus gênant reste les rires (j'y viendrai plus tard).
- Les copies sont parfois bien abîmées (Daddy, Darling), mais cela en ajoute pas mal au charme des vieilles bandes.
- Le staff est cool.
- Il y a un bar dans l'établissement, même s'il fait principalement du bio, on peut toujours y boire une pression entre deux séances.
- Il est fermé au mois d'août. :-(
- Ils reprennent les films de l'Etrange Festival en septembre. Yeah !
- La carte illimitée à l'année coûte 132 euros pour la formule sans réduction (jeune ou chômeur), c'est à dire 11 euros par mois ! Une brindille !
- Les cinéphiles constituent une faune particulière. Au look bizarre pour certains, lunettes et coiffures improbables inclues. J'ai pu parler avec deux d'entre eux et ce n'est pas la panacée. Ceux que j'ai rencontré s'écoutent parler sans réelle volonté de partager leur passion mais plutôt dans l'optique d'étaler leur culture. Avec dix mots tu peux les faire tenir trente minutes.
Par contre, avec un peu plus de couilles j'aurais bien été aborder les jeunes et jolies filles qui viennent seules, voir du Joe Sarno...
- Globalement, je suis très content des films de leur programmation que j'ai pu voir.

*édité à 03:06 le 09/07/2010
Message n° 2201661, posté à 03:16 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
Le dernier truc en date qui m'énerve au ciné, psycho-rigide comme je suis, après le manger, les papiers froissés, les plastiques, les gens qui discutent, chuchotent interminablement ou les sonneries de portable, ce sont les rires.
Les gens qui rient là où ce n'est pas censé être drôle.
Parce qu'ils considèrent que le film est mauvais et ricanent à chaque réplique, qu'ils sont venus voir un film érotique pour se marrer entre potes (sans dec', faites ça chez vous, sans faire chier les autres), qu'ils supportent pas le décalage temporel de l'oeuvre, ou qu'ils ne savent absolument pas à quoi ils sont venus assister, mais fuck quoi !
C'est parfaitement disrespectueux pour les gens qui sont venus sérieusement voir le métrage et en sortent à chaque rire.
J'ai eu beau trouvé Abyss complètement décalé, à aucun moment je n'ai moufté et gâché le plaisir de ceux qui appréciaient... Je riais intérieurement, ça me suffisait.
Le rire, le nouveau fléau beauf' du cinoche.
(ainsi que les gens qui t'ont fait déplacer pour se poser et qui se barrent dix minutes après le début du film)

*édité à 03:17 le 09/07/2010
Message n° 2201663, posté à 03:19 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
Ah ouais, et ceux qui rient nerveusement pendant les scènes dramatiques, les scènes de violence, par exemple dans Dog Pound.
Je ne sais pas ce que cela représente psychologiquement pour eux, mais la seule chose que j'ai envie de faire à ce moment, c'est de me lever pour reproduire ce qui se passe à l'écran.

Message n° 2201722, posté à 07:23 le 09/07/2010  
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tenia
Ronrount a dit :
Le meilleur de ceux que j'ai pu voir jusqu'à maintenant, un softcore qui vaut plus que le détour.
C'est donc bien ce qui me semblait.
Ces films sont sortis récemment en DVD chez Arte (dispo en FNAC, d'ailleurs laugh2 ) et j'avais lu que All the sins était vraiment excellent.
Vais ptet voir ça de plus près.
Ronrount a dit :
- Les cinéphiles constituent une faune particulière. J'ai pu parler avec deux d'entre eux et ce n'est pas la panacée. Ceux que j'ai rencontré s'écoutent parler sans réelle volonté de partager leur passion mais plutôt dans l'optique d'étaler leur culture. Avec dix mots tu peux les faire tenir trente minutes.
J'avais eu le même problème quand j'avais été me faire le double programme Baie sanglante / Ténèbres.
Mais il y en avaient eu 2 qui, eux, ne se prenaient pas la tête, et avec qui j'avais pu discuter plus simplement, sur le style, la mise en scène, la photo.
Le reste, c'était des mecs de 50 balais qui parlaient comme s'ils connaissaient tout sur tout et qui, visiblement, n'étaient venus que pour se moquer des 2 films (avant même que ça commence, j'avais l'impression d'avoir Pierre Ménez à côté de moi, et ça ressemblait en gros à "Nan mais Bava, c'est naze à mort, y a 2 films de bien dans sa filmo et encore" suivi de la même chose en pire pour Argento).
Je me demande encore ce qu'ils étaient venus faire à cette séance.
Ronrount a dit :
Les gens qui rient là où ce n'est pas censé être drôle.
C'est mon Nemesis aussi, ça.
Le pire, c'est dans les comédies 2nd degré ou référentielles.
Je repense notamment à Asteris Mission Cléopatre. Je me fendais la poire à toutes les vannes planquées et moins planquées (genre le docu sur les langoustes, le monologue d'Otis (qui n'était pas encore culte), Alexandrie Alexandra) et j'étais seul, pendant que les autres ont ri uniquement à la blague moisie du chat qui fait "3 mois ?".
C'était navrant.
Par contre, quand ça se marre bien comme il faut comme j'ai eu à la séance de REC², là, ça ne fait que transcender ta séance.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
*édité à 07:24 le 09/07/2010
Message n° 2201981, posté à 11:38 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
tenia a dit :
C'est donc bien ce qui me semblait.
Ces films sont sortis récemment en DVD chez Arte (dispo en FNAC, d'ailleurs laugh2 ) et j'avais lu que All the sins était vraiment excellent.
Vais ptet voir ça de plus près.
Si vous décidez d'en voir un, autant voir celui-ci, c'est sûr.
tenia a dit :
Le reste, c'était des mecs de 50 balais qui parlaient comme s'ils connaissaient tout sur tout et qui, visiblement, n'étaient venus que pour se moquer des 2 films (avant même que ça commence, j'avais l'impression d'avoir Pierre Ménez à côté de moi, et ça ressemblait en gros à "Nan mais Bava, c'est naze à mort, y a 2 films de bien dans sa filmo et encore" suivi de la même chose en pire pour Argento).
Je me demande encore ce qu'ils étaient venus faire à cette séance.
Voilà, du coup je me fais petit, je ne me sociabilise pas et je profite du film dans mon coin.

Message n° 2202006, posté à 11:42 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
Sinon, je ne sais pas si vous avez vu, mais Centurion, le dernier film de Neil Marshall, passe dans 7 salles en France.
Si vous n'habitez pas en région parisienne, ce n'est même pas la peine d'y penser, elles y sont toutes localisées.
Par contre Twilight sort dans 819 cinémas, on est sauvés !
Pour en revenir à Centurion, les critiques récentes font peur, très peur...
Il semblerait que ça soit une grosse bisserie, j'essaierai d'aller vérifier par moi-même. Si c'est aussi fun que Doomsday, ça me va.

*édité à 11:42 le 09/07/2010
Message n° 2202019, posté à 11:45 le 09/07/2010  
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spaces
Ronrount a dit :
Sinon, je ne sais pas si vous avez vu, mais Centurion, le dernier film de Neil Marshall, passe dans 7 salles en France.
Quelques fois, le nombre de copies correspond finalement à la qualité du film. Quelques fois seulement.

--
1/3 de pulco, 1/2 d'eau et le reste de limo...
Message n° 2202057, posté à 11:56 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
spaces a dit :
Quelques fois, le nombre de copies correspond finalement à la qualité du film. Quelques fois seulement.
Ce n'est pas une raison pour empêcher les gens de se faire une idée par eux-mêmes. ;-)
7 salles, toutes dans le même site géographique, ça fait très mesquin. Dirty Diaries a eu le droit à plus...

Message n° 2202942, posté à 17:23 le 09/07/2010  
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Batefer
Ronrount a dit :
Il semblerait que ça soit une grosse bisserie, j'essaierai d'aller vérifier par moi-même. Si c'est aussi fun que Doomsday, ça me va.
Moi j'irai, au Publicis sur les Champs, comme d'habitude pour ce genre de sorties techniques (déjà pour Doomsday).

--
je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 2203036, posté à 18:10 le 09/07/2010  
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tenia
Ronrount a dit :
Si vous n'habitez pas en région parisienne, ce n'est même pas la peine d'y penser, elles y sont toutes localisées.
J'ai vu ça, j'ai été dégouté. Mais c'était déjà le même délire pour Doomsday (qui, au final, a fini en DTV, je crois).
Ronrount a dit :
Il semblerait que ça soit une grosse bisserie, j'essaierai d'aller vérifier par moi-même. Si c'est aussi fun que Doomsday, ça me va.
Tout pareil : si c'est fun comme Doomsday, j'achète.
Ronrount a dit :
7 salles, toutes dans le même site géographique, ça fait très mesquin. Dirty Diaries a eu le droit à plus...
C'est surtout ça qui me tue : non seulement y a que 7 copies, mais tout est sur Paris. Comme ça, c'est réglé.
Pis bon, c'est pas comme si j'allais faire 700 km AR pour aller voir le film, hein.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2203417, posté à 20:52 le 09/07/2010  
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Ano nyme1
tenia a dit :
J'ai vu ça, j'ai été dégouté. Mais c'était déjà le même délire pour Doomsday (qui, au final, a fini en DTV, je crois).
Je l'ai vu au CGR de Cherbourg pour ma part.

Message n° 2203493, posté à 21:25 le 09/07/2010  
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tenia
Ronrount a dit :
Je l'ai vu au CGR de Cherbourg pour ma part.
Donc il était sorti. Autant pour moi.
EDIT : effectivement, Allociné m'indique 2 semaines à l'écran... 131 000 entrées au final, dont 80 000 sur Paris. On peut supposer environ 40 copies.

--
"To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra;
Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2204017, posté à 00:26 le 10/07/2010  
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Ano nyme1
The Last Wave
 [x]
Un bel et inquiétant film de Peter Weir (quelque part je ne suis pas surpris).
L'histoire d'un avocat blanc, Richard Burton, chargé de défendre quatre aborigènes en ayant tué un cinquième. Crime tribal ou bagarre d'alcooliques ayant mal tournée ? Quel lourd secret cachent-ils ? Que signifient les rêves de Richard ?
"The dream is the shadow of reality."
(Eh hop ! Un spoiler jeté au visage de FP !)
Peter Weir construit ici une magnifique et oppressante atmosphère, utilisant l'eau comme un élément omniprésent et annonciateur de mauvaises nouvelles. Les connaissances ancestrales des aborigènes sur la destinée du monde et leur interprétation des rêves sont mises au premier plan. Après vérification, peu de films, même australiens, abordent la vie aborigène ou se donnent juste la peine d'en faire apparaître dans leur histoire. D'ailleurs regarder la filmographie de David Gulpilil (photo plus bas) suffit à en avoir une liste quasi-exhaustive.
Le déroulement très elliptique du scénario est efficace, Weir ne s'attardant pratiquement jamais sur les scènes usuelles de décompression, allant toujours à l'essentiel.
Bref, j'ai beaucoup aimé, un film indispensable si l'on souhaite s'attaquer au cinéma australien.
 [x]
Inga
 [x]
Un autre Joe Sarno comme vous l'aurez deviné, de très faible qualité. Il accumule tous les défauts inhérents au genre, de la même façon que Daddy, Darling.
L'histoire est celle d'une jeune fille utilisée par sa tante pour arriver à ses fins auprès de son plus jeune amant qu'elle entretient et d'un homme de son âge attirée par les jeunettes qui pourrait bien se transformer en revenu stable.
Je n'arrive pas à comprendre la chronologie de Sarno, ce film se plaçant juste avant le très bon All the Sins of Sodom. Une photo noir et blanc est là aussi présente, mais sans aucune utilisation particulière. Les scènes érotiques sont égales à celles d'un film français classique, du moins en nombre, elles n'intéresseront, je pense, que les éphébophiles. L'actrice principale jouant Inga, qui avait 18 ans à l'époque, faisant moins que son âge.
Bref, next !

*édité à 00:50 le 10/07/2010
Message n° 2204080, posté à 00:34 le 10/07/2010  
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alfie2lecassecouille
J'avais beaucoup aimé ce film. Tu m'as donné envie de le revoir.

*édité à 01:23 le 10/07/2010
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