They shoot horses, don't they ? : La montée en intensité est assez surprenante. Malheureusement, le film traine beaucoup trop en longueur malgré une mise en scène très bonne. Et je suis tombé amoureux de Jane Fonda.
12 angry men : Quel rêve. La preuve que l'on peut faire un film à partir d'une idée simple. Comme le précédent, l'intensité se fait rapidement sentir et étouffe le spectateur, le fait suffoquer. Ce huis-clos oppressant, magnifiquement bien écrit, n'est pas trop dialogué comme on pourrait le penser, mais tout bonnement passionnant. Et je suis tombé amoureux d'Henry Fonda.Le pull-over rouge : La première heure est très intéressante, il parait que la seconde aussi, mais j'étais trop fatigué pour rester jusqu'au bout. Si quelqu'un a un lieu chez tonton...
*édité à 19:15 le 07/12/2010
0.28
Message n° 2536521, posté par Fresh Prince à 19:17 le 07/12/2010
Le début du film m'a bien plu, c'est complètement débile mais fun, il y a du sang, des nichons et Steven Seagal, bref tout ce qu'il faut.
Ensuite, patatras. Le film s'effondre progressivement jusqu'à nous proposer un final totalement arthritique dans lequel notre héros n'en rame pas une et qui n'apporte de conclusion satisfaisante à AUCUN des personnages. Sans parler d'une absence de cohérence totale de l'histoire (je ne suis pas regardant mais il y a des limites) et de l'un des combats les plus mal branlés que j'aie jamais pu voir.
Je suis donc ressorti sur une impression extrêmement négative. Je ne conseille pas.
Sinon il y a des nichons mais pas de foufoune.
-- je parles pas au cons sa les instruits
Message n° 2536639, posté par Fresh Prince à 19:56 le 07/12/2010
: Mais non, on papote, voyons. Ça change un peu de la naïveté (charmante au demeurant) de FP et de l'arrogance (un peu pénible, certes) de ténia, c'est pas désagréable, si ?
Si je suis naïf d'aimer ce film...
Message n° 2536642, posté par tenia à 19:58 le 07/12/2010
: Ce qui est marrant, c'est que j'avais demandé un truc similaire à mon prof de français en première. « Mais m'sieur, Rimbaud, il voulait vraiment dire tout ce que vous nous sortez ? ». Il m'avait gentiment dit de fermer ma gueule, et que si je posais la question, c'est que j'avais encore rien compris.
La différence, c'est que Rimbaud n'est plus là pour se défendre (ou au contraire, en rajouter une couche).Je me souviens de mon prof de français en prépa qui nous avait montré l'adaptation d'Un amour de Swann, et qui trouvait des symboles partout.Je lui ai demandé si, compte tenu de la prédominance de la couleur rouge, si Schlondorff était communiste.Étonnamment, moi aussi, il m'a gentillement demander d'arrêter mes conneries.
: Sache d'ailleurs, tenia, qu'il faudra à mon avis changer de marronnier. S'il y a bien un réalisateur sur lequel tu n'arriveras pas à me lancer, c'est bien Kubrick.
C'est dommage.Rien que pour Spartacus et Paths Of Glory, c'est dommage.
Sinon, j'ai lu que je faisais arrogant. Sans déconner, ça me fait chier, parce que c'est pas du tout volontaire.
Visiblement, j'ai encore du boulot à faire à l'écrit pour changer cela.
-- "To be is to do"-Socrate; "To do is to be"-Sartre; "Do Be Do Be Do"-Sinatra; Yippie ki yai, coffeemaker !
Message n° 2536704, posté par Francisco51 à 20:09 le 07/12/2010
: Ce qui est marrant, c'est que j'avais demandé un truc similaire à mon prof de français en première. « Mais m'sieur, Rimbaud, il voulait vraiment dire tout ce que vous nous sortez ? ». Il m'avait gentiment dit de fermer ma gueule, et que si je posais la question, c'est que j'avais encore rien compris.
C'est ce qui différencie des textes intemporels, qui traversent les siècles et l'Histoire, qui ne perdent aucune de leur richesse, du reste.
-- C'est quoi ? Des biscuits ? Lilobootcopyright.
Santino=loser=gay. Kelidriccopyright.
Message n° 2536767, posté par tenia à 20:27 le 07/12/2010
: Sache d'ailleurs, tenia, qu'il faudra à mon avis changer de marronnier. S'il y a bien un réalisateur sur lequel tu n'arriveras pas à me lancer, c'est bien Kubrick.
T'as même pas essayé son film dans la neige et l%u2019hôtel ? Le seul truc que j'ai supporté.
Tiens, un film d'action français sans (trop) d'acteurs totalement pourrie, un scénario qu'on a chié aux chiottes et une réalisation plus cradingue qu'un film de vacances.
Haaan, ça en devient même plus divertissant que bon nombre de block américain à gros budget.
Faut pas non plus s'attendre à un scénario intelligent et des explosions de partout. Mais putain, enfin. Et Lellouche qui m'insupporte en interview, bin je l'ai trouvé bon.
Je tiens donc ici l'exception française. Du moins dans ce que j'ai vu ces dernières années. J'ai même envie de le revoir une fois sortie en blu-ray et d'aller jeter un oei à "Pour elle".
Le seul truc qui pue la merde :
-- Si être normal est d'usage, cela revient à abandonner toute chance de progrès. Qui veut être normal ?
Message n° 2537034, posté par sehderik à 21:40 le 07/12/2010
: Je tiens donc ici l'exception française. Du moins dans ce que j'ai vu ces dernières années. J'ai même envie de le revoir une fois sortie en blu-ray et d'aller jeter un oei à "Pour elle".
Il a déjà des américains qui veulent en faire un remake comme pour "pour elle ".