L'agent 47 est un assassin génétiquement modifié afin de devenir la parfaite machine à tuer. Sa nouvelle mission est d'éliminer une organisation, appelée Le Syndicat, qui tente de retrouver le généticien à l'origine du programme qui l'a mis au monde. Cette dernière, qui envoie l'un de ses meilleurs tueurs aux trousses de 47, veut découvrir les secrets de la création de l'agent surhomme afin de créer une armée de super soldats. 47 s'alliera avec une jeune femme qui détient certains secrets bien gardés afin de retrouver le scientifique en question et de l'empêcher de révéler les origines du programme aux mauvaises personnes.
James Cameron n'a pas pensé à faire un procès à l'enfant cocaïné qui a écrit cette merde sur le dos de son dessin alors que c'était l'heure de la sieste ? Je n'ai jamais vu un tel plagiat de Terminator, mais pas seulement de Terminator, aussi de Terminator 2.
Square Enix n'a pas pensé à faire un procès aux criminels responsables de ce film pour avoir, une fois de plus, violé et chié dans la bouche de leur licence ?
Rupert Friend et Zachary Quinto n'ont pas pensé à faire un procès aux manipulateurs qui ont réussi à les faire jouer là-dedans en leur vendant un "Matrix dans le monde de Terminator, mais avec des humains" ?
Les spectateurs n'ont pas pensé à faire un procès au film directement pour ce gâchis de papier, de pellicule, et d'argent, et pour cette fin qui est, sans nul doute, la pire fin de l'histoire du cinéma ?
Le film lui-même n'a pas pensé à se faire un procès pour sa scène post-générique qui, comme à l'époque de Super Mario Bros, lui vend une suite ?
Enculé de film. Enculé.
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Message n° 4199606, posté par Medieval à 14:11 le 27/10/2016
J'étais énervé, parce qu'encore une fois, ce très grand jeu vidéo se fait chier dessus avec assez de clin d'oeil pour nous contenter, nous, pauvres merdes de fans que nous sommes, petites merdes en manque à qui on lance un nonosse.
Dés l'intro, le film te crache dessus et sur la mythologie de 47.
Mais allez, je m'en foutais, c'est pas bien grave, après tout, le film est passé inaperçu à part pour avoir envoyé des spectateurs à l'hôpital pour crises d'épilepsie à cause de ses scènes d'action filmées par un junkie en manque atteint par Parkinson et montées par David Guetta.
Mais les 10 dernières secondes.... Oh boy, les 10 dernières secondes...
Je vais voir si je peux pas les trouver sur YouTube, même si ça impliquerait le miracle que quelqu'un au monde en ait eu quelque chose à branler de cette serpillère à merde qu'est ce film.
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Message n° 4199608, posté par FP Unchained à 14:27 le 27/10/2016
Alors alors. Dans le jeu, 47 est un clone, tous les assassins, ou "Agents" sont des clones.
Dans le film, comme dans la blague de 2007 avec Timothy Olyphant, 47 n'est pas un clone, mais un pauvre petit nenfant "paramétré / programmé / booté" pour devenir un assassin parfait.
Après avoir tué les vilains méchants et s'être retourné, sans raison aucune, contre son propre programme (au moins dans le jeu, lorsqu'il devient rogue, ça a un sens, ici, vous vous demandez pourquoi il se retourne contre son programme ?
A
s
s
o
c
i
e
r
)
il se retourne, et non mais qui que c'est que voilà ? Un deuxième Rupert Friend ? Qui a comme code barre le numéro 48 ? Mais comment se fait-ce ? En fait, depuis le début, ce sont des clones, et on ne le savait pas ? Film, vas-tu tout nous expliquer ?
Un vié.
Rupert Friend 48 arrive. Friend 47 tire avec sa nana sur 48 qui est hors-champ (ils tirent sur la caméra).
Boom. Boom. Effets spéciaux pourris.
Générique de fin.
Nique ta race, film. Nique bien ta race.
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Message n° 4199609, posté par Medieval à 14:33 le 27/10/2016
Non, mais t'excuse pas, hein, t'as le droit d'être vénère. On passe tous par là. Je me souviens de la fois où j'ai vu seul cette merde pompeuse de Melancholia. J'étais tellement sur les nerfs que je suis allé parler au projectionniste pour lui dire tout le mal que je pensais de ce rien et lui demander de le retirer de l'affiche. C'est comme ça, parfois, il faut se défouler.
-- "Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux, son gouvernement." Saint-Just
Message n° 4199610, posté par FP Unchained à 14:33 le 27/10/2016
Non non, on a parfaitement le droti de ne pas aimer Melancholia, ou quoi que ce soit d'autre. C'est pas moi qui vais te dire que t'as pas le droit. Je suis juste étonné que tu 'naies pas aimé.
Mais attention, on a le droit de ne pas aimer certains films, mais il est formellement interdit d'aimer certains films.
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