Grand fan du Village des damnés de Wolf Rilla dont j'aime l'efficacité en 1h20 et un peu moins du remake de John Carpenter, ce premier épisode est d'une longueur incroyable.
Je comprends bien que pour tenir 7 heures il faut ralentir et essayer de donner de l'épaisseur aux personnages, mais c'est chiant.
Étrangement, alors que tout est lent à pleurer, les persos féminins ont immédiatement consciences d'être enceintes après leurs réveils.
Juste pour voir si j'ai raison sur la façon dont ça va être traité, je vais regarder le suivant, mais c'est plus par curiosité masochiste que par conviction.