très beau, ouais. atmosphère très réussie. mais un peu chiant quand même. et un super un gros tic de réalisation : des travelling super lent au début et à la fin de chaque plan. bizarre.j'aurais bien voulu l'avis de KG, là-dessus.

Et les explosions ? Réussies, les explosions ?

putain, vous me gâtez, les amis. hier, un Svankmajer, et aujourd'hui, un béla Tarr

cela dit, je relancerai pas. je vous emmerde.

Et demain un Krysphikovicw.

je l'ai tapé dans Google...

Moi aussi.

ouais, des fois que ça existe !un jour, pour déconner, j'avais proposé Joy à Hong-Kong. après, j'avais quand même regardé sur Google, et ça existait vraiment !

une autre fois, j'ai proposé Joy dans le Kentucky, mais pas d'occurrence Google : (

L'érotisme et le Kentucky sont assez antinomiques tu me diras (j'avais envie de le placer).

Je dis ça, je ne connais rien du tourisme sexuel des gallinacés.

Stay tuned, bientôt une relance à la waneugain.

Alors franchement, j'aime le KFC, moi !

Miam

Sinon, spaces, pour en revenir à Dungeon Quest, c'est très marrant, ouais. C'est une sorte de conte surréaliste qui se tape un petit délire sur le dos des rôlistes et autres gamers, mais avec une tendresse manifeste. Beaucoup de références pop. Le trait, noir et blanc, c'est l'école Charles Burns, on va dire, en moins léché et plus dans un style rien à foutre qui me plaît beaucoup. Je te donne Burns comme référent parce que je suis pas très fortiche en BD mais que Burns m'a toujours beaucoup plu, y a sûrement plus pertinent comme comparaison. Mais ce qui m'a vraiment emballé, ce sont les dialogues, qui bénéficient d'une traduction superbe, des petites phrases à la con, mais très soignées, un rendu parfait du langage parlé. Un peu à la Sattouf, d'ailleurs, son sens des dialogues étant pour moi une de ses grandes qualités. Enfin bref, voilà, j'ai trouvé ça au poil, mais c'est peut-être pas pour tout le monde, je sais pas trop.

Au fait, hier, j'ai bien regarder "la dialectique peut-elle casser des briques".